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Mahfoudh : Toutes les mesures seront prises pour faciliter le retour de la femme de Falikou Coulibaly à son pays
26/12/2018 | 12:21
2 min
Mahfoudh : Toutes les mesures seront prises pour faciliter le retour de la femme de Falikou Coulibaly à son pays

 

 

Le ministre auprès du chef du gouvernement, chargé des relations avec les Instances constitutionnelles et la Société civile et des Droits de l'Homme, Mohamed Fadhel Mahfoudh, a indiqué sur les ondes de Shems FM ce mercredi 26 décembre 2018, que l’épouse du président de l’association des ivoiriens de Tunisie, Falikou Coulibaly, sera rapatriée avec la dépouille au cours de cette journée.

Notons que l’épouse de Falikou Coulibaly réside en Tunisie depuis 25 mois d’une façon illégale, elle est appelée à payer une amende de 2000 DT. Dans ce sens, le ministre a décidé d’intervenir pour résoudre ce problème.

« Toutes les mesures seront prises pour faciliter le retour de la femme de Falikou Coulibaly à son pays natal, on a appelé le ministère de l’Intérieur pour examiner ce dossier », déclare Mohamed Fadhel Mahfoudh, en ajoutant : « C’est un cas exceptionnel, nous devons prendre des mesures exceptionnelles ».

 

En réponse aux manifestations de la communauté ivoirienne en Tunisie pour dénoncer cet acte raciste, l’invité de Shems FM, a précisé que les investigations n’ont pas montré jusqu’à présent, que le crime est raciste, il peut être un crime de droit commun. « Les Tunisiens ne sont pas racistes, Tous les ivoiriens et les africains sont les bienvenus parmi nous, la Tunisie lutte contre toutes les formes de discrimination raciale » précise Mohamed Fadhel Mahfoudh.

Il est à noter que le président de l’association des Ivoiriens de Tunisie, Falikou Coulibaly, est décédé tard dans la soirée du 23 décembre 2018. Il a été poignardé au cours d’un braquage dans la zone de la Soukra.

 

O.B

 

 

 

 

26/12/2018 | 12:21
2 min
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Commentaires (7)

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Ce n'est pas du racisme...!!!
| 26-12-2018 17:03
Il s'agit d'un crime abject causé par des jeunes braqueurs tunisiens, criminels et voyous, mais pas d'un acte de racisme envers nos frères africains vivants en Tunisie...!!!! Arrêtons donc de dire des sottises et de qualifier tout le peuple tunisien de raciste...!!! Tous les africains noirs ou blancs doivent se sentir chez eux en Tunisie...!!!

Jimmy
| 26-12-2018 16:48
Monsieur, son mari a été tué, et qu, est-ce que vous nous sortez comme connerie : elle réside en Tunisie de façon illégale depuis 25 mois? Non non et non il ne faut pas la laisser partir elle n'a pas assez payé dans ce pays de ... il faut qu'elle s'acquitte de 2000d? Elle perd son mari et ce monsieur nous met en exergue qu'elle doit payer une amende mais qu'il a contacté le ministère de l'intérieur pour trouver une solution BRAVO, BRAVO et encore BRAVO !!!! Qu'elle générosité !!

Chawki
| 26-12-2018 15:16
L'association des Tunisiens de Côte d'Ivoire aTunCi a dénoncé ce crime crapuleux et nous sommes plusieurs à interagir avec la communauté ivoirienne pour rappeler qu'un racisme latent, parfois sournois tantôt se manifestant en plein jour en toute impunité, existe bel et bien en Tunisie, tout en appelant à ne pas faire d'amalgames : l'assassinat du regretté est un acte crapuleux, un braquage qui a mal tourné, constituant une occasion de parler en plein jour des humiliations que subissent chaque jour les gens de couleur en Tunisie.

https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=310550422896362&id=195578017726937

Larry
| 26-12-2018 13:13
Les Tunisiens sont racistes à plus de 90% ... Pourquoi le cacher ?
Les blacks sont les plus souvent agressés pour leurs portables par les voleurs et la racaille... et c'est la triste réalité, alors pourquoi mentir espèce de .... ?
Et de venir clamer une amende de 2000 dinars est la pire des issue au problème... Les Tunisiens en Côte d'Ivoire ne payent pas de pénalités que je sache !
Je vois juste le commentaire d'un type qui se défile de ses responsabilité, n'ayant ni honneur, ni dignité !
Ce pays devient à chier !

abc
| 26-12-2018 13:03
Attakhalef !!!

DHEJ
| 26-12-2018 12:47
...

moi
| 26-12-2018 12:46
de l'avoir tué et d'avoir laissé faire, laissé se propager la criminalité, le sentiment d'impunité, le racisme
une place à son nom est une exigence à imposer à la municipalité, pour ne pas oublier et pour que cela ne se reproduise plus.