
Dans un communiqué émis aujourd’hui, vendredi 23 juin 2023, le Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'Homme, Volker Türk, a exprimé « sa profonde préoccupation face aux restrictions croissantes du droit à la liberté d'expression et à la liberté de la presse en Tunisie », notant « qu'une législation vague est utilisée pour criminaliser le journalisme indépendant et étouffer critique des autorités ».
« J'exhorte la Tunisie à changer de cap » a déclaré Volker Türk face aux répressions constatées.
« La répression menée plus tôt cette année contre les juges, les politiciens, les dirigeants syndicaux, les hommes d'affaires et les acteurs de la société civile s'est maintenant étendue pour cibler les journalistes indépendants, qui sont de plus en plus harcelés et empêchés de faire leur travail », a-t-il déclaré. Il souligne : « Il est troublant de voir la Tunisie, un pays qui était autrefois porteur de tant d'espoir, régresser et perdre les réalisations de la dernière décennie en matière de droits humains ».
Dans son communiqué, le Bureau des droits de l'Homme des Nations Unies en Tunisie a affirmé avoir documenté 21 cas de violations présumées des droits de l'Homme contre des journalistes, y compris des poursuites devant des tribunaux civils et militaires. « Il y a lieu de croire que ces poursuites ont été engagées pour contrer les critiques publiques à l'encontre du président de la République ou des autorités. En vertu du droit international des droits de l'Homme, toutes les personnalités publiques, y compris les chefs d'État, peuvent légitimement faire l'objet de critiques », peut-on lire dans le texte du communiqué.
Le Haut-Commissariat rappelle aussi l’interdiction aux journalistes,par le Parlement, de couvrir les réunions des commissions parlementaires ainsi que l’interdiction, le 17 juin, aux médias de couvrir deux cas présumés de « complot contre les affaires de sécurité de l'État » dans lesquels des dizaines de personnes ont été poursuivies et détenues depuis la mi-février.
« Ces décisions portent atteinte au principe de transparence dans les affaires publiques. Les gens ont le droit d'être informés et pour ce faire, les journalistes doivent pouvoir faire leur travail sans aucune restriction indue », a déclaré le Haut-Commissaire.
« Faire taire la voix des journalistes, dans un effort concerté, sape le rôle crucial des médias indépendants, avec un effet corrosif sur la société dans son ensemble », a-t-il déclaré.
D’après le texte du communiqué, le Haut-Commissaire a appelé les autorités tunisiennes à « respecter les normes d'une procédure régulière et d'un procès équitable dans toutes les procédures judiciaires, à cesser de juger des civils devant des tribunaux militaires et à libérer toutes les personnes détenues arbitrairement, y compris toute personne détenue pour avoir exercé son droit de rechercher, de recevoir et de communiquer des informations ».
R.B.H

Qu'il aille se faire foutre ce Turk.
Donc taisez vous et passez votre chemin avec votre machin truc de droit sélectif des nons droit de certaines nations.
'? titre d'exemple, les Palestiniens sont assassinés tous les jours, et l'ONU ne fait rien pour faire cesser le massacre.
Monsieur Volker Türk, vous devriez avoir en tête ce qui fut ourdi contre tout le peuple tunisien par des criminels placés par votre tuteur et qui parlaient de révolution.
Il convient de faire le bilan de ces crapules avant de nous faire la leçon. Ils sont vos enfants au sens de votre créature.
Ils méritent beaucoup plus que la prison, puisqu'ils ont craché à la figure de certains journalistes qui ont la mémoire sélective.
Ils ont assassiné, volé, perverti les coutumes et n'ont rien respecté de ce que voys nous intimez de faire.
Nous devons solder, seuls, les comptes avec cette racaille.
C'est notre droit. Notre devoir.
Alors, allez soutenir les peuples qui vivent sous la botte de vos amis israeliens.
Faites respecter le droit partout, ou bien rentrez chez vous, et percevez votre salaire.
De mon coté, et je ne suis pas seul, j'ai toujours estimé que des partis soi-disant réligieux ne devraient même pas exister dans une démocratie. Parce que la démocratie, Monsieur, c'est un peu comme la culture : on l'atteint pas en 10 ans étant assis en permanence au café à parler de foot et à fumer 30 cartouches de 20 Mars + 1 chicha par jour. A lire vos idées à propos de ce que c'est que la démocratie ou le droit international, on dirait un gorille qui critique les circuits électriques d'un ordinateur parce-que ce dernier n'arrive pas à peler ses bananes. Heureusement ce n'est pas vous, ni les tunisiens, qui décide les fonctions des institutions internationales.
On l'a bien compris : si Monsieur Houcine ne se plaint pas, s'il ne joue pas à la victime, il n'atteint pas l'orgasme ; mais, encore une fois, veuillez SVP nous épargner ces révoltants élans hypergraphiques, imprégnés d'une rhétorique à la fois puérile et éventée.

