Il n'est un secret pour quiconque que certains, parmi les magistrats , dont il s'est entouré, avaient, de notoriété publique, rang d'Émir à la faculté de droit de Tunis, comme il ne peut sans ignorer que certains étaient même partis en formation au Pakistan, après avoir démissionné de la magistrature, pour être réintégrés après le 14/01/2011 au sein du ministère de la justice.
Quand Said FERJANI est chargé, après le 14/01/2011, du dossier des magistrats et de l'établissement des listes de ceux qu'il faudra démettre, parmi eux, en collaboration avec certains membres du comité exécutif de l'AMT, je ne vois pas comment ce ministre est encore se poser de telles questions sur la réalité de l'infiltration de l'appareil judiciaire par des partis politiques de tous bords dont les islamistes.
L'histoire révèlera que la justice a fait l'objet, après le 14/01/2011, d'un projet de destruction bien étudié et minutieusement mis à exécution dans le dessein de mettre tout le pays à genoux.