A la suite du référendum du 25 juillet 2022 et alors que plusieurs pays se sont dits concernés par le faible taux de participation, en temps d'instabilité et de crise politique et alors que la Tunisie cherche à trouver un accord avec le Fonds monétaire international, le chef de l'Etat, Kaïs Saïed n'a pas décidé de s'adresser en premier aux médias tunisiens, mais de rencontrer le journaliste, s'étant converti en YouTubeur, Abdelbari Atwan.
Le président de la République, Kaïs Saïed s'est entretenu, le 28 juillet 2022, avec Abdelbari Atwan durant près de deux heures. Ils ont parlé de la situation du pays et des étapes à venir non-pas avec les représentants de médias tunisiens, mais avec un journaliste étranger. Kaïs Saïed a, aussi, évoqué la question de la souveraineté nationale tout en "oubliant" de s'adresser au peuple tunisien via ses médias. On notera, également, que la présidence de la République avait elle aussi "oublié" d'annoncer que cette rencontre avait eu lieu.
Le peuple tunisien a découvert cette rencontre à la suite d'une vidéo publiée par le journaliste en question. Ce dernier a partagé sur sa chaîne YouTube une séquence de douze minutes faisant l'éloge du chef de l'Etat et évoquant un complot visant la Tunisie. Il a révélé que le président s'était entretenu avec lui au sujet du développement économique.
Kaïs Saïed considère-t-il qu'un tel sujet n'a pas à être abordé avec les journalistes tunisiens ? Le président de la République boycotte complètement les médias tunisiens et refuse d'accorder des interviews. Il ne dispose même pas d'une équipe chargée de la presse ou des médias. D'un autre côté, il accorde des entretiens à des journalistes étrangers et communique avec eux sans problème. Une étrange attitude qui ne peut qu'accentuer les tensions.
S.G
Et d'ailleurs, avons-nous une presse véritablement libre de toute soumission à des intérêts et des lobys?
Pour une bonne part de la population, le fait que la plupart des médias locaux mènent une charge continue et honteuse contre le président, cela les pousse aussi à se méfier de ces médias au service d'intérêts bien bas.
Vous êtes minable Mansour, et à minable minable et demi !
le temps de l'escroquerie politique est révolu vous allez passer devant la justice vous et les associations sionistes de droit de l'homme et des libertés individuelles ! Préparez vous
le canadien Ettounsi, son passeport canadien n'est pas reconnu en TN !!
2. il s'est jeté dans les bras de Micron , un sioniste notoire, qui veut interdire le mot sionisme.
ce mème Micron, qui le traite de raton= far emmassakh. merci la France.
tfoooooooooooooooooooooooooooooh !!
Allez interroger les citoyens dans la rue ! Faites vous confiance aux médias tunisiens et vous aurez immédiatement la réponse.
Il avait dit que le président était pris en otage. Comment faire confiance à ces journalistes qui s'attaquent non stop à sa personne et sa famille.
Pour une blague, c'est une bonne blague !
Il y a eu beaucoup d argent infestant votre metier
Vous journalistes vous etes un pouvoir dans le pays a condition que votre travail soit dans le bon sens
La faim justifie les moyens.
Les journalistes sont des êtres humains qui ont des têtes pour penser et biensur ils ont des penchants politiques et aiment l'argent comme vous et moi !
Laissons pour eine fois les journalistes travailler libres comme ils le sont..
Je ne connais pas des journalistes qui travaillent rien que pour la vérité (On dit souvent que la "vérité" est une fille de pute !)
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Quiconque veut entendre la vérité doit d'abord se demander s'il peut la supporter (Ernst R. Hauschka).
Nous cherchons la vérité, mais nous ne voulons la trouver que là où nous voulons (Marie von Ebner-Eschenbach).
Deuxième question : C'est une très belle initiative de la part de Monsieur Le Président de la République, car cette dernière intervention permettrait de couper l'herbe sous les pattes je dis bien pattes des réfractaires et autres traîtres que nous connaissons tous, et ensuite, ceci permettrait d'expliquer à beaucoup de pays qu'ils n'ont pas à s'ingerer dans les affaires intérieures et surtout de bien comprendre et de source sûre les fondements des réels changements en voie d'avancement pour la Tunisie et surtout par des tunisiens propres, dignes et responsables.
M. Kaiis Saied n´a jamais eu de respect pour les tunisiens d'une façon générale.. complexé?
Et comme on l´a toujours rappelé : Mnihla Willèdè, Wè Ibèrik Fil Om illi gèbittou!
C´est absolument étrange pour un comportement d´un tunisien!
et je ne prends surement pas des leçons d'Atwan et Sidaoui, ils sont des populistes comme ton maitre putschiste. Ils sont à des années-lumière de la géopolitique. Sidaoui lui vit apparemment de sa chaine Youtube en faisant la propagande pour les généraux algériens vu que le nombre d'algériens qui cliquent sa chaine est énorme donc ils leur servent ce qu'ils veulent entendre, l'Algerie est le maitre de l'Afrique et l'Amérique a peur de l'Algérie et de telles salades alors qu'il faut leur dire l'économie de l'Algeriee doit être transformée car les pays développés vont bientôt ne pas avoir besoin du pétrole et du gaz mais Sidaoui n'est pas intéressé par le futur de l'Algerie, il veut faire du fric avec la propagande.
remplit mieux ces qualites, qu un journaliste tunisien, faut il s adresser a un journaliste tunisien, parceque tunisien tout simplement, meme si ce journaliste tunisien, sous couvert de travail journalistique fait du militantisme politique et des campagnes de denigrement au profit de partis politiques et de lobbys economiques et financiers, au depend des interets du peuple tunisien Etre un journaliste tunisien n est pas synoyme de competence, de serieux et d honnetete. En outre quel journaliste tunisien ptetendrait etre plus qualifie, plus experimente et plus connu dans le monde que le legendaire Abd Al Berri Atwan?
Malheureusement nos journalistes relatent les rumeurs de la rue qui sont malheureusement infondées et à maintes reprises la source Facebook! C'est une grosse déception.
Le journaliste professionnel doit chercher l'information à la source et preuves à l'appui pour être crédible.
Ceci dit je n'approuve pas la démarche de notre président s'il favorise réellement la presse étrangère et devrait revoir sa stratégie et donner une grande place à la presse locale.
Rien que des titres racoleurs, des propos peu respectueux pour l'institution, relayant des insultes et notions dégradanes et disqualifiantes pour l'homme.
Ce constat est aisé à faire si l'on est un tant soit peu objectif.
Moi, je traite de divers noms d'oiseaux des gens ayant commis des méfaits qui relèvent du pénal.
Je n'ai jamais traité Zitoun, ou tant d'autres n'ayant pas motif à le faire.
Et puis, il s'agit dabs le meilleur des cas de députés, élus dans des conditions qui interrogent pour le moins, vulgaires violents et pris en flagrant délit de mensonge, et même de forfaiture pour certains.
Quand on ne respecte pas un Président qui s'en tient son rôle, fait son job qu'on l'a grée ou pas, il ne faut pas en attendre qu'il vous tienne en haute estime.
Ce d'autant que la désinformation semble un sport affectionné pour certains.
Je l'affirme, je suis très loin de partager la vision du monde, autant qu'il en apparaît, de Kais Saied, mais je trouve choquant et peu civil de ne pas respecter le Président.
Alors, vous le direz Ghannouchi, qui fut le second personnage de l'Etat, et hé vous rétorque que ce type est autrement peu civil, menteur, comploteur, ami des terroristes, et organisateur de la chienlit depuis des années.
Il est le père de la corruption de députés, à "inventé" le fameux "tourisme parlementaire", achète les services de caciques du RCD.
Sans compter des questions très graves comme les assassinats d'opposants, lui qui aime "les sportifs de Chaambi" egirgeurs de bergers et tueurs de militaires.
Cela en fait des motifs pour légitimer le peu d'égards que lui réserve.
Et cela en fait des différences avec les petites mains au verbe crasseux.
Kais Saied à pu constater comment, tout comme moi, vous avez fait preuve de manque de sérieux, et même de parti-pris, à l'occasion de ce référendum.
Je ne traiterai pas des éditos et chroniques, mais vos articles étaient du même tonneau.
Le titre du présent article, aussi.
Quand on débat, c'est un jeu.
Quand on informe, c'est une autre affaire et les règles ne sont pas les mêmes, et se posent différemment selon le registre.
Je compte vous voir publier ce post.
C'est cela le débat.
Le Président Kais Said et le journaliste Abdelberi Atwan se sont donc rencontrés pour parler philosophie, littérature et peut être politique.
Said est un président, il a en charge tout un pays. Atwan, un journaliste palestinien installé à Londres depuis 40 ans, a l'éternel espoir de voir un jour sa Palestine libre. Les deux hommes ont sûrement beaucoup de choses à se raconter.
L'article reproche au président de ne pas rencontrer les journalistes tunisiens. Imaginez donc chers lecteurs, le Président Said assis en face de Mohamed Boughallab. De quoi vont-ils parler ? Et avec quel vocabulaire vont-ils échanger. Avec l'arabe limpide de Said ou avec le langage du dessous de ceinture de Boughallab?
Les journalistes tunisiens n'ont pas encore atteint la maturité et le professionnalisme nécessaires pour mériter la rencontre du Président Said.
Ne vous demandez pas pourquoi.
Persévérez, si je puis le permettre.
Saied est un homme incompétent qui détruira le peu qui reste sous les applaudissements des idiots qui ont voté pour lui.
Pas un seul sou troué de valeur.
Montrez-moi les questions, je vous dirais les réponses approximatives que va sculpter ce faux-jeton d'Abdelbari Atwan.
Il est impossible de cueillir du miel dans un nid de guêpes.
Allah yostir Tounes.
KS snobe les tunisiens et préfère les chaines étrangères.
MERCI à tous les deux pour leur égards pour leurs compatriotes.
Ils sont très mal formés dont leur immense majorité et sont incompétents,aucune déontologie et ils se vendent pour les plus offrants.
Revenez un peu sur la situation financière de beaucoup de journalistes en 2010 et vous verrez qu'ils étaient exactement comme le citoyen lambda.
Maintenant avec la corruption (et c'est pour ça ils luttent avec toutes leurs forces contre le projet de K.S ) leurs niveaux de vies à été multiplier par 10.
LE président K.S n'a jamais été dupe au sujet des médias en tunisie et leur transformation et leurs magouilles.
Il a préféré un.etranger en attendant de croiser un jour un vrai journaliste tunisiens honnête, patriote, intègre et compétent...
'?tant que Saied continue son va-tout et son cavalier seul, je lui suggère de revenir aux vielles bonnes méthodes :
Recréer à nouveau l'ATCE: L'agence tunisienne de communication extérieure.
Ben Ali a créer cette agence spécialement pour espérer véhiculer une bonne image de son régime moyennant faveur, pattes blanches, argent,...
Le fait d'accorder une importance particulière à un journaliste étranger signifie que le nouveau dictateur a la trouille et commence à sentir se rapprocher le danger.
A force de trop tirer sur la corde, elle risque de se défaire.
Saied a une drôle de conception de la liberté des médias en général et de la presse en particulier.