
Le président de la République, Kaïs Saïed s’est rendu, mardi 14 février 2023, au souk Bab El Fellah pour inspecter les prix du marché et la disponibilité des produits.
Lors de cette visite, le président de la République a pu discuter avec les citoyens qui lui ont fait part de leur préoccupation du quotidien, notamment, en ce qui concerne les pénuries et les prix exorbitants des denrées alimentaires. Dans cette vidéo de onze minutes, la présidence de la République a pris soin de montrer des citoyens acclamer le chef de l'État et lui exprimer leur soutien.
Tout au long de son inspection, Kaïs Saïed a rappelé que le problème résidait dans les circuits de distribution et dans les manœuvres des spéculateurs pour persécuter le peuple tunisien. Dans ce contexte, il n’a pas cessé de rappeler qu’il n'épargnera aucun effort pour lutter contre les personnes impliquées et qu’elles n’échapperont pas à la justice.
Une citoyenne a indiqué au chef de l’État que plusieurs commerçants avaient changé les prix affichés dès qu’ils avaient appris sa présence au souk. Il lui a promis qu’il allait envoyer “des agents secrets” pour inspecter les prix réels du marché.
Rappelons que le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu, mardi 14 février 2023, la ministre du Commerce, Kalthoum Ben Rejeb au palais de Carthage. Le président de République a indiqué à la ministre au début de l’entrevue : “Je sais que vous étiez au marché du gros avant hier et vous avez constaté ce que vous avez pu constater des dépassements et comment les marchandises se perdent en cours de route entre les mains des spéculateurs. Avant hier, 5% uniquement des produits parviennent au marché du gros, et les 95% restants pour persécuter le peuple et vont dans les circuits parallèles”, assure-t-il, soulignant que les faits sont documentés et qu’il y a des aveux concernant les circuits d’affamement dans le but d’envenimer le climat social.
S.H
Pour chaque électeur de groupe ou de parti, l'électeur dissident représente un adversaire. Aucun de ces "diviseurs" n'a le moindre intérêt à ce que le peuple s'unisse et se mette d'accord sur des objectifs communs qui indiquent la direction qu'un gouvernement de service doit soutenir et faire avancer.
Mais tant que la propagande de la division et du clivage sera enseignée comme le bien le plus précieux de la démocratie et que l'électeur zombie, privé de sa propre raison, pensera que sa solution à la misère est la cause de celle-ci, cette comédie politique perverse continuera.
Il est également vrai qu'un gouvernement doit servir et non éduquer, mais ce n'est malheureusement plus le cas. En Tunisie, une caste politique vivant grassement de l'argent de nos impôts éduque son bétail électoral par le biais de ses médias.
Mais comment nous en sortir ?
Quelles élections "produisent" donc la démocratie ?
C'est une question honnête.
cette bonne volonté ne suffit pas.
Si Kaisollah arrive à sortir la Tunisie de sa crise avec des arrestations arbitraires et des menaces, alors je tatouerai la phrase "I love Kaisollah" sur le front. Ce grabuge ne fait que donner au monde et aux bailleurs de fonds (fictifs ?) l'image d'un pays instable géré par des fous.
L'autre Messie, on n'a pas fini de l'attendre. Le pays se trouve au fond de la cuvette par la grâce des ratichons, leurs ouailles et leurs continuateurs. Là dessus dieu a tiré la chasse.
Pour me faire pardonner ce bas règlement de "comptes", je ne marque pas des points, je sais, je vous suggère d'écouter Le Messie de G.F. Haendel.
Ah, l'Alléluia ! Mettez le son, la musique ne peut être appréciée en deçà d'un certain volume, et laissez vous transporter. Si vous rencontrez le père éternel, bon... certains croient bien au Messie, dites lui d'avoir pitié de nous.
Taquinerie tout ce qu'il y a d'amical.
Bien à vous
Le roi du Maroc vient de prendre la même mesure pour contrer la hausse des prix.
C'est pas sorcier !
Chez la STASI Est-allemande,
la Securitate de N. Ceausescu,
le N K V D de l'ex Union Soviétique, ou le Tonton Macoute de Bébé Doc ?
Je suppose que la peur du gendarme a joué et que celui parmi eux qui auraient osé dire se qu'il pense réellement se serait retrouvé en grande difficulté, on ne peut pas leur en vouloir et ceci explique certainement cela.
Tant que l'on ne comprendra pas que c'est nous le peuple qui somme souverain et que le chef est là pour nous et pas le contraire, rien à faire, on aura encore droit à d'obscurs prof de droit médiocre qui se retrouve à rouler en berline ronflante avec pléthore de garde du corps venu faire la leçon au petit peuple que nous sommes et c'est bienfait pour nous, on ne mérite pas mieux.
Il y'a encore des abrutis pour applaudire?
Quand vous ne trouverez plus à manger, vous et vos enfants, vous applaudirez encore cette "chose" Momifiée
Je l'ai toujours dit à l'époque de la dictature; le problème de la Tunisie n'est pas ZABA mais la populace qui applaudissent. ZABA ne peut penser qu'il est indispensable, le peuple acclame, il faut être con pour partir de soi-même. Nous les orientaux nous excellons pour créer nos bourreaux. Je me souviens une fois entendu un interview de Khadafi (et ce n'est pas une blague) dire pourquoi organiser des élections, mon peuple m'acclame et de toute façon est habitué maintenant de ma présence. Je suis certain KS pense de même, il est adoré voir même indispensable.