Par son complexe d'infériorité exagéré, le défunt dictateur déchu «Bou-Petit-Cou», nous a laissé une génération d'imbéciles heureux, d'éducation de poulaillerie, qui se vantent jusqu'à aujourd'hui de leur aplatissement devant les plus forts, comme étant une «intelligence de poules bourguibiennes», qui s'accroupissent devant n'importe quel coq, pour se faire féconder par leurs pets. Des pets qu'ils appellent «lucidité politique». Cette même doctrine de lâches, de traîtres, d'égoïstes, d'avides de pouvoir et d'intérêts personnels et régionalistes, qui nous a détruit l'avenir de plusieurs générations tunisiennes depuis 1957, au point que même 60 ans après ces mensonges de leurs «plans quinquennaux», les jeunes se sauvent de la Tunisie au risque de leur vie. Une catastrophe encouragée et vantée par les lobbies médiatiques judaïques. Des faux-jetons à l'image de ces Azlèms du RCD déchu, qui nous gonflent la trahison et la soumission du défunt dictateur déchu Bourguiba, comme étant un génie parmi les vers de terre. Ce baratin de «sièssit el-marahil» ou (politique des étapes), par lequel Bourguiba a laissé la Tunisie et les Tunisiens sous occupation française jusqu'à aujourd'hui. Le même piège que Bourguiba voulut tendre aux Palestiniens par son discours d'Ariha. Il a exhorté les Palestiniens à reconnaître une légitimité au profit de leurs assaillants, voleurs, génocidaires et colonisateurs juifs venus des quatre coins du monde, par son bluff de «sièssit el-marahil» ou (politique des étapes). Une trahison qui aurait vidé toute la Palestine de ses propriétaires arabes et chrétiens, comme c'est le cas actuel en Cisjordanie après l'accord d'Oslo, s'il n'y avait pas eu le renard Yassir Arafat (Allah yèrhamou wè innaâmou), qui a compris le piège de Bourguiba, bien qu'il ait commis presque la même faute par son accord d'Oslo de septembre 1995, plus de 30 années après le discours-piège de Bourguiba, au mois de mars 1965. Il s'est avéré que l'intelligence des dictateurs arabes Harkis des juifs génocidaires de Gaza, ne se limite pratiquement qu'aux fauteuils que leur garantissent leurs colonisateurs, comme au palais de Carthage de Bourguiba en Tunisie ou à la «Moukataâ» du PLO à Ramallah, que le Harki des juifs génocidaires de Gaza occupants de la Palestine, Mahmoud Abbas, l'élargit par son nouveau palais luxueux, s'étendant sur 2,7 hectares et doté de deux héliports, en imitation aveugle au luxe que le génocidaire de Rabiaâ, le Saffah Sissi d'Egypte, l'impose aux frais de nos pauvres frères égyptiens, qu'il affame et qu'il appauvrit d'une génération à une autre. Une ruse talmudique, que l'actuel président tunisien Kaïs Saïed, combat par toutes ses forces surhumaines, à grande majorité «illogiques», «apolitiques» et «suicidaires». Un jeu de roulette. Tout est faux, qui pourrait s'avérer juste ou à moitié bon.
Je dois le reconnaître malgré moi, que cette nouvelle époque n'appartient plus qu'aux courageux incalculables, comme le président Kaïs Saïed en Tunisie, ceux qui ont chassé la France au Mali, à la Centrafrique, au Burkina Faso, au Nijer et ailleurs, mais surtout à ce gigantesque courage de ces merveilleux Combattants de Hamas, qui ont réalisé le summum des victoires d'un millier de Combattants, contre les USA, leurs porte-avions, leurs sous-marins nucléaires et tout leur Occident réunis autour des juifs génocidaires de Gaza. Un courage illogique pour les lâches dictateurs d'Egypte, d'Arabie Saoudite et de Jordanie, bien que les Yéménites leur montrent ce que c'est que le vrai courage arabe à 2000 km de la Palestine occupée. Une poignée de chats courageux, contre toute une savane pleine de lions lâches et trouillards, mais armés jusqu'aux dents.
Donc, c'en est fini avec cette «lucidité des lâches», des dictateurs arabes en Egypte du Saffah Sissi, en Arabie Scieoudite, aux Emirats hébraïques et partout ailleurs, où les dictateurs arabes ne se sentent forts par leurs armées et par leurs armes, que contre leurs propres peuples.
La Palestine vivra. La Palestine vaincra.