
L’Assemblée des représentants du peuple a adopté, vendredi 27 septembre 2024, la proposition d’amendement de la loi électorale.
Le texte a été adopté avec 116 voix pour, 12 contre et 8 abstentions.
Le texte a été soumis au vote lors d’une plénière extraodinaire. La proposition de loi déposée par une trentaine de députés a, en effet, été traitée en urgence et en priorité. Elle proposait d’éjecter le tribunal administratif du traitement des litiges électoraux et de le substituer par les tribunaux judiciaires.
Ce texte prévoit que les nouvelles dispositions soient appliquées à la présidentielle du 6 octobre dont la campagne a été entamée depuis une semaine.
Cette proposition est liée à la situation politique tendue du pays. Le tribunal administratif a donné gain de cause à trois candidats dont les dossiers ont été rejetés par l'Instance supérieure indépendante pour les élections : Mondher Zenaidi, Abdellatif El Mekki et Imed Daïmi. Néanmoins, l'instance a choisi de ne pas appliquer cette décision évoquant notamment un manque de clarté dans le jugement prononcé par la cour.
Très vite les candidats exclus et les experts juridiques ont évoqué l’inéluctable recours contre tout le processus électoral en cours, qui devait aussi être examiné par le même tribunal administratif qui a confirmé à plusieurs reprises ses décisions et infirmé les arguments de l’Isie, prévoyant ainsi une possible invalidation des résultats.
C’est dans ce cadre que l’ARP a examiné en urgence cette proposition disant craindre une probable impasse qui plongerait le pays dans l’inconnu.
Donc, celui qui veut balayer l'illégalité de cet ARP de Bouderbèla, par le revers de sa main, bien que cette assemblée ait battu le record mondial de risée internationale, pour le nombre minime réduit au ridicule du taux d'électeurs en 2022, par une abstention certaine des 90% de la population électorale tunisienne, celui-là n'aurait jamais osé rabaisser cet ARP au néant par cette intervention des plus ridicules et des plus contestées de ce monde, mais aussi le réduire à des mercenaires des circonstances d'intérêts personnels de Brahim Bouderbèla, qui n'a arraché ou volé ce poste de président de l'ARP 22, que par ses innombrables mensonges et ses multiples intrigues contre l'ancien président de l'ancienne ARP légale de 2019, le Savant Ouléma de l'Islam, Rached Ghannouchi.
Mais comme tout le monde le sait explicitement, notre Créateur Allah le Tout Puissant retarde, mais il garde "Allah yomhil wèlè yohmil".
Allah yostir Tounes, wè Allah yèhlik Ass-hab el-charr.
L '?tat de Droit et la crédibilité de nos institutions saccagés comme on saccage un abri de bus
Un véritable attentat contre la Tunisie et la légitimité de nos institutions
L ,'Histoire restituera l incroyable déchéance et le déshonneur incommensurable des auteurs de cette bassesse inouïe
Surement ces 'députés' SERONT DEGAGés par application du système de RETRAIT DE CONFIANCE (SAHB AL WAKELE).
Il FAUT ASSAINIR L'ARP ET EVACUER LES.............VERS LE NOUVEAU RESEAU DES.............ET.........!!!!!!
Cette décision est donc ce que veut la majorité du peuple.
Dont acte.
Quand même, les faibles taux de participation aux différentes élections laissent planer un doute quant à la représentativité de ces élus...
Mais les absents ont toujours tort.
Une question toutefois: la démocratie est-elle réellement souhaitée par ce peuple?
Parce que la démocratie est d'abord et avant tout le Droit, avant que d'être des hommes et des femmes. Jamais cet arrangement de circonstance n'aurait été accepté, dans un état de Droit...
- 25 juillet 2021, signé par le Président Kais Said
- 27 septembre 2024, signé par les Législateurs tunisiens
Dans les moments difficiles, la Tunisie trouve toujours le sauveur parmi ses enfants.
CONCLUSION
Les tunisiens sont toujours là pour protéger leur pays, ceci doit être clair dans les têtes de mule qui veulent du mal à notre belle Tunisie.
Why not, on pouvait trouver mieux, quand même!
Vous pensez qu'on est un '?tat de droit alors qu'un président viole la constitution sur laquelle il a prêté serment en plein jour sans aucune répercussion? Vous pensez qu'on est un '?tat de droit alors que des centaines de tunisiens croupissent en prison sans aucune accusation réelle et en dehors de la période de détention légale? Vous pensez qu'on est un '?tat de droit alors que le violeur de la constitution renvoie 57 juges parce qu'ils refusent de se soumettre à ses ordres? Vous pensez qu'on est un Etat de droit alors que le malheur suprême annonce que la justice est une fonction? Vous pensez qu'on est un '?tat de droit alors que la sinistre de l'injustice change les serrures des bureaux des magistrats pour les empêcher de regagner leurs bureaux après avoir gagné un recours contre la décision de leur renvoi? Vous pensez qu'on est un Etat de droit alors que l'instance de réélection du malheur brut refuse l'execution des verdicts de la cour administrative?
Enfin, comment pourrait-Il refuser de signer une loi (on ne peut parler de lois avec cette merdocrature) alors qu'il était derrière?
Deux options: réveillez vous ou arrêtez de jouer l'ignorant.
Et comment peut-on vérifier cette majorité? Par les claxons et les dances dans la rue? Ok, mais lui il a accédé au pouvoir par les urnes. Pourquoi n'a-t-il pas essayé la voix des urnes tellement il est confiant qu'il a une majorité derrière? Je pense que le minimum d'honnêteté et d'intégrité exige qu'on respecte les règles du jeu jusqu'au bout et non pas les changer au milieu du match n'est-ce pas? Et a ce que j'observe de votre commentaire, lui il incarne toute "l'intégrité et l'honnêteté" dans le pays et n'a rien laissé aux autres (pauvres eux!) saufs les combines, les sales man'?uvres, et la traîtrise. C'est ce que vous dites n'est-ce pas? Ok, c'est logique très logique votre commentaire monsieur!
Dites vous?
quelqu'un verifie ses dipl'mes SVP.



