
A l’exception des révolutions qui sont menées par les populations civiles sorties en masse contre les pouvoirs en place, souvent autoritaires et antidémocratiques, les renversements des régimes politiques sont des pratiques bannies et décriées par la communauté internationale. Ils continuent malheureusement à être une pratique récurrente dans plusieurs pays d’Afrique et d’Asie. Ils sont la preuve de la faiblesse des institutions dans ces pays et marquent clairement les frontières avec les pays démocratiques.
Il faudrait toutefois distinguer dans un acte de renversement d’un régime politique entre le coup d’Etat et le putsch. En effet, le coup d’Etat est généralement l’œuvre d’une personne investie d’une autorité qui s’accapare le pouvoir avec la complaisance ou le soutien d’une partie des forces armées, de la classe politique et de la population. Par contre, le putsch est violent, se fait par les armes et nécessite uniquement l’adhésion de l’armée contre la volonté de toutes les autres composantes de la société.
En Tunisie, nous n’avons jamais connu de putschs. L’armée nationale a toujours gardé sa neutralité et s’est toujours cramponnée à son statut d’armée républicaine. Même quand le pouvoir était par terre, à portée de main, suite au départ précipité de l’ancien président Zine Abidine Ben Ali le 14 janvier 2011, les chefs militaires tunisiens ont refusé de se prêter au jeu politique et ont préservé l’institution militaire qui jouit aujourd’hui du respect et de l’estime de tous. Par contre, notre pays a connu plusieurs coups d’Etat depuis son indépendance en 1956.
Le grand leader nationaliste Habib Bourguiba avait été le premier à fomenter un coup d’Etat contre le pouvoir beylical. Investi d’un pouvoir limité en tant que chef de gouvernement qui devait aboutir, avec l’aide du conseil constituant, à éditer une nouvelle constitution devant consacrer une monarchie parlementaire, il a vite fait de renverser le bey, éliminer une dynastie régnante depuis plus de deux siècles et instaurer la République, le 25 juillet 1957.
Bourguiba était le leader incontesté, le combattant suprême. Il avait le soutien inconditionnel de toutes les franges de la société tunisienne. Il pouvait absolument tout faire, même déposer le Bey, un acte qui a semblé naturel et anodin dans l’euphorie de la décolonisation. Le pouvoir instauré par Bourguiba n’était pas démocratique (ce n’était pas dans l’air du temps) mais avait un projet de bâtir, avec ses compagnons patriotes, dévoués mais méconnus par beaucoup, l’Etat national. Ce pouvoir a duré 32 ans avant de sombrer sous le poids des guerres des dauphins, des querelles du palais, de la maladie et de l’âge avancé du président à vie.
Le coup d’Etat du Premier ministre Zine El Abidine Ben Ali le 7 novembre 1987 a lui aussi bénéficié au début, du soutien d’une large frange de la population. C’était un coup d’Etat médical qui reposait sur l’avis de plusieurs professeurs de médecine qui ont constaté la vacance du pouvoir à cause de la maladie et de l’incapacité du président Bourguiba à assumer ses fonctions. Mais «l’Ere nouvelle » de Ben Ali, qui a duré 23 ans, n’était qu’une dictature et une démocratie de façade. Elle a fait de la Tunisie une belle carte postale qui cachait mal un pouvoir oligarchique et corrompu qui a appauvri le pays et qui a conduit à la révolution du 14 janvier 2011.
En ayant recours à l’article 80 de la constitution le 25 juillet 2021, le président actuel Kaïs Saïed était dans la légalité constitutionnelle. Ce n’est que le 22 septembre dernier, en promulguant le décret 117, qu’il s’est accaparé tous les pouvoirs et a matérialisé ainsi son coup d’Etat. Il continue de bénéficier du soutien d’une grande partie de la population, et d’une frange de la classe politique. Son projet de reconstruction (al bina al jadid) reste très flou. Ce qui est clair par contre, c’est que Kaïs Saïed s’est garanti au moins une décennie au pouvoir. Le reste est une question de rapport de force.

Dégoût du politique, rejet des politiques, peur de la responsabilité, corruption, abstention, votes extrémistes... la démocratie représentative semble être en crise, partout dans le monde.
Quand je voit le temps accordé dans les médias françaises à un taré comme Zemmour, je me dit dieu merci, je suis rassurée d'avoir notre Président au moins on est sauvé pour quelques temps.
« Il n'y a que deux puissances dans le monde, le sabre et l'esprit... A la longue, le sabre est toujours battu par l'esprit. » Au sens de Napoléon et j´espère que l´esprit raisonnable de notre pays vaincra à la fin.
La propagande stérile dans ce sens n´a pas de sens
« Il n'y a que deux puissances dans le monde, le sabre et l'esprit... A la longue, le sabre est toujours battu par l'esprit. » Au sens de Napoléon et j´espère que l´esprit raisonnable de notre pays vaincra à la fin.
La propagande stérile dans ce sens n´a pas de sens
En début des années 80 apparaissait l'islam politique (MTI) dont il est inutile de rappeler le dessin . Le coup d'Etat de BA était une réaction anticipant un autre coup d'Etat des islamistes. Des leaders de ce parti ont aujourd'hui reconnu ces faits en détail.
Après le vide qui s'est installé suite à une insurrection, ces mêmes islamistes et grâce la collaboration, bon gré mal gré, des opposants vendus en leur majorité et ce qu'on appelle toujours les personnalités nationales, ces islamistes se sont emparés du pouvoir en instaurant un régime à leur guise. Ils ont procédé à une stratégie de domination de l'appareil de l'Etat (ATTAMKIN) en attendant de mettre définitivement la main sur le pays et ce grâce à l'appui des puissances étrangères. Le gourou RG ne rêvait que de la fonction suprême, or il ne pouvait l'avoir par voie d'élections. Il a usé de touts les stratagèmes. Il a cru réaliser cet objectif en la personne de KS, un président sans envergure ni parti politique. Sauf;, qu'il a été confronté à un personnage coriace qui s'est rebellé en défendant bout à bout ses prérogatives convoitées. Il est allé plus loin en refusant l'entérinement des gouvernements successifs. Il est devenu même une menace pour ses dessins. A la porte de ses 80 ans et malade, il voyait son rêve s'éloigner. Il s'est empressé de le renverser par "un coup d'Etat constitutionnel "Grace à l'appui de ses associés de malfrats (KT entre autres). Ils ont préparés un plan en destituant KS en vertu de l'article machin du torchon. Le gourou allait s'introniser cet été. L'intérim allait se transformer en définitif.
L'histoire n'est pas celle de coup d'Etat mais de contre coup d'Etat.
Alors qu'eux même, soutiennent un facho qui cultive le flou !!!
Sa mère a dû le faire avec un brouillard ma parole !!!
La Tunisie a perdue une occasion en or ,quand le bey voulait instaurer une monarchie parlementaire !!!
Merci au grand leader d'avoir instauré une chakchouka mi laïcarde mi musulmane .
Avec une écrasante majorité surtout fasciste !!!
Chapeau à Ben Ali ,pour avoir supporté cette chakchouka pendant 23 longues années !!!
Vous vous trompez. . . car "son peuple" approuve et soutient "le coup d'Etat". . . seule solution pour mettre un terme (même provisoire) à la honte et à la gabegie de la basse-cour du Bardo qui avaient cours avant le 25/7 béni !
Alors, content ?
MPP.
Les tunisiens sont irresponsables. A chaque échéance électorale, ils votent mal en choisissant les pires, ou ne votent pas du tout, et ensuite ils viennent pleurnicher afin qu'on les libèrent de leurs élus. C'est non seulement puéril mais c'est surtout suicidaire.
Leur soutien aveugle au Grand Maître du Verbiage est en train de mener le pays vers le naufrage.
(afin qu'on les "libère". . . ne pas accorder le verbe !)
C'est exactement ce que vous faites !
Vous pleurnichez pour qu'on vienne vous libérer d'un Président élu à plus de 72%. . . toujours soutenu et approuvé par plus de 70% de l'opinion publique !
Qui est dans l'erreur. . . et qui pleurniche dans sa niche ?
MPP.
Il suffirait d'ouvrir un livre d'Histoire. . . sinon Google ou mieux, Wikipédia pour pondre un fatras d'édito pareil. . .
Comme "analyse" il faudra repasser car on reste sur sa faim, pour peu que l'on ait quelque appétence pour ce genre de ragoût !
C'est à la toute fin du pensum que l'on tente de nous convaincre de n'avoir point perdu notre temps à lire sans surprises croustillantes un simple passage en revue de faits anciens et révolus. . . en nous prédisant, après avoir sûrement lu dans une boule de cristal que "Kaïs Saïed s'est garanti au moins une décennie au pouvoir." !
Et voilà que notre bon "analyste" succombe derechef à la facilité de la divination politique qui, comme chacun ne le sait pas forcément, est une science des plus aléatoires dans le domaine des pronostics politiques, surtout à une aussi longue échéance de 10 LONGUES années !
Et pourquoi pas plus ? Tant qu'on y est, il y aura peut-être un légataire universel, "des héritiers" ou des exécuteurs testamentaires, qui sait ?
N'oublions pas que KS a un garçon et une fille. . .qui d'ici dix ans, auront peut-être les dents qui rayent le parquet ?
Et nous revoilà embarqués dans une autre odyssée au long cours. . .
Comme tout cela est de peu d'importance, les desiderata des uns et des autres ou les états d'âmes de tel ou tel. . . alors y a-t-il autre chose en magasin à se mettre sous la quenotte d'un mort de faim ?
Mais bien sûr. . .
Et le plus étrange dans l'affaire du "coup d'Etat" du 25/7, c'est que "les belles âmes" qui s'égosillent depuis cette date et crient haro sur le Président, lui reconnaissent à la fois un certain doigté dans la conduite de son "coup de Jarnac" ainsi que le mérite de les avoir débarrassés d'un ramassis de fâcheux qui menaient le pays vers la fatalité du péril qui frappait grave à la porte. . .
Et presque tout de suite après les congratulations et les félicitations et une fois que les eaux des oueds aient finalement repris leurs cours paisibles, voilà que les planqués , les spectateurs, les couards et les attentistes d'hier et d'avant-hier se découvrent des exigences et des demandes pressantes pour ne pas dire des ambitions à reprendre et arracher si besoin est, le flambeau des mains mêmes de leur libérateur. . . oui, de leur sauveur !
Ah ! les ingrats. . . Ah ! les vaniteux. . . Ah ! les oublieux. . .Ah ! les pressés. . .
Alors puisque c'est comme cela que vous prenez les choses qui vous dépassent. . .messieurs-dames les frustrés vous resterez ainsi longtemps encore sur votre faim. . . et au moins jusqu'à tant que le Président de la République n'aura pas parachevé sa tâche au service du pays et de l'Etat, ce qui ne pourra en aucun cas dépasser l'échéance du mandat présidentiel en cours, c'est à dire fin Septembre 2024 au grand plus tard. . .
Et là, sans fausse modestie comme d'habitude. . .c'est moi et moi seul l'oracle qui prédit déjà cette heureuse issue. . .
Alors, contents ?
D'ici là, ceux qui préfèrent se mettre la rate au court-bouillon. . . qu'ils ne se gênent surtout pas, il y a encore assez de places dans les jardins de pierres !
MPP.
Je vous en prie, faites !
L'on peut toujours apprendre de chaque contribution. . . et si le plat est "trop salé", il suffit de rallonger la sauce. . .pour le rendre meilleur, n'est-ce pas ?
C'est vrai que le ragoût était sans saveur et sans odeur et les propos sont d'une banalité déconcertante mais fallait il pour cela tirer sur l'ambulance avec cette réponse interminable et limite pédante.
Moi je me suis contenté de rectifier grammaticalement une phrase.
Chacun fait selon ses capacités, n'est-ce pas ?
Je fais dans "l'interminable" certes(*). . . et je vous laisse le "très court". . .tout ce que peut vous permettre votre souffle ?
MPP.
(*) Certains commentateurs qui se reconnaîtront, ont un besoin évident qu'on leur explique en détail le topo. . .
Ma façon à moi de mettre les point sur les "i" !
Moi, devant je, ne sers à rien !
S'il satisfait les tunisiens au niveau économique, social et sécuritaire.
Il sera réélu tant de fois autant qu'il fait son travail honnêtement comme l'avait fait AZAIM.
Donc épargnez vos salives
La vie politique est faite de morts et de renaissances.
BN ?:Merci d'avoir attiré notre attention
Cela explique bien des choses au niveau du comportement de Mr Kaes Saed; il fat bien que tout le monde comprenne ce dont il s'agit
L'histoire de la droiture et de l'intégrité n'est pas convaincante. Plusieurs indices et évènements sèment le doute sur son caractère
- Prise en otage de Fakhfakh pour l'obliger de dimensionner. On parle même qu'on a éloigné sa voiture et on ne l'a laissé partir qu'après signature.
- Son comportement scandaleux à Paris vis-à-vis de Macron, il a humilié la fierté de la Tunisie.
- Ses one man shows devant ses invités qu'il ne les laisse jamais se prononcer devant les caméras. Ce n'est pas le comportement d'une personne qui joue fair (fair play)
- Des médias étrangers parlent de la participation d'officiers étrangers dans le coup d'état.
Il sait lui et ceux qui ont supporté le coup d'état qu'ils seront jugés s'ils perdent le pouvoir, je crains que ceci accélérera sa fuite en avant. Les années prochaines seront très difficiles pour la Tunisie.
ZABA_coup d'Etat---------------------------------------------------------------------> le 7 novembre 1987
Les atlantistes_coup d'état -(usa, gb et france) --------------------------------> le 14 janvier 2011.
Kaissoune le patriote sans peur ni reproche, libère la nation de l'étreinte destructrice des traitres imposteurs--------> le 25 juillet 2021
Mais, avec tous mes respects, il semble qu'à 14 h il a réalisé que les mesures de midi étaient un coup d'état.
Mieux vaut tarder que jamais ?
Que veut dire démocratie, e, fait? - Des institutions et des dirigeants élus? -Je n'en veux pas!!
Les médias, eux aussi, sont dans le besoin urgent de revoir leurs cours. s'ils épousent les vieux sens des vocabulaire et jargons politiques, qu'ils sachent que les mots mutent avec le temps et le vocable perd des sens et en gagnent de nouveaux. Actuellement, démocratie sans justice sociale n'est que de l'enfumage et de la démagogie!!
SI Kaïs Saïed, admettons qu'il a commis le péché originel politique appelé coup d'Etat, je pense que ses actions actuelles vont l'absoudre! Qu'est-ce qui est mieux, vivre une démocratie iullusoire avec les vols et crimes contre l'Etat et le peuple que cela comporte, ou un coup d'Etat qui remettrait les pendules à l'heure et ferait que seuls les méritants seraient les gouvernants?
Le constat aujourd'hui : les islamistes sous le tapis, un gouvernement (non politique pour une fois et assez technocrate) en place et un vrai processus d'assainissement en cours.
Qu'on le veuille ou non, tout cela est positif et va dans le bon sens. Bonne continuation.
Ceci dit, Il ne va pas tenir 10 ans. Il ne peut pas résoudre les problèmes économiques avec son populisme. Déjà l'hiver prochain risque d'être chaud pour lui. Ceux qui l'ont aidé à faire le coup vont le dégager, une fois le peuple sorte crier sa faim.
en Allémand on dit: "Wer nicht hören will, muss fühlen "
--> Celui qui ne veut pas entendre/comprendre doit sentir
Le 6 janvier dernier l'autre fou Trump a essayé la même chose mais il a lamentablement échoué. Tout simplement parce que les institutions dont l'armée surtout sont extrêmement fortes et disciplinées.
L'armée tunisienne a toujours supporté le pouvoir politique en place contre la population. C'est une armée digne d'un pays du tiers monde. Pourquoi fera-t-elle exception ?
Que les tunisiens soient heureux d'être débarrasser de ces dix ans de misère, avec ce déclin intellectuel de la masse et la facilité pour ces élites de la manipulation.
Que les tunisiens soient heureux d'être débarrasser des ces voleurs et corrompus à la pelle. Le tunisien n'est pas au bout de ses surprises de ces soient disant politiciens, ils sont plus une bande de spoliateurs corrompus et voleurs .
Le tunisien est soulagé, oui je dis bien soulagé de ne plus voir la mascarade de ce parlement pourri,
Le peuple tunisien ne remercerait jamais assez KS de l'avoir libéré, et d'avoir donné a délivrance a notre société tourmentée et trahit pendant 10 longues très longues années.
Le diable a réussi son coup en beauté
Vous avez fumé la moquette
Avez-vous la solution ?
"Vous ne réalisez pas à quel point il est DIFFICILE d'EXPOSER LA V'?RIT'?, dans un monde rempli de gens qui ne sont pas CONSCIENTS de VIVRE dans le MENSONGE"
1) fixer une date de fin de l'état d'exception
2) nommer une véritable compétence capable de lancer un plan de sauvetage et de relance économique.
3) KS doit cesser ses discours anxiogènes, haineux, et diviseurs. Il doit cesser d'intervenir dans les affaires de l'état. Il a largement montré sa vacuité et son incroyable incompétence.
On ne peut pas travailler et avancer dans une société pourrie jusqu'à l'os.
Aujourd'hui le pays a besoin de tous ses enfants honnêtes pour nettoyage du pays à l'eau de javel d'abord et après on parlera politique .
C'est aussi un coup d'état car l'article 80 n'a pas été respecté et l'armée et les sécuritaires n'ont pas respecté la constitution non plus. Saied a fait le contraire de ce qui lui demande l'article 80 mais tout ça est théorique car le combat a été remporté par les chars placés devant le parlement. C'est la preuve que la Tunisie est un 'failed state', n'a pas d'institutions solides et elle n'est pas différente des pays africains où des coups d'état sont fréquents comme le Mali et le Soudan. Les Assads ont aussi nommé leur coup d'état 'haraka tashihiya'
La comparaison avec Bourguiba et Ben Ali est aussi fausse, Bourguiba avait la légitimité de l'indépendance et Ben Ali n'a pas utilisé l'armée. Kais Saied en revanche a fait un coup d'état contre une constitution démocratique et un parlement élu démocratiquement et s'est emparé de tous les pouvoirs, même Bourguiba et les beys avaient moins de pouvoirs que lui.
Je ne suis pas sûr comme vous Si Soufiene que Saied peut se tenir une décennie. Il n'a ni les programmes, ni les femmes et hommes et encore moins les capacités intellectuelles et l'expérience. C'est la crise économique qui va mettre fin à son pouvoir, ses slogans vides ne vont pas l'aider, au contraire.
Pour la première fois où peut-être la deuxième qu'un journaliste expérimenté parle du coup d'état de Bourguiba envers le dernier souverain de Tunis, Mohamed Lamine Bey.
En dehors du coup d'état, il faudrait allait plus loin, et rappeler le très mauvais traitement subi par toute la famille beylicale.
Spoliation des biens.
Emprisonnement des fils et gendres du Bey qui n'ont jamais été jugé pour un quelconque délit.
Empêchement de Lamine bey
à assister aux funérailles de son épouse, décédée suite au mauvais traitement subi au ministère de l'époque.
Enterrement du Bey Lamine dans le plus grand anonymat.
Etc..
Etc.