
Le député du mouvement Ennahdha et assesseur du président du Parlement chargé de la communication, Maher Medhioub, s’est entretenu, mardi 26 octobre 2021, avec Mustafa Şentop, président du Parlement turque au siège de l’Assemblée à Ankara.
Maher Medhioub a affirmé que la rencontre a porté sur les liens d’amitié entre les deux peuples et ajouté que le parlementaire turc l’a chargé de transmettre ses salutations au président de l’ARP gelée, Rached Ghannouchi se disant confiant quant à la capacité de la Tunisie de restaurer son rôle de leader dans le monde arabe et islamique.
Cet entretien n’est pas sans rappeler la campagne de lobbying que mène Ennahdha auprès des partenaires étrangers de la Tunisie depuis la proclamation, par le président Kaïs Saïed, des mesures exceptionnelles, le 25 juillet.
De l’aveu du conseiller de Rached Ghannouchi, Riadh Chaïbi, le mouvement « mobilise depuis le 25 juillet le soutien des "démocrates" dans le monde contre le coup d’Etat opéré par Saïed ».
« La violation par Saïd de l'engagement démocratique était claire pour la communauté internationale, ce qui nécessite une révision des relations financières et économiques avec l'Etat tunisien, et c'est presque ce qui s'est passé. Les positions internationales rejetant les procédures de Saïd sont normales au vu des accords internationaux qu’a signé la Tunisie et le devoir de solidarité internationale avec la démocratie tunisienne s'est d’ailleurs exprimé avec toute sa force », a-t-il souligné dans une déclaration accordée à l’Agence turque Anadolu et parue ce 28 octobre.
M.B.Z

Le trio du mal, les Emirats hébraïques, les Scie Monchar Ben Selman saoudien et le Saffah Sissi d'Egypte, ont passé des mois et des mois à soutenir leur pion Hafter et ses Haftérichs, jusqu'à ce qu'ils eurent crié victoire aux portes de Tripoli par leur fameuse phrase :"dakkatt al-saâ" ou (l'heure a sonné).
Le premier ministre de l'époque Faez El-Sarraj, a été voir nos frères les Turcs, pour sauver la Révolution libyenne de ce trio de criminels arabes, ennemis des Révolutions arabes. Quelques jours après, Hafter et ses commanditaires ne trouvèrent plus de solutions, que de reculer vers le désert et vers les frontières égyptiennes. Le reste nous est bien connu jusqu'à aujourd'hui. La France qui nous trahit maintenant en s'alignant avec les amis de ses Lévy, les Emirats hébraïques, avait fait la même chose contre la Turquie en Libye. Ils ont tous échoué, comme ils vont tous échouer leurs intrigues contre notre transition démocratique en Tunisie.
Les Américains et les Turcs, connaissent bien les plans diaboliques de la France et de ses acolytes dictateurs arabes. Ils les laissent faire tant qu'ils n'y touchent pas à la ligne rouge. Par la suite, ils vont leur siffler la fin de leurs jeux autour du président Kaïs Saïed. Leurs pétrodollars ne valent rein du tout sans la bénédiction des Américains. Donald Trump l'a dit explicitement tout haut, que sans la protection américaine, l'Arabie Saoudite ne tiendra pas une seule semaine. Une vérité qu'on lui constate dans son éternelle guerre perdue au Yémen.
La question que doit se poser chaque Tunisien dans ce monde, c'est, pourquoi ce trio dictatorial et despotique arabe des Emirats hébraïques, Monchars saoudiens et Saffah Sissi d'Egypte, ne nous laissent-ils pas jouir en paix de notre liberté et de notre démocratie, du moment qu'on soit à des milliers de kilomètres de chez eux et du moment qu'on ne regarde, que dans la direction occidentale de l'Europe et des Amériques!!!
Vive la Révolution tunisienne. Vive le régime parlementaire. A bas le régime présidentiel.
Ces politiciens qui vendent le pays pour s accrocher a leur sieges
La Tunisie aux Tunisiens
Tous les chefs d'états du monde se dirigent vers la turquie toutes les fois où ils sont en mal d'inspiration démocratique.. Une source inépuisable des préceptes de la Démocratie.
il n 'ya qu'à se rappeler de la visite éclair de notre cheikh Dr ghannouchi en turquie, le lendemain de la chute du gouvernement de si lahbib jamli, il en était revenu rajeuni et bien ressourcé.
Dr medhioub, un grand militant et une personnalité politique de taille n'a pas failli à la règle. il rencontre de grands démocrates pour parler des relations d'amour entre le peuple tunisien et turc, et demander des renforts en démocratie pour notre pays.
Ni abel chater, ni nazou la chamelière, ni forza, ni werrior, ni les autres frères n'oseront me contredire cette fois-ci.. la turquie est membre du G20 , faut jamais l'oublier.
Mais non, c'est sans espoir pour vous les nahdhaouis!
KS a résisté aux USA, à l'UE, il résistera bien à un petit sultanat turc!
Allez vous faire voir les turcs qui avez bien "bloqué" et bouclé les islamistes chez vous pour pouvoir développer vos relations internationales avec l'Egypte, l'Arabie et les EAU!
Ca vaut pour vous et pas pour le pays souverain chez lui qu'est la Tunisie?