
Le journaliste, Mohamed Boughalleb, emprisonné depuis quatre mois, a adressé une lettre par laquelle il a remercié tous ceux l'ayant soutenu et y a dénoncé l'injustice à laquelle il faisait face.
« Je mènerai ma dernière bataille, depuis la prison de la Mornaguia, muni de la seule arme qui me reste... Je mènerai ma bataille jusqu'au bout, muni de mon corps affaibli par le diabète, les maladies cardiaques et l'hypertension, ainsi que par l'injustice et les mauvais traitements... Vous êtes tous témoins de la responsabilité de l'entité qui a décidé de m'emprisonner dans ce qui m'arrivera, tôt ou tard », a-t-il annoncé dans le message publié le 23 juillet 2024 en exclusivité par "Tumedia".
Mohamed Boughalleb a salué toutes les organisations l'ayant soutenu depuis son arrestation à la date du 22 mars 2024, notamment ses collègues, le comité de défense, le Syndicat national des journalistes tunisiens et la Ligue tunisienne pour la défense des Droits de l'Homme. Il a exprimé ses excuses envers sa famille pour la situation dans laquelle il l'a placée. Il a, également, indiqué être convaincu que sa détention résultait d'une décision prise en dehors des tribunaux et des palais de justice.
Mohamed Boughalleb a affirmé faire l'objet d'une injustice et d'atteinte à sa dignité. Il a révélé avoir été interdit d'obtenir une version du coran dont la police a été agrandie afin qu'il puisse la lire. Le journaliste a évoqué une dégradation de son état de santé ayant touché ses capacités oculaires. Il a, aussi, été interdit de voir directement son fils âgé de seulement neuf ans, ceci malgré l'obtention d'une autorisation au préalable de la part de la justice tunisienne.
Pour rappel, Mohamed Boughalleb avait été condamné à six mois de prison avec exécution immédiate suite à une plainte déposée contre lui par une fonctionnaire au ministère des Affaires religieuses. La peine a été alourdie en appel pour passer à huit mois. Une décision qui a été fortement critiquée.
S.G
Dans les fourberies de Scapin et de tant d'autres pièces de théâtres, on constate régulièrement, des acteurs, s'emporter.
Cela n'exprime, en aucun cas, de la sincérité !!!
Votre argument est bidon.
Quel pays ! a dit la grande dame. Je dirais plutôt: quel peuple ! A moins que le grand monsieur ait deviné juste (même s'il utilisa le conditionnel) en déclamant:
"Si tu es un grand peuple, fais le bon choix au moment du vote crucial...".
Une telle connerie est impensable dans les démocraties qui se respectent mais nous somme tous d'accord que la Tunisie est bel est bien une dictature dirigé par un seul homme. Franchement quel gâchis ! tout est à refaire et la démolition continue !!
Le cas Julien Asselange suffit pour carboniser vos affirmations de simplet commun !!!
Rien ne se perd dans cette vie humaine.
Allah yomhil wèlè yohmil.
Liberté d'expression réglementée ,zéro assassinat et terrorisme en nette recule .