
Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu, lundi 26 mai au palais de Carthage, Issam Lahmar, ministre des Affaires sociales.
Cette rencontre a porté sur la suppression de la sous-traitance dans le secteur public, tout comme elle a été abolie dans le Code du travail. Le chef de l’État a souligné que « l’être humain n’est pas un simple chiffre suivi d’une virgule, mais qu’il possède des droits naturels que l’État se doit de garantir ». Il a affirmé que, grâce à ses moyens et à ses choix, la Tunisie est en mesure de concrétiser ces droits à travers une fiscalité équitable, une répartition juste des richesses, et le respect intégral des droits des travailleurs, qu’ils soient dans le secteur public ou privé.
Le président de la République a précisé qu’un travailleur, lorsqu’il se sent en sécurité et stable, augmentera sa productivité et contribuera à la relance de l’économie, car il aura le sentiment que l’entreprise dans laquelle il travaille lui assure une vie digne. Il a ajouté que « tout repose sur un climat sain fondé sur la justice et l’équité », et que dans un tel environnement, « les Tunisiennes et les Tunisiens réaliseront ce que certains pourraient qualifier de miracles ».
S.F
Il se permet de les limoger car c'est l'?tat qui paie les indemnités... Par contre dans le cas des entreprises on a pas ces moyens pour mettre à la porte un employé yerkedlek fel khate surtout ki yebda emressem depuis longtemps!
Certainement, le chiffre n'est pas suivi d'une virgule, l'être humain est un nombre à deux chiffres. Les peines de prison distribués par ce kaisoune généreusement et toutes ces rétentions préventives. Saied est très mal placé pour parler des droits de l'homme, mais vraiment très mal placé apres tout ce qu'il a fait. Occupez vous de choses que vous maîtrisez monsieur.
Un travailleur qui se sont en sécurité est un travailleur productif. Théorème fondamental de la paresse. Un travailleur qui se sont trop en sécurité ne fera plus rien et kaisoune en sait quelque chose. Deux carrières pénardes le filou. De la sécurité de l'emploi oui, mais pas beaucoup quand même.

