
Le dirigeant du parti Attayar et ancien député Zied Ghanney est bloqué en Tunisie alors que son lieu de résidence et de travail est à l’étranger. C’est ce qu’il a annoncé, tard dans la soirée de vendredi 18 août 2023, dans un post Facebook.
En effet, son comité de défense avait déposé une demande au juge d’instruction chargé de son affaire pour lever l’interdiction de voyage le visant. Or, les délais légaux pour statuer sur cette demande sont achevés, alors que le juge a refusé de statuer sur la demande, affirme M. Ghanney. Cela veut dire que légalement, le juge d’instruction a refusé tacitement la demande de levée de l’interdiction de voyage, empêchant ainsi Zied Ghanney de rejoindre sa famille, son lieu de résidence et son travail.
Rappelons que l’ancien élu avait été interdit de voyage le 9 juillet 2023, sur la base d’une décision judiciaire émise, le 25 juin 2023, par le doyen des juges d’instruction près le Tribunal de première instance de Tunis, précise-t-il, le tout sans l’avoir convoqué ou l’avoir entendu.
M. Ghanney a indiqué, dans ce même statut qu’il est accusé d’avoir formé et intégré une entente dans le but de porter atteinte à des personnes et des biens, ce qui veut dire une entente pour changer la forme de l’État ou perturber la paix publique, en vertu des articles 72, 131 et 132 du Code pénale, suite à sa participation à la séance plénière du parlement tenue à distance après le putsch du 25 juillet 2021.
Pour lui, le refus de statuer sur sa demande est un déni de justice et le doyen des juges d’instruction aurait dû assumer ses responsabilités qui lui sont imposées par le principe, la loi et son serment, et prendre une décision par rapport à la demande. Or, et toujours selon ses dires, « ce dernier a choisi de se taire et de ne pas assumer sa responsabilité légale et morale », ce qui ne peut être expliqué que par « la méfiance de la fonction judiciaire de statuer dans des affaires à caractère politique ».
« Et comme l'autorité persiste à diriger des accusations à tous ses opposants, alors que la réalité témoigne que ce dossier, ceux qui l'ont précédé et ceux qui suivront comme étant des dossiers de "complot contre la sûreté de l'État", n'est rien d'autre qu'une tentative pour museler et porter atteinte à toute voix qui s'oppose au régime, quelle que soit sa légitimité.
Nous devons, ainsi que toutes les voix qui s'accrochent à la démocratie, comprendre que ce qui est arrivé et ce qui arrivera est la continuité des manifestations du régime autoritaire », a martelé Zied Ghanney dans ce même post.
Et d’ajouter : « Cette réalité exige que nous soyons conscients de la gravité de la situation, et qu'il est de notre devoir d'œuvrer avec plus de détermination pour restaurer la démocratie et arracher nos droits à l'action politique, à l'expression, au déplacement et à la défense de nos convictions ».
I.N
ET Y A T IL UN PARTI QUI S'APPELLE ATTAYAR. NON ET MILLE NON.
Il y a seulement 2 FACEBOOCKERS TRES TRES SYMPATHIQUES HAJJI et AJBOUNI qui se balladent A BICYCLETTES d'une radio à une autre .Et ces ballades sont rediffusées par B.N. Et tot ou tard, HAJJI et AJBOUNI vont démissionner de ce 'parti' , à l'instar de ABBOU, CHAOUACHI, HAMEDI , KARBAI , et NAJET ASSAGHIRA . Et trés probablement ,HAJJI et AJBOUNI vont démissionner au meme jour comme CHAOUACHI-HAMDI-KERBAI et vont mettre les clés sous la porte ,et rentreront chez eux A BICYCLETTES!!!. en chantant la chanson de YVES MONTAND A BICYCLETTES:
Quand on partait de bon matin
Quand on partait sur les chemins
A bicyclette
Nous étions quelques bons copains
Y avait MOHAMMED, y avait GHAZI
Y avait HAMEDI et GHANNEY
Et puis SAMIA
'BETGHANNI LMINE BETGHANNI LMINE' leurs replique un passant sur UNE TROTTINETTE!!!
C'est donc l'une des multiples têtes de l'hydre islamiste, élément actif de l'infiltration de l'administration par les barbus, et directement responsable des embauches partisanes et de la chute du pays.
Et en plus, il vit et habite à l'étranger!
Il est donc normal qu'il soit empêché de nuire, et donc de voyager.
Pauvre monsieur, vous êtes digne d'être plaint.
Probablement plein aux as, vous souhaitez rejoindre votre lieu de résidence. Parce que monsieur réside ailleurs qu'en Tunisie dont il se dit avoir été député de la nation.
Mais, on rêve.
Dès qu'un petit arriviste, fort médiocre, rencontre la loi, il nous confie qu'elle n'est pas juste, pas bonne pour lui.
Mais, nom de dieu ! (le petit), c'est des gens comme lui qui faisaient la loi, les lois.
Ce pays respire la perversion, et quelque procédé que l'on emploie avec ces gens, ils ont toujours à redire.
Je parie qu'il a le projet de prendre la poudre d'escampette, notre courageux faiseur de lois.
Attayar târ !
Cet article est incomplet, car il y faudrait un petit chouya de précisions sur les intentions de ce malheureux.
Les comploteurs qui se cachent, ceux qui désertent, et puis les moins chanceux qui dont pris.
Franchement, j'ai envie d'en rire.
Par contre, intramuros, ils sont comme des femmelettes, comme des agneaux apeurés, face à une VRAIE justice.
Mère nature a horreur des imposteurs, des lâches, des fanfarons et de tout ce qui va à son encontre.
A un moment ou à un autre, elle finit inexorablement par prendre sa revanche, et là, elle est implacable !!!
C'est un phénomène Divin.
Y mettre la main est trop risqué.
Celà, signifie vivre encore en Tunisie ou le visiter c'est aux risques et aux périls de l'aventurier.
Mais moi, je l'ai compris il y'a des décennies de celà.
Prendre en otages tout ceux qui s'opposent au prince de Carthage est un acte d'une absurdité inouïe.
Le pouvoir usurpé fuit ses responsables politiques en menant le pays et le peuple vers la faillite et l'abîme.
Mais tout karakouz a forcément une fin et elle sera sûrement pitoyable.
Je le prédis avec force.
L'état n'existe plus car sa faillite est devenue une réalité.


