Mais si, il a lu un livre. Un seul, c'est là le problème.
Le reste de sa pensée n'est qu'un florilège de préjugés et de mensonges racistes et xénophobes, ça ne vaut même pas le coup de lui répondre ou de tenter de discuter!
Fedoua Brahem, avocate du jeune condamné à un an de prison pour homosexualité est revenue, ce lundi 28 septembre 2015, sur les détails de cette affaire qui ne finit pas de faire couler l’encre. Me Brahem révèle au micro d’Express Fm, que son client avait été auditionné le 6 septembre courant dans une affaire de meurtre. Les policiers ayant trouvé son numéro dans le répertoire de la victime.
Au cours de l’interrogatoire, le jeune a nié toute implication dans le meurtre, tout en affirmant avoir eu des relations sexuelles avec la victime. Suite à ses déclarations le jeune homme a été placé en garde à vue, accusé d’homosexualité selon l’article 230 du Code pénal.
L’avocate précise qu’il a été maintenu en garde à vue pendant 3 jours, une garde à vue renouvelée une deuxième fois, affirmant que toutes les procédures ont été respectées. Sa famille demandant des nouvelles, elle a été informée que le jeune homme va passer un examen médical pour définir s’il a eu des relations sexuelles. « Il s’agit d’un examen routinier », souligne l’avocate, « cependant l’accord de mon client n’a pas été requis. D’autant plus que ce genre d’examen n’est autorisé que dans un certain types d’affaires, dont les agressions sexuelles ou les viols ».
Fedoua Brahem rappelle que dans le cas du jeune homme, cet examen n’était pas requis, attestant que plusieurs autres personnes font face à cette procédure en violation totale de l’intégrité physique et morale. Me Brahem annonce que son client a décidé d’interjeter appel et qu’il était en état de choc après avoir vécu cette expérience traumatisante.
I.L.
Fedoua Brahem, avocate du jeune condamné à un an de prison pour homosexualité est revenue, ce lundi 28 septembre 2015, sur les détails de cette affaire qui ne finit pas de faire couler l’encre. Me Brahem révèle au micro d’Express Fm, que son client avait été auditionné le 6 septembre courant dans une affaire de meurtre. Les policiers ayant trouvé son numéro dans le répertoire de la victime.
Au cours de l’interrogatoire, le jeune a nié toute implication dans le meurtre, tout en affirmant avoir eu des relations sexuelles avec la victime. Suite à ses déclarations le jeune homme a été placé en garde à vue, accusé d’homosexualité selon l’article 230 du Code pénal.
L’avocate précise qu’il a été maintenu en garde à vue pendant 3 jours, une garde à vue renouvelée une deuxième fois, affirmant que toutes les procédures ont été respectées. Sa famille demandant des nouvelles, elle a été informée que le jeune homme va passer un examen médical pour définir s’il a eu des relations sexuelles. « Il s’agit d’un examen routinier », souligne l’avocate, « cependant l’accord de mon client n’a pas été requis. D’autant plus que ce genre d’examen n’est autorisé que dans un certain types d’affaires, dont les agressions sexuelles ou les viols ».
Fedoua Brahem rappelle que dans le cas du jeune homme, cet examen n’était pas requis, attestant que plusieurs autres personnes font face à cette procédure en violation totale de l’intégrité physique et morale. Me Brahem annonce que son client a décidé d’interjeter appel et qu’il était en état de choc après avoir vécu cette expérience traumatisante.
I.L.