
Le ministère de la Justice a rendu public un communiqué, ce jeudi 7 juillet 2022, pour s’expliquer à propos des informations selon lesquelles les institutions de l’Etat n’avaient pas répondu à une demande de rencontre du président d’honneur de l’Union internationale des magistrats. Le ministère a assuré n’avoir reçu aucune demande officielle de rencontre ou un avis à propos de la visite.
Le ministère explique que les rencontres officielles avec les représentants des instances et des parties étrangères se déroulent selon des mesures et des formules bien déterminées obéissant aux traditions diplomatiques (ministère des Affaires étrangères) et à travers la direction concernée (la direction de la coopération internationale).
« Les déclarations relayées n’ont aucun fondement. L’objectif étant d’induire en erreur et de dénigrer. Cependant, en consultant le ministère des Affaires étrangères, il s’avère qu’aucune demande officielle n’a été déposée par n’importe quelle partie étrangère », indique le communiqué, soulignant qu’un avis de visite déposé par une association tunisienne ne peut être considéré comme étant une demande officielle garantissant la souveraineté de l’Etat.
De son côté, le président d’honneur de l’Union internationale des magistrats, Christophe Regnard avait lui-même assuré qu’aucune autorité tunisienne n’a souhaité le recevoir. Dans un tweet, il s’est exprimé dans ces termes : « Évidemment aucune autorité n’a souhaité me recevoir aujourd’hui. Auraient-ils des choses à cacher ? Ou honte des décisions de révocation sans aucun fondement ? ».
S.H

Cet homme vient en Tunisie se mêler de conflits dans quoi il n'est pas partie prenante, n'en informe pas le gouvertement, ni le ministère concerné et voici qu'on parle de refus de le recevoir ou de donner suite à une rencontre qu'il n'a pas même sollicitée.
L'étiquette, les coutumes, les us en matière de relations entre '?tats ou avec des associations sont régis par des procédures de respect mutuel.
On ne débarque pas en Tunisie pour nous faire la leçon comme si nous étions une succursale ou une sous-préfecture.
Je propose à ce monsieur de retourner d'où il vient, et de formuler une demande de rencontre.
Que les islamistes s'amusent, eux qui ont rabaissé ce pays, et permis à toutes sortes d'officines de s'insérer dans ses affaires internes.
Les m'?urs civilisées sont autres.