
Khemaies Jhinaoui a passé en revue, aujourd’hui, lundi 13 février 2017, les derniers développements de la situation en Libye avec l’émissaire de l’ONU pour la Libye, Martin Kobler, ainsi que les tentatives visant à parvenir à une régularisation globale de la crise dans ce pays voisin.
M. Jhinaoui a présenté au responsable onusien un aperçu de l’initiative tunisienne et des efforts déployés par notre pays en collaboration avec les pays du voisinage libyen afin d’impulser le processus de régularisation politique et inciter les frères libyens à parvenir à une solution politique consensuelle, préservant l’unité de la Libye.
Il a, aussi, mis en exergue le rôle joué par l’ONU, les pays du voisinage et l’Union européenne qui poussent vers une réconciliation globale permettant de faire face aux multiples dangers qui guettent toute la région tels que le terrorisme et le crime organisé.
Pour sa part, M. Kobler a donné un aperçu des efforts déployés par l’ONU dans ce domaine, et les rencontres qu’il est en train d’effectuer avec toutes les parties en rapport avec ce dossier. Il a, également, salué l’initiative tunisienne qui ambitionne à rapprocher les points de vue exprimant son optimisme quant à ses résultats.
Commentaires (3)
CommenterMongi Hamdi serait l homme de la situation
Jhinaoui discute avec un homme que l ONU veut s en debarrasser
Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres voulait nommer Salam Fayyad, ancien Premier ministre palestinien au poste d'envoyé spécial en Libye a la place de Kobler, Les Etats-Unis ont dit non, alors que l'ONU tente de négocier la formation d'un nouveau gouvernement d'unité nationale pour clarifier le rôle du général Haftar qui contrôle toujours l'est de la Libye. Martin Kobler l'actuel envoyé special était pourtant à New York le mercredi 8 février où il avait assuré le conseil des « progrès » réalisés dans la renégociation de l'accord politique.Le nom de Salam Fayyad circulait depuis près d'un mois dans les milieux informés. Il disposait selon les diplomates d'une excellente réputation, intègre et familier des organisations internationales. Mais surtout, il est arabophone. Et pour Antonio Guterres qui souhaite obtenir un accord politique au plus vite, c'était un argument de poids pour avoir une légitimité avec les différentes factions libyennes et les acteurs régionaux du conflit.et pourtant personne n a plus confiance a la sincerite de Kobler sauf les pays de l OTAN ......et la Tunisie.On se demande pourquoi un embargo sur la fourniture d armes a l armee reguliere Lybienne sous la conduite de Hafter a ete impose par L otan et l ONU,Ceci explique cela.Kobler doit imperativement partir,il n est plus credible, bien qu il soit recu encore par notre ministre des affaires etrangeres..??
La politique etrangere de notre pays reste
tres floue et dans le flou il y a 2 loups:
BCE et Ghannouchi.