
L’avocat et ancien ministre, Mohamed Abbou, est revenu, mardi 12 septembre 2023, sur l’actualité du pays notant que ceux qui avaient la volonté de combattre la corruption de l’avant 25-Juillet n’avaient point de solutions.
Invité de Borhen Bssais dans la matinale de radio IFM, le politicien a affirmé que « peu sont ceux qui croient en un changement par l’État de droit et les institutions ». Selon Mohamed Abbou, sur la scène politique, les gens sérieux qui veulent apporter un changement se font rares.
Revenant sur les arrestations opérées dans le cadre de la présumée guerre du président de la République contre la corruption, l’avocat a assuré que toutes les affaires montées dans ce contexte devraient être réexaminées dès la chute de Kaïs Saïed. Le président de la République est loin de faire répondre de leurs actes ceux qui sont réellement responsables de la corruption, selon ses dires.
Mohamed Abbou a affirmé que le président de la République n’avait rien fait de concret en matière de lutte contre la corruption estimant qu’il a frappé les circuits de distribution et l’écosystème de production, terrorisé les entrepreneurs et les investisseurs, mais n’a pas touché « à ceux qui sont impliqués dans de grosses affaires ».
« Celui qui vous a dit qu’il était en train de combattre la corruption d’Ennahdha est en train de vous duper », a-t-il déclaré en référence au président de la République ajoutant que le chef de l’État a ses limites et ne peut aborder certains dossiers, ceux des ressources pétrolières et du financement politique, entre autres.
Assurant que certaines fuites sur les réseaux sociaux étaient véridiques, il s’est interrogé sur le motif du mutisme des autorités sur certains dossiers, les financements illicites du mouvement islamistes Ennahdha, notamment.
« Il est du droit de l’opinion publique d’avoir connaissance de la corruption au sein de certains partis politiques (…) Pourquoi Kaïs Saïed a-t-il suspendu les conférences de presse sur les détails des grandes affaires ? », a-t-il relevé rappelant qu’aucun des gouvernements qui se sont succédé n’a publié de rapport, notamment celui en lien avec l’affaire des dons spoliés.
« Ceci est notre pays et non celui de Kaïs Saïed. Relevez vos têtes ! », a-t-il avancé réitérant ses appels à faire chuter Kaïs Saïed par quelque moyen que ce soit ; « la rue, la désobéissance civile, par la participation aux élections… ».
N.J.
Les Tunisiens ont déjà oublié ces mercenaires (poubelle de l'histoire) qui déconstruiront avec minutie notre NATION, en se gavant au passage d'incommensurables masses d'argent, l'argent de la populace.
Avec ce tartuffe, c'est toujours la faute des autres.
Par contre, la sienne, décision populiste dans toute sa splendeur, le jour de repos supplémentaire qu'il accorda au peuple le moins productif de la planète, est insignifiant à ses yeux.
Cela coute annuellement des centaines de milliards à l'Etat.
Pourtant, ce parvenu opportuniste sans foi ni loi, dont le but final était le trône de Carthage, fait comme si rien n'était et ose même se prétendre un dirigeant extraordinaire.
Il est obnubilé par le poste de chef suprême de la Nation. Il n'en dort plus.
Barra our9id ya rajel. Fok a3lik.
Tu n'as ni la carrure, ni la stature d'un homme politique et encore moins celle d'un chef d'Etat.
Tu n'es qu'une pauvre chléka sans aucune envergure, portant en soi en guise de coeur, un réacteur nucléaire de haine et de rancoeur.
Reprends tes affaires de divorces et de vols à l'arrachée et fiche-nous la paix une fois pour toutes.
n arrivera probablement jamais , a se résigner à ce que son avenir politique derrière lui.!
Monsieur Abbou, attendez les élections.
Les dossiers dont vous parlez devaient relever de vitre travail lorsque vous futes ministre.
C'est un honneur que la République vous concède en vous confiant responsabilité et pouvoir.
Et qu'en avez-vous fait ?
Vous appekez à faire chuter Kais Saied par n'importe quel moyen, ce faisant vous appelez a6 la sédition, ce qui est le contraire du respect des institutions et de l'Etat de droit.
En réalité, vous ne respectez pas ce dont vous vous prévalez face et contre les autres.
Pervertir les faits, les règles, cela vous conduit à en appeler au soulèvement.
Quand l'inconscient parle.
Vous n'avez pas d'autre choix, vous et vos chers amis et tutti quanti, que d'attendre des élections.
Cela fait partie des usages démocratiques.
En appeler à la rue peut vous conduire devant les tribunaux, selon les lois en vigueur, qui sont semblables en l'espèce à tout ce qui a cours dans les démocraties représentatives.