alexametrics
mercredi 01 mai 2024
Heure de Tunis : 23:11
Dernières news
Sami Tahri : la page Facebook de l’UGTT a subi une attaque massive
15/05/2023 | 17:53 , mis à jour à 20:30
1 min
Sami Tahri : la page Facebook de l’UGTT a subi une attaque massive

 

La page Facebook de l’Union générale tunisienne du travail (UGTT) a été suspendue aujourd'hui.

 

Depuis cet après-midi, du lundi 15 mai 2023, les internautes ont noté qu’elle est introuvable sur le réseau social.

  

Le secrétaire général adjoint de l’UGTT Sami Tahri s’est exprimé à propos de la suspension de la page officielle de l’organisation, précisant qu’elle est en cours d’examen par la direction de Facebook à la suite d’une attaque massive.

Sami Tahri assure que l’UGTT est en contact permanent avec la direction de Facebook pour mettre un terme au litige et récupérer la page. 


M.B.Z

15/05/2023 | 17:53 , mis à jour à 20:30
1 min
Suivez-nous
Commentaires
SALIM
LA PAGE FACEBOOCK DE L'UGTT A SUBI UNE PRESSION INATTENDUE CAR L'INATIATIVE DE NOYADE Y A ETE PUBLEE
a posté le 16-05-2023 à 12:26
Aprés plusieurs semaines, et plusieurs mois d'attente.Meme BIDEN, POUTINE,MACRON et le ROI CHARLES L'ont consulté.La faute incombe à l'UGTT car elle aurait dit autoriser l'ONAT ,la ligue TRIFIENNE, le FTDES, BUSNESS NEWS, CHEMS FM , MOSAIQUE de la publier sur leurs sites pour alleger la pression sur la page F.B de l'UGTT.
cesarios
la majorité du peuple exige des analyses............et des solutions ................
a posté le 16-05-2023 à 11:46
Notre TUNISIE cette entité de notre planète terre qui n'est que notre mère nourricière est gouvernée depuis son existence et d'une époque à une autre n'a connu qu'une maudite gouvernance basée sur la culte de la personnalité, , par un égoïsme à outrance , par un narcissisme démesuré, excessif , flagrant et criant.....Dans toutes les différentes époques de notre histoire, on a tout expérimenté, malheureusement, on a tombé et se casser la gueule que par des politiques dirigeants, gouvernants, décideurs affamés , avides, insouciants, anxieux pour le pouvoir et le pognon....ACTUELLEMENT, on est arrivé à la détermination définitive d'exiger une vraie transition démocratique basée sur une juste répartition de nos richesses, sur des élections les plus sérieuses , les plus transparentes et les plus contrôlées, , sur la compétence, sur l'intégrité et l'égalité des chances, malheureusement on est arrivé au retour au point de départ et c'est le rebelote qui s'est imposé et s'est installé, on nage dans le flou, dans le vague, dans la gouvernance des micmacs et des magouilles des coulisses , et des couloirs, dans l'antagonisme aveuglant et la désunion détruisant et sabordant, nos actuelles et futures générations vont subir des années de braise si on n'excellerait pas de dénicher les analyses les plus pensées et les plus consistantes, et les solutions les plus urgentes, les plus prioritaires et les plus adéquates pour hisser notre économie et d'instaurer une stabilité et une sécurité sociale sans failles, durable et courageuse . NOS MARASMES S'INTENSIFIENT, ça suffit.
ourwa
Quel génie !
a posté le 15-05-2023 à 20:26
Cette mesure (prise par on ne sait qui ?), coule de source; l'Etat, sous la houlette de KS, semble battre des records dans son souci de respecter la liberté de la presse et d'opinion en Tunisie, libertés sans lesquelles on ne saurait parler de véritable démocratie et partant de développement économique, social et politique. Qu'on en juge : " Les chiffres témoignent de l'ampleur de la répression. 257 journalistes ont été agressés entre mai 2022 et avril 2023, et 17 sont actuellement poursuivis en dehors du cadre du droit de la presse, selon le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT)." cf:
https://www.liberation.fr/international/afrique/en-tunisie-la-chute-sans-fin-de-la-liberte-dexpression-20230503_KV5T3RZS5FGJRLLCDKO2WTORJE/
Dans son rapport du 03 mais 2023, la SNJT détaille :
2019 : 139 agressions de journalistes; 2020 , 193; 2021 , 200; 2022 , 214; 2023 , 257
Le site *** précise : " « En neuf mois, la justice militaire a poursuivi plus de civils [journalistes et citoyens] pour des délits d'opinion que lors des dix dernières années »
Momo
Objection
a posté le à 10:35
Foutaises hhhhh
ourwa
Quelle opiniâtreté !
a posté le 15-05-2023 à 20:21
Nous savons tous que les règnes de bourguiba, ben ali, nahdha, BCE avaient échoué quant à leurs prétentions démocratiques fausses et une incapacité notoire, due à une volonté délibérée , à construire une véritable démocratie et à développer socialement, économiquement et politiquement , développement soucieux de justice. C'est probablement pour ces manquements scandaleux que KS, dès le 25 juillet 2021, a pris ses fameuses mesures à tous les niveaux, constitutionnels, "législatifs", exécutifs ( gouvernance par décrets présidentiels et notamment l'admirable décret 54, refus catégorique de tout dialogue national, refus et mépris de toute représentation et actions partisanes... Il serait très probable que cette forme de gouvernance, que des mauvaises langues qualifient de dictatoriale et absolutiste, pourrait durer au moins une décennie...et déboucher une sorte de paradis tuniso-infernal...dont nous ressentons déjà le confort...
l'UGTT, qui voit sa page Facebook suspendue, devrait comprendre que le recours aux réseaux sociaux tel que Facebook comporte des risques de fake-news regrettables et comme outil de mobilisation de masse instantané... l'UGTT devrait opter pour l'excellent twitter, réseau "propre" préféré de l'excellent et très républicain Trump...
Tanit
L'UGTT est co-responsable, avec l'Etat, de la dégradation de l'enseignement, le manque de formation des enseignants, et la baisse gravissime du niveau scolaire des élèves et étudiants, surtout depuis 2011
a posté le 15-05-2023 à 19:16
Il y a urgence à assainir le système éducatif et l'UGTT.
Le diplôme tunisien n'est plus ce que c'était.
Le fouineur
UN PR'?LUDE...
a posté le 15-05-2023 à 19:09
Je ne suis pas un divin mais je crois que cet acte est l'entame d'une guerre ouverte entre le pouvoir et la centrale syndicale.
Sûrement, nous sommes partis dans une escalade très dangereuse.
'?a me rappelle la fameuse crise des années 80 entre Si Lahbib et Si Lahbib.
C'était le triste jeudi noir ( 26 janvier 1978 ).
C'était en quelque sorte une guerre civile ( un pouvoir bourguibien miné de l'intérieur ! ) qui a laissé derrière elle un nombre incalculable de cadavres et de blessés.
C'était aussi, la énième crise d'un pouvoir qui a échoué dans sa politique socioéconomique erronée.
C'était la sortie d'une expérience collectiviste désastreuse et un revirement total vers un système économique libéral à outrance qui a ruiné le peuple.
Bourguiba voulait l'émergence d'une classe parasitaire et spéculative pour asseoir définitivement son pouvoir autocratique et son culte de la personnalité.
Cette politique nous a institutionnalisé en quelque sorte, et entre autre, le régionalisme de fait, l'exode rural, les raffles,...
C'était la " BELLE '?POQUE !)...quoi !