Les militantes du PDL ont organisé, dimanche 3 décembre 2023, une manifestation devant le siège du Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'Homme à Tunis pour protester contre l’arrestation de la présidente du parti, Abir Moussi, placée en détention depuis le 3 octobre 2023.
Les manifestantes ont saisi l’occasion du lancement des seize jours d’activisme pour la lutte contre la violence à l’égard des femmes pour condamner les violations subies par Abir Moussi et les dépassements enregistrés.
Un communiqué a, également, été publié à l’issue de cette manifestation, pour condamner l’agression de la présidente du parti et la violence politique, morale et physique qu’elle subit par le pouvoir en place.
Elles appellent le pouvoir politique à la libération immédiate de la présidente du parti, tout en dénonçant la dégradation des droits de la femme, notamment, à travers les décrets relatifs à la loi électorale, ayant supprimé la parité des textes de loi.
Les femmes du parti tiennent Kaïs Saïed responsable légalement de tout préjudice causé à l'encontre d’Abir Moussi pendant sa détention ou de tout manquement à assurer le suivi de sa situation de santé lors de sa grève de la faim.
S.H
Ne t'inquiète pas ,elle ne passera jamais et aucun traître ne gouvernera ce pays....
Les tunisiens vous détestent tous et ils ne laisseront jamais les criminels foutre leur nez dans ce pays....
Ni la Tunisie ni l'Algérie..
Les marocains commencent à comprendre et à se réveiller.
On pourrait, à raison, distinguer entre des individus sur qui pèsent des soupçons, des charges , ou qui font l'objet d'enquêtes mettant en cause la sécurité du pays ou bien encore concernés par des faits criminels, dont les corruptions sont un exemple et un moyen, d'un autre côté, nous avons une personne qui se démarque par son opposition aussi bien aux islamistes et leurs suiveurs nombreux qu'au chef de l'Etat et son pouvoir.
Par ailleurs, on ne lui connait aucune affaire , comme on dit, susceptible de la lettre en cause personnellement ou comme cheffe de parti.
On peut, suivant ce raisonnement, et attendu que nous ne disposons d'aucun élément à mettre au crédit du pouvoir dans sa volonté de la priver de ses libertés, la déclarer injustement poursuivie et emprisonnee.
Parce qu'il serait injuste , inacceptable de la ranger dans la même catégorie que des malfrats corrompus et autres criminels et voleurs .
Abir Moussi a le droit de contester la politique et les procédés du pouvoir.
Elle l'a, me semble-t-il, fait dans des conditions qu'on peut trouver un peu contestables formellement, mais dans le respect des lois.
Ceux qui en appelaient à la formation d'un "gouvernement provisoire", se prenant pour des résistants valeureux alors qu'au mieux ils se rangent dans les compagnons des prétendants sans armature ni vision, méritent leur sort.
Ils tiendront le temps utile compagnie à leurs inspirateurs et soutiens.
Free Abir !
Attends, attends, ce n'est que le début, car Allah yomhil wè lè yohmil. Tout votre théâtre RCDiste régionaliste, ne vous fera que ridiculiser. Personne d'entre vous tous les Azlèms, n'échappera aux Damnations de ses victimes.
Les mêmes gabarits, la même catégorie et les mêmes cocoricos.
Les autres n'ont pas le droit de manifester au profit des leurs d'Ennahdha et autres. Ils sont des "islamistes". Non pas des "Azlamistes" résidus du RCD déchu.
Manifester pour la Zalèma Abir Moussi, dans l'attente qu'elles demandent des pensions alimentaires à Rached Ghannouchi.
Allah yostir Tounes wè yèhlik Ass-hab el-charr.
Demande à n'importe quelle Tunisienne si elle trouve la moindre sympathie avec cette clownesse, la Zalèma moussi. Donc, qui est derrière ce théâtre et qui le finance pancartes comprises, sinon les Emirats hébraïques, qui transmettent toujours les singeries de la Zalèma Abir Moussi et sa horde, souvent live en direct par leurs TV!!!