
L'avocat et membre du comité de défense dans l'affaire Instalingo, Mokhtar Jemai a indiqué, dans une publication Facebook du 24 octobre 2024, que le dossier a été transféré du tribunal de Sousse à celui de Tunis.
Pour rappel, l'affaire Instalingo vise plusieurs individus, dont des personnalités politiques telles que Rached Ghannouchi, Mouadh Ghannouchi, Soumaya Ghannouchi, Rafik Abdessalem, Adel Daâdaâ, Riadh Bettaïeb ou Hichem Mechichi. Elle concerne, aussi, l’ancien porte-parole du ministère de l’Intérieur, Mohamed Ali Aroui et trois autres personnes y compris deux de nationalités étrangères.
L'entreprise en question portant le nom de "Instalingo" est une société basée à Sousse et spécialisée dans la communication et dans la création de contenu. Elle aurait, selon certains, créé du contenu et orienté l'opinion publique dans le but de porter atteinte à la sûreté de l'État.
Il est à noter qu'une seconde affaire ciblant la même société a été initiée en 2022. Elle porte sur des soupçons de blanchiment d'argent sur la base d'informations fournies par la Commission tunisienne des analyses financières.
S.G



Mr taboubi celui qui volera un un '?uf volera un b'?uf
Cordialement assil iRRiF luid ETTABOUNA ahlou erroujoula ahlou ELWATTANiA ahlou elkaram
J'espère que tous les membres de cette manufacture de roublards et d'escrocs, finiront leur vie à moisir à l'ombre.
Aux fers la racaille !!
Les capacités à rebondir, des frérots, sont universellement connues.
Il faut tuer dans l'oeuf tous ces germes destructeurs.
Ils ont causé d'incommensurables dégâts à la NATION.
Les mettre définitivement hors course, doit être une priorité nationale.



