
L’ancien ministre et ancien leader d’Attayar, Mohamed Abbou a indiqué que la Tunisie passait par une mauvaise période et qu’il était difficile d’y remédier. L’annonce des mesures exceptionnelles, selon lui, devait aller dans ce sens.
Invité le 28 août 2023 au micro de Wassim Ben Larbi sur Express Fm, Mohamed Abbou a considéré que le président de la République, Kaïs Saïed, avait décidé de monopoliser les pouvoirs et de gouverner seul. Il a estimé que ce dernier avait harcelé et intimidé des journalistes, des politiciens, des sécuritaires, des militaires et des hommes d’affaires.
« Il veut avoir tout… Il croit être capable de gouverner à lui seul… Il pense pouvoir exécuter un coup d’État sans en être tenu responsable… Espérons que cette année sera la dernière sous le règne de Kaïs Saïed… Ceci ne signifie pas un retour vers la situation d’avant le 25 juillet… Nous devons nous retrouver dans une démocratie réelle… Nous devons rêver de ça », a-t-il ajouté.
Mohamed Abbou a affirmé que Kaïs Saïed ne comptait pas organiser d’élection présidentielle en 2024. Il a évoqué les déclarations de ce dernier à l’occasion de la commémoration du 23e anniversaire du décès du leader et premier président de la République, Habib Bourguiba. Le chef de l’État avait déclaré, rappelons-le, qu’il ne cédera pas son pays à ceux qui n’ont aucun patriotisme. M. Abbou a conclu qu’il n’y aura pas de présidentielle.
« On nous parle d’entente pour rédiger un programme économique… Qui nous garantit que les partis politiques pourront s’entendre… Il faut une entente pour mettre fin au règne de Kaïs Saïed… Il s’agit d’une question fatidique… Nous ne devons pas céder à toute personne procédant à un coup d’État… Ennahdha cherche une solution individuelle… Ses leaders sont coupables… Elle cherche à les sauver… Ceux qui se disent démocrates doivent se réunir », a-t-il déclaré.
Mohamed Abbou a considéré que le recours à une élection présidentielle n’était pas l’unique voie pour mettre fin au règne de Kaïs Saïed. Il a estimé que tout le monde pouvait se mettre d’accord sur une désobéissance totale. Il a indiqué que l’unité et l’accord entre l’intégralité des acteurs de la classe politique étaient primordiaux, même en cas de tenue des élections.
« Y a-t-il un juriste affirmant, aujourd'hui, que Kaïs Saïed a conservé sa légitimité ? Non ! Il gouverne grâce à un coup d’État et par la menace. Toute personne s’y opposant finit en prison… Pour ce qui est des prisonniers politiques, quel que soit le nombre de personnes arrêtées, ceci ne changera rien… Le communiqué émis l’autre fois par les trois ministères (Justice, Intérieur et Technologies de la Communication) vise à ce que les Tunisiens aient peur de lui », a-t-il poursuivi.
Nous pouvons lire dans ce communiqué que : « des poursuites judiciaires ont été engagées pour révéler l'identité des propriétaires, des utilisateurs de pages, de comptes et de groupes sur les réseaux sociaux qui exploitent ces plateformes pour produire, promouvoir, diffuser, transmettre, ou préparer de fausses nouvelles, déclarations, rumeurs, ou des informations fallacieuses dans le but de diffamer, de dénigrer, d'attaquer les droits d'autrui, de porter atteinte à la sécurité publique et à l'ordre social, ainsi que de porter préjudice aux intérêts de l'État tunisien et de chercher à ternir ses symboles ».
Mohamed Abbou a critiqué la publication d’un tel communiqué. Il a estimé que les Tunisiens devaient vivre paisibles, tout en étant fiers et en gardant la tête haute. Un président, selon lui, ne doit pas opter pour la terreur et faire de ses citoyens des personnes vivant dans des conditions serviles. Il a considéré que l’opposition n’avait pas cru à la révolution du 14 janvier 2011 et que la même approche commençait à se dessiner actuellement.
L’ancien ministre a indiqué qu’il était prêt à soutenir et à participer à toute initiative visant à sauver le pays en tant que personnalité indépendante. Néanmoins, il ne compte pas être nommé dans une fonction importante. Il a estimé que le passage par le coup d’État de Kaïs Saïed pourrait servir de leçon et pousser la Tunisie vers une phase de démocratie. Il est revenu sur certaines questions évoquées par les partis dans le passé, notamment celle liée à la loi électorale. La révision de celle-ci a donné, selon lui, un parlement d'élus incompétents.
Pour ce qui est des diplômes falsifiés des fonctionnaires, Mohamed Abbou a indiqué qu’il ne s’agissait que de quelques cas de fraudes n’excédant pas quelques centaines ou milliers. De plus, il ne s’agit pas d’une question de faux diplômes, mais d’un recrutement d’employés dont les diplômes ne devraient pas leur permettre d'accéder à certaines fonctions. Il a assuré qu’il y avait un contrôle à ce sujet et a rappelé que le dépôt d’un dossier de candidature à la fonction publique ne pouvait avoir lieu qu’en présentant une copie légalisée du diplôme.
Mohamed Abbou a assuré qu’on pouvait réformer la Tunisie, mais que ceci ne pouvait avoir lieu qu’en préservant les institutions de l’État. Sauver la Tunisie est un devoir patriotique. Il a appelé Kaïs Saïed à ne pas avoir recours à la violence contre les citoyens. Il a, aussi, espéré que les magistrats ayant participé à la répression et à l’emprisonnement des opposants seront tenus responsables de leurs actes et finiront en prison.
« Le décret n°54 n’est pas aussi dangereux que ça. Néanmoins, il est à la disposition de magistrats non indépendants… Le décret n°54 est du charabia. Mais il ne me contrarie pas. Le problème est que les magistrats sont en train d’appliquer les instructions… Ce qui importe pour moi, reste le respect de l’État et de ses lois… Ils (les personnes au pouvoir) finiront tous par partir », a-t-il dit.
Mohamed Abbou a mis l’accent sur l’importance de respecter la constitution et les lois. Il a estimé que les peuples arabes avaient l’habitude d’enfreindre les règles. Il faut, selon lui, recourir à des sanctions afin d’encourager le respect de la loi. Il a mis l'accent sur l'importance de l'instauration d'une égalité entre les citoyens.
S.G
'Yadh Elloumi fonde son propre parti ' titre de l'article Publié le 2 Juin, 2021 - 11:34 par ESPACE MANAGER: TEXTO
'Dans une déclaration sur les ondes de Diwan FM, le député indépendant Yadh Elloumi a confirmé les informations parues sur les colonnes de Acharaâ Al Magharibi au sujet de sa volonté de fonder son propre parti'.
'Le parti en question devrait voir le jour en septembre prochain juste avant la session parlementaire, a indiqué l'ancien député de Qalb Tounes.'
La boulangère HANINE BOUGUERRA ,cherche , YADH ELLOUMI, DESESPERAMMENT (SUZAN) pour TENIR LA COMPTABILITE DES SES BOULANGERIES!!!!
Et il y a un troisieme, qui multiplie ses declarations et ses provocation , pour qu'il soit arreté, MAIS LA JUSTICE ET KAIS SAIED ne réagissent que par une méconnaissance totale .Ce qui l'énerve (ou l'excite) de plus et le pousse à multiplier les declarations et les provocations mais en vain.
Et le quatrieme qui a ménacé les Tunisiens d'une guerre civile il est détenu à MORNAGUIA.
Abbou ou l'homme par qui la controverse arrive : Article de LEADERS du 14.09.2012
Voici quelques extraits TEXTO:
Rien à faire. M. Abbou n'a pas voulu en démordre. Pour lui, « tous ces gens qui se mobilisent dans la perspective d'une fantasmatique date-butoir du 23 octobre 2012 doivent avoir à l'esprit les peines encourues en cas de tentative de changer la forme de gouvernement par la force. '?a peut aller jusqu'à la peine de mort ».
Le dirigeant du CPR se veut encore plus explicite : « Le 24 octobre, celui qui sera présent dans la rue, et qui présenterait une volonté de renverser le pouvoir par la violence, je suis navré de le dire, mais la sentence prévue est la peine de mort ».
Ce propos à la Robespierre tenu jeudi par M. Mohamed Abbou au micro de Mosaïque FM n'en finit pas d'alimenter la controverse sur les réseaux sociaux, moins dans la presse.
Voilà des intimidations qui ressemblent bien à l'ancien militant des droits de l'Homme que fut M. Abbou, réagit dans son blog Raja Ben Slama sur le ton de la dérision. « C'est abbouminable », raille de son côté le caricaturiste Lotfi Ben Sassi(BOCK BOCK). « En guise de Constitution, Abbou le terrible promet la potence » renchérit un autre journaliste.'
N°1 DEUXIEME EX AEQUO: SAHBI ATIG ENNAHDHA JUILLET 2013
ARTICLE DE B.N du 13/07/2013 | 18:34 ecrit par...... R.B.H .
Tunisie - Sahbi Atig appelle au meurtre de ceux qui contrent la légitimité (Vidéo)
Dans le cadre de la manifestation pro-Morsi organisée aujourd'hui 13 juillet 2013 par le parti Ennahdha, et réunissant entre 2 et 3 mille personnes, le chef du bloc parlementaire du mouvement islamiste Sahbi Atig a enflammé la foule par un discours menaçant à l'adresse de ceux qui soutiennent la rébellion contre ce qu'il appelle la volonté du peuple et la légitimité. Des propos qui ont suscité immédiatement après une polémique.
En effet, Sahbi Atig a lancé des menaces trop graves et tombant sous le coup de la loi. « Toute personne qui piétine la légitimité en Tunisie, sera piétinée par cette légitimité et toute personne qui ose tuer la volonté du peuple en Tunisie ou en Egypte, la rue tunisienne sera autorisée à en faire ce qu'elle veut y compris de faire couler son sang (youstabahou) », a-t-il dit en substance.
N°1 TROISIEME EX AEQUO: YADH ELLOUMI KALB TOUNES DECEMBRE 2020
Yadh Elloumi réclame la peine de mort contre les partisans de la dissolution du Parlement
10/12/2020 | 15:32 I.M
Le député Qalb Tounes, Yadh Elloumi, a préconisé dans un statut Facebook publié jeudi 10 décembre 2020, l'application de l'article 72 du Code pénal contre « ceux qui veulent dissoudre le Parlement sans aucun fondement ».
Mes sincères salutations
Mes chers -es compatriotes je ne demande rien à personne, je souhaite une seule chose que mon pays d'origine la république tunisienne trouvera sa place sur la scène internationale
Cordialement assil iRRiF luid ETTABOUNA ahlou erroujoula ahlou ELWATTANiA ahlou elkaram
C'est a cause de ces abrutis qu'on en est là. Il leur faut toujours une guerre sainte pour jouer au héros.
Sans ça, leur médiocrité et incapacité à jouer leur rôle de politiciens sera trop visible.
Ils vous donneront toutes les solutions possibles pour déclencher une guerre civile mais aucune solution aux problèmes des tunisiens et au développement du pays.
Tu as fait acte de haute trahison. Sous la "démocratie" actuelle tu aurais croupi en prison sans procès ni condamnation. Mais le "dictateur" a laissé pisser sous les pressions étrangères desquelles tu as bien profiter pour détruire le premier Pays d'Afrique que nous étions.
S'il y a une seule chose qui "Lé taslo7 wa lé tosla7" c'est bien toi.
Et merci pour Moi. En effet, tes semblables et toi ont montré, à posteriori, que j'avais fait le plus grand des miracles et faisant de la Tunisie ce qu'elle fût, en dépit des bâtons dans les roues incessants des traitres que vous êtes.
Léon, min Joundi Tounis al Awfiya,
Résistant Populaire contre la trahison de 2011 qui a donné le pays à la colonisation 2.0
Verset 112 de la sourate des abeilles
'Voilà des intimidations qui ressemblent bien à l'ancien militant des droits de l'Homme que fut M. Abbou, réagit dans son blog Raja Ben Slama sur le ton de la dérision. « C'est abbouminable », raille de son côté le caricaturiste Lotfi Ben Sassi. « En guise de Constitution, Abbou le terrible promet la potence » renchérit un autre journaliste.'
survenue en janvier 1984 et c'est le vote du peuple qui sera le dernier mot, combien de temps perdu pour démarrer une autre TUNISIE qui est astreint de débuter son expérience démocratique.....Actuellement, notre TUNISIE a besoin d'un PRESIDENT qui croit et qui est convaincu d'une certaine gouvernance collégiale, et qui a le culot de choisir une équipe créative de collaborateurs en tenant compte uniquement de leur intégrité, et de leur compétence et chacun dans son domaine sans aucune autre considération familiale, régionale, ou partisane, leur seul souci devrait être seulement commet pouvoir servir leur peuple et faire sortir notre mère nourricière, notre chère TUNISIE du profond gouffre et du bord de la banqueroute en instaurant par tous les moyens légaux, la justice sociale , la bonne et la transparente gestion de nos deniers publics et de nos ressources naturelles , et de cette manière, on garantit la confiance de la grande majorité du peuple qui est très souffrant et qu'elle serait l'ultime et la suprême condition de tout acquit d'un certain développement et de toute sorte de prospérité dans tous les domaines et les secteurs , sans cette confiance, sans cette dignité de foie, sans cette assurance, tout serait compliqué et retardé , et à savoir comment et combien d'années , on "devrait courir derrière elle"
Il le sait mieux que quiconque. Il sait qu'ils sont définitivement finis. Il sait que la poubelle de l'histoire ne les lâchera jamais plus.
Il croit qu'en semant la discorde et la zizanie, il aura une gigantesque chance de gagner aux présidentielles avec son ridicule costume de toréador qui le portera, lui et sa femme au gigantesque postérieur, sur le trône de Carthage.
Pire que les chacals, pire que les hyènes, ces gens-là sont les pires charognards du pouvoir.
La faim justifie les moyens.
Non Mr Abbou, vous êtes rejeté définitivement aux calandres Grecs ,aux oubliettes ainsi vos collègues profiteurs, et opportunistes.
Enfermé dans son délire Mr Saed n organisera pas ce scrutin
Ce seront les retombées de la crise économique et sociale a venir qui le feront quitter sa fonction
Mais à quel prix?
On ne veut plus pour que vous accéder au pouvoir.
On prend des vacances de la démocratie et les élections libres on se repose et nous somme en vacance.
Meur Abbou laissez nous en vacance et c est bien.
Hanoute Msakker Wa la karia Mchouma.
In Harroumou AA liikom.
Depuis son élection en 2019, Kais Said est passé de 73% (2019) à 81% (juin 2023) de tunisiens satisfaits de son rendement.
Que pouvez-vous faire Mr Abbou contre un Président Said, porté sur les épaules de tout un peuple.
Les tunisiens ne sont pas dupes Mr Abbou lorsqu'ils soutiennent leur président, et Dieu sait que ces tunisiens manquent de tout presque, mais cela ne les empêche pas d'être constamment derrière le Président.
Ce n'est donc pas avec votre discours de diabolisation du Président, ni avec votre appel à la désobéissance civile que vous venez de lancer, que vous allez gagner le Coeur des tunisiens.
Non Mr Abbou, les tunisiens ont vu de toutes les couleurs pendant des décennies. Ils savent choisir en citoyens responsables.
Guannouchi a acheté les électeurs, il n'a pas duré; Ben Ali a terrorisé les électeurs, il n'a pas duré lui aussi, Bourguiba s'est fait président à vie, il n'a pas duré non plus.
Je résume:
Les tunisiens choisissent leur président, s'il travaille pour eux et pour leur pays, ils le soutiennent; mais, s'il trahit, ils le massacrent.
8 % tu appelles çà TOUT un peuple ?
tu sais pas compter.
go back to school.
S'il sait des choses, qu'il nous rapporte et leurs contenus et leurs circonstances, ou alors il en sait trop et personne ne peut le contredire.
C'est ce qu'on appelle "un effet d'annonce" et cela suscite déjà approbation.
Il serait plus avisé d'ouvrir un Cabinet conseil comme il en pleut dans ce monde où les sachants pullulent.
Parfois, il vaut mieux se garder d'engager sa parole.
Mais....
"Mais"... récemment, à l'occasion de la prolongation de quatre nouveaux mois de la détention provisoire des détenus politiques, vous n'avez pas hésité à les charger et les condamner définitivement, sans procès, sans appel et sans attendre que la "justice" ait eu le temps de se prononcer. Le tout sur de simples rumeurs, soupçons et on dit collectés auprès de quelque délateur, corbeau en mal de reconnaissance sans le moindre début de preuve.
Combien de types y a-t-il en vous ?
Tu ne peux t'empêcher de médire, de chercher comment avoir le dernier mot, tu es une crasse.
Ce sont vos propos Toujours égal à vous même.
Vous n'assumerez jamais vos incohérences comme le dit si bien Zarzoumia.
Vous botterez toujours en touche.
On n'attend plus rien de quelqu'un qui a assisté sans broncher cinq jours durant au lynchage par le Ku Klux Klan local des personnes de couleur. Pour éviter d'indisposer son idole. Idem pour les Subsahariens déportés en plein Sahara.
Pauvre de vous.
Petit prétendant correcteur, et vous êtes nombreux, je vais t'éclairer.
Promo, il n'y a pas photo entre des gens qui ont pour projet de nommer un "gouvernement provisoire" et défendent les tueurs ou les donneurs d'ordre de tuer, et les "sages paroles" qui ne sont qu'ironisues à propos d'Abbou.
Secundo, tous les donneurs de leçons de démocratie, et il y a pléthore étaient aux abonnés absents quand les terroristes et leurs édiles ou initiateurs ne respectaient rien ni personne.
Tertio, je prends le parti de défendre l'Etat, les institutions, même peu satisfaisants face à toute la charretee de sachants qui ont la bouche pleine de démocratie mais sont vite excédés, énervés, insultants, en tout cas pas respectueux de qui ne partage pas leurs opinions.
Alors, oui, je choisis et décide librement.
Je choisis Saied, même avec ses insuffisances face à ce Front, tantôt du salut, on se demande lequel et de qui, tantôt de tous les refuznik de pacotille puisque rien de ce qu'ils disent n'est une proposition, et l'intérêt général est absent de leurs préoccupations.
Enfin, je préfère les gens honnêtes, simples, et me fie peu aux prétendants de toutes sortes.
Du reste, tu m'offres une occasion de te rappeler que lorsqu'on se targue de défendre "les grands principes", démocratie, civilité, on se doit de les appliqué à soi, en premier.
On argumente, oui.
On respecte surtout, c'est aussi cela la démocratie.
Sages paroles te dit de rester à ta place.
Et avec beaucoup de convictions.
Ce qui n'est pas si sûr chez toi.
t'a été élu par erreur. preuve: pas réélu.
assil irriff ?
retourne à ton rifff.
ce sera kif kif
Vous n'avez encore rien compris,vous ne voyez rien venir,depuis le 25 Juillet 2021 ,on vit dans une Monarchie absolue qui ne dit pas son nom,tous les pouvoirs étant concentrés en une seule main,donc passer à un Etat de Monarchie Constitutionnelle serait un moindre mal et tenez comme par hasard Sid'Ahmed a toujours plaidé en faveur d'une telle Monarchie....
D'ici 2024 auront-ils l'audace de faire le chemin inverse de Bourguiba entre le 20 Mars 1956 et le 25 Juillet 1957?
Pour ma part,non seulement je ne serais pas étonné mais à la limite je serais pour avec un vrai Parlement détenant un vrai pouvoir,le Bon peuple étant enfin débarrassé du souci de choisir son représentant à Carthage,une fois assuré de la présence du patriote intègre occupant les lieux à vie,mais la question qui se posera alors est comment se fera la Succession? de façon héréditaire ou bien d'un type spécial ,je ne sais pas moi du type Vatican en conclave pour choisir le pape ou tu type iranien pour choisir l'Ayotallah,mais on peut compter sur le Génie tunisien guidé par Mèwlènè el emir pour trouver la bonne formule......
L'essentiel est que dans la rue,on voit défiler le bon peuple criant à gorges déployées: Yahia Sidnè,Allah yonssor Sidnè!
le RU est la plus ancienne démocratie, une monarchie constitutionnelle.
hatha sidna illi bass
Jiboulou elkorsi yetrass