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Marzouk : Ceux qui ont tenté d'assassiner Ridha Charfeddine ne réussiront pas à nous faire peur
08/10/2015 | 12:44
1 min
Marzouk : Ceux qui ont tenté d'assassiner Ridha Charfeddine ne réussiront pas à nous faire peur

Le secrétaire général de Nidaa Tounes, Mohsen Marzouk, vient de réagir, dans un post Facebook, à la tentative d’assassinat du député et président de l’Etoile sportive du Sahel Ridha Charfeddine ce matin, jeudi 8 octobre 2015.

 

M. Marzouk a affirmé : «Les terroristes, qui ont tenté d’assassiner le député de Nidaa Tounes Ridha Charfeddine, ne réussiront pas à faire peur ni à Nidaa Tounes et ni au peuple tunisien. Notre militantisme continue contre le terrorisme et la corruption. Nous remercions Dieu pour la vie sauve de notre député».

 

Intervenant sur Midi Show, le secrétaire général de Nidaa Tounes a souligné que les réseaux de terrorisme et ceux de la corruption sont liés. Pour lui, il est évident qu’on ne pourra pas vaincre le terrorisme sans éradiquer la corruption.

 

I.N

 

 

08/10/2015 | 12:44
1 min
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Commentaires (18)

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Citoyen_H
| 09-10-2015 13:20

Entièrement d'accord avec vous.
Cependant il ne faut surtout pas oublier que nous ne sommes plus maitre de notre patrie.

Les états unis nous ont imposé un plan de route. La moindre incartade serait systématiquement sanctionnée par la coupure des robinets. Plus de flouss, donc guerre civile garantie.
Le pillage intensif des caisses de l'état par les chameliers traitres imposteurs (2011-2013) faisait partie du plan.

Les attaques régulières des terroristes sont commandités par les bailleurs de fonds. Elles font office de rappels aux dirigeants actuels quant aux accords contractés.

Si les chameliers se sont mis en veille, ce n'est pas le fruit du hasard.
Nous sommes en quelque sorte, entre le marteau et l'enclume.
Nous sommes dans une situation affolante.
Notre seul salut réside en l'abandon du soutien américain aux traitres imposteurs de montplaisir.
Pour le moment, c'est de la pure fiction.
Salutations.



Kairouan
| 09-10-2015 07:41

Scarabée| 08-10-2015 18:08

Bravo et merci pour votre contribution. Vous essayez a juste titre de (re)focaliser l'attention sur les vrais dangers qui nous guettent, et les defis multisectoriels qui n'arretent pas de s'empiler sous les regards hebetes d'un Nidaa Tounes, plein d'opportunistes, faut-il le faire remarquer, et d'incompetents.

lyne
| 08-10-2015 20:18
Bla bla bla bla

Scarabée
| 08-10-2015 18:08
Nous, simples citoyens, avons d'autres raisons d'avoir peur.
La tentative avortée de ce matin sonne plutôt comme un avertissement car, pour un tireur émérite, tirer plus de trente balles et rater sa cible relèverait d'un amateurisme qui n'a pas sa place parmi les terroristes bien entraînés.

Par contre, ce qui nous ferait plus peur, c'est le constat du pitoyable comportement d'un parti élu légitimement, qui a refusé de prendre le pouvoir, l'a remis entre les mains d'une équipe branlante, et passe son temps à se livrer une guéguerre interne sans fin.

Ce qui nous fait peur, c'est de voir le destin du pays et de ses habitants livré à des amateurs incapables de prendre les décisions qui s'imposent, de faire les réformes nécessaires, de procéder aux divers nettoyages promis dans l'administration et ailleurs, d'instaurer l'ordre et le travail, d'arrêter les assassins, de faire la lumière sur les manigances des ennemis de l'Etat, de condamner et de juger tous les traîtres de la patrie. Et ils sont légion !

Ce qui nous fait peur, c'est de voir que les dirigeants se font mener par le bout du nez par de potentiels assassins, nocifs et dangereux pour la nation.

Ce qui nous fait peur, c'est d'être vulnérables, à la merci de n'importe quel extrémiste téléguidé, tout en sachant que la police ne peut rien pour nous, selon qu'elle a les mains liées ou qu'elle appartient à un réseau parallèle.

Vous avez permis au pays de s'enfoncer dans un système de terreur qui ne fait que commencer. Par votre complicité, votre complaisance envers ceux dont vous aviez promis de nous libérer.

watani
| 08-10-2015 17:13
Bourguiba était de loin plus courageux que BCE, s'il était vivant, il aurait rétablir l'ordre dans le pays. C'est simple, il aurait nettoyé l'intérieur et la justice des traîtres et des infiltrations. La mafia islamiste infiltrée doit être jugée et les partis qui les protègent doivent être dénoncés, la loi doit être appliquée à tout le monde. Les tunisiens n'ont pas peur de la guerre civile, à chaque fois on nous fait sortir ce mot, s'il faut faire la guerre avec ces terroristes et bien on le fera, nous soutenons la police, l'armée et la justice fidèles, les traîtres seront battus quelque soit leur idéologique et leur appartenance politique. Les ministres doivent travailler dans ce sens, sinon ils n'ont qu'à quitter. Nidaa doit prendre en main leur destin et gouverner le pays sans les islamistes terroristes.

takilas
| 08-10-2015 16:11
Justement ! C'est sous des menaces à une soi-disant guerre civile, ou à « taghaouel ; une domination et une dominance» et on ne sait pas quoi d'autre, lorsque les influences de la part d'autres partis (malintentionnés) ont fonctionné ; s'agit-il de coup de bluff ou de réelles menaces ? D'ailleurs, les réactions populaires ne pouvaient pas suivre, car la formation du gouvernement a été faite soi-disant par un commun accord. De toute façon, faut-il le dire cela n'aurait jamais été réalisé avec un autre parti. Donc s'agissait-il de réconciliation imposée par d'autres Etats ou de réelles menaces ? Car avec la situation actuelle, les élections sont devenues caduques ; pire encore, les autres partis (ou plutôt l'autre) ont étonnement provoqué par vengeance, suite à leur défaite, des grèves partout dès le 1e jour du nouveau gouvernement, et à scléroser l'économie tunisienne, au vu et au su de tout le monde. Il en découle (par incitation antidémocratique et antipatriotique) que des coups bas sont devenus faciles, et que les campagnes de sabotage se sont accélérées de jour en jour.
Et en guise de récompense, des primes et des avancements de grades ont été accordés, bon gré mal gré par l'Etat à ces saboteurs alléchés (devenus des milices improvisés), et des augmentations de salaire, des recrutements anarchiques, de marges bénéficiaires révisées sans fondement à la hausse et diverses autorisations accordées pêle-mêle.
Dès lors, le terrain devient de plus en plus vulnérable, et les attentats, les actes d'insécurités sont devenus à la portée ; des criminels trouveront on ne sait comment des armes éparpillés partout. Mais toujours est-il ce qui dérange le plus c'est les crimes à élucider qui est en grande partie la cause du dysfonctionnement de ce pays, et l'on comprend, suite à ce qui a été écrit, les raisons de les protéger par d'autres, même ceux qui ne sont pas directement concernés.

ally
| 08-10-2015 15:48
Franchement ; dites moi pourquoi on veut l'assassiner ?
En terme juridique ; quel est le mobile ?
Aucun à ma connaissance !
Qu'on m'explique pourquoi ?
D'autant plus d'après la radio ; on a tiré 30 coups sans l'atteindre, heureusement. Donc ; le tireur doit être un aveugle.
C'est une bonne nouvelle : police aveugle, journaliste aveugle et les tireurs sont,donc aveugles !!

Chouchen
| 08-10-2015 15:08
Lâchez ennahdha ou rendez moi ma voix , vous nous avez trahis

Bahrila
| 08-10-2015 14:53
C est voys qui nous faites peur

mjr
| 08-10-2015 14:23
Le probléme provient essentiellement de l'opportunisme,d'une prise de conscience insuffisante et de l'incapacité des partis politiques "modernistes" à créer un front intérieur uni pour lutter contre le projet islamiste.En pratique cela s'est traduit par l'absence de vision pour relever le pays , lutter la corruption , les mafias ,les lobbies de toutes sortes et le terrorisme .
En particulier Nidaa s'est construit sur la base de la peur d'Ennahdha et de l'islamisme ce qui est tout à fait compréhensible. Mais le fait de baser ses objectifs sur la diabolisation de l'autre ,uniquement , ne peut tenir lieu de politique et fournit simplement un alibi pour l'absence de politique .
Cette diabolisation a eu pour corollaire:
-d'une part le renoncement à toute analyse sérieuse, à toute élaboration d'une politique sérieuse dans l'interet du pays
-et d'autre part à l'obligation pour Nidaa de vivre avec des compromis et des alliances contre nature.
Chacun doit d'abord balayer devant sa porte s'il n'est pas trop tard