Jalouse!!!
La beauté de l'actuelle première Dame de la Tunisie, Ichraf Chebil, est d'un paquet tout en un. La beauté physique intellectuelle de bonne éducation familiale, de bonne instruction éducationnelle et de comportement qui impose le respect et la fierté de tous les Tunisiens et de tous les Arabes. Un portrait d'une Mona Lisa tunisienne à regarder, à aimer et à respecter sans la moindre arrière-pensée. Par contre, l'autre défunt dictateur déchu Bourguiba, n'était pas connaisseur ni amateur des femmes. Comme Bourguiba fût paysan rural de Béja, il a épousé à son âge de 22 ans seulement, une française Mathilde Clémence Lorain, veuve du caporal Victor Jean Lefras, tué en 1916 dans la première guerre mondiale. Moufida Bourguiba, était de quatorze (14) années, plus âgée que lui, à l'époque où nos grand-mères se mariaient à partir de 12 ans seulement. Et même en tant que «Zaïm» au pouvoir, il fit divorcer de son mari petit agriculteur de Béja, une quinquagénaire déjà mère d'une fille, Wassila Ben Ammar, qui n'avait de privilège pour le non-connaisseur de femmes «Bou-Petit-Cou», que sa peau blanche. C'est tout, vraiment c'est tout.
Demande-le aux vrais hommes qui aiment la beauté des femmes, s'il y a eu une autre première Dame de Tunisie, plus belle que Layla Trabelsi Ben Ali. Une beauté qui fit fondre même le défunt dictateur déchu Moammar Kadhafi. Je respecte la perversité de faiblesse pour la beauté féminine, qui fit tomber Ben Ali. Il a quitté ce bas monde à côté d'une beauté féminine Layla Jean, dont les câlins remplacent tous les médicaments placébos de ce monde. Non pas comme les pauvres qui finissent leur maudite vie à côté d'une sorcière, comme cette Zalèma Abir Moussi.
La vérité doit être dite dans tous les sens et pour tous les sujets.
Bonne journée.