
Deux hauts cadres sécuritaires de l’aéroport Tunis Carthage ont été limogés hier jeudi 2 juin en milieu de soirée, apprend Business News de sources sécuritaires informées.
Il s’agit du commissaire de l’aéroport et du chef du service de renseignements de l’aéroport.
Les raisons de ces deux limogeages demeurent floues pour le moment. Deux versions circulent : la première est qu’il y aurait eu un incident assez grave à l’aéroport et les deux cadres auraient brillé par leur absence.
La deuxième version est que les deux cadres auraient été limogés par Abderrahman Hadj Ali, directeur général de la Sûreté nationale pour des raisons d’ordre politique ou/et de règlement de comptes.
A la chancellerie, on aurait très mal pris cette annonce et on fait remarquer que le mouvement des hauts cadres intervient, d’habitude, après le mois de ramadan et non à sa veille.
On fait également remarquer que l’annonce a eu lieu juste après l’interview du président de la République, laissant sous-entendre que ce proche de Habib Essid aurait eu une réaction impulsive liée à ses déboires judiciaires et à l’éventuel départ imminent de son mentor.
M.G.
Commentaires (7)
CommenterEn fin de compte la corruption regne toujours
Il faut un corps d'élite et intègre pour sauver ce qui peut l'être
Une vraie catastrophe pour le Tourisme et la réputation du pays.
Il faut, donc, un remède de cheval.
Une piste parmi tant d'autres ! Confier la gestion de l'aéroport à un corps d'élite appartenant à l'armée avec un changement d'équipe toutes les 24 heures pour éviter les copinages, multiplier les caméras dans des endroits invisibles en les reliant INCOGNITO à une salle d'opérations quelque part à Tunis pour éviter les mauvaises interférences et les disparitions de disques durs. Car, les civils -quelles que soient leur compétence et leur honnêteté par ailleurs, restent fragiles, SOUDOYABLES et MONNAYABLES.
Il faut savoir que l'aéroport est devenu un vrai marché où tout se négocie....
Lorsqu'un mafieux offre par les temps qui courent (C'est ce que l'on m'a dit) des sommes de l'ordre de 200 Briques, et je suis sûrement loin de la vérité, à un haut gradé qui ne touche même pas 2000 dinars par mois, je vous laisse deviner la suite.
J'ai vu des Tunisiens honnêtes qu'on a démolis parce qu'ils ont refusé de passer à la caisse.
Un flic véreux monte dans la cabine "AIR FRANCE" pour balancer des calomnies sur la personne en question avec le numéro du billet, du passeport et tout le toutim. Genre : attention il a des accointances avec les Djihadistes...Faites gaffe à lui.
A sa descente à Orly ou à Roissy-Charles de Gaulle le mec est tout de suite fiché "S" par la DGSI. Et, c'est l'enfer qui s'ouvre sous ses yeux ébahis. On ne le lâche plus d'une semelle après. Et, pour cause ! La Tunisie n'est-elle pas devenue -par la grâce des Khwengias- un pays exportateur de terroristes. Donc, tout est possible pour un fonctionnaire zélé et pas spécialement tendre avec certaines races de surcroît.
Oui, c'est déjà arrivé. Je ne vous raconte pas des salades.
Dans l'ignoble je n'ai jamais vu pire.
ETTOUNSI LITTOUNSI NIKMA.
Merci la satanée "révolution" de la "Barouita".
AEROPORT DE TUNIS... JUGE PASSOIRE..
parlant de l avion EGYPTAIR disparu, un expert international, remarquant que l avion etait passe par tunis,avant le vol nefaste, la possibilite qu une bombe ait ete placee a partir de l aeroport de tunis existait bel et bien.....
voila comment la note du RISQUE SOUVERAIN est influencee, negativement bien sur......
IBN KHOLDOUN avait raison....
APRES LE MOIS DE RAMADAN......VOILA OU ON EN EST....
LA RIGUEUR, et LA DECISION des responsables........
voila pourquoi les ARABES en sont encore la.....BRAVO
Version 1 et Version 2, faites vos jeux !
Mr haj Ali doit prendre la tête de l'intérieur
que la chasse aux sorcières commence

