Le président de la République, Kaïs Saïed, a reçu, jeudi 18 juillet 2024, le chef du gouvernement, Ahmed Hachani, pour examiner les résultats de sa participation hier aux travaux du Forum sur « la migration transméditerranéenne » à Tripoli.
À cette occasion, le chef de l'État a réitéré la position ferme de la Tunisie sur la question de la migration irrégulière. « Notre pays, qui est fier de son appartenance africaine, a offert ce qu'il pouvait à ces migrants, derrière lesquels se cachent des réseaux de traite d'humains. La Tunisie ne peut accepter d'être un point de transit ou un lieu de résidence. La solution ne peut être que collective à travers le démantèlement des réseaux criminels responsables de ce phénomène anormal. De plus, ces migrants sont les victimes d'un système économique mondial injuste », indique le communiqué de la présidence de la République.
Par ailleurs, le président de la République a rappelé la nécessité de l'impartialité de l'administration et l'importance pour chaque responsable de se tenir à l'écart de toute considération politique, en respectant les devoirs de réserve.
« Ce qui se passe actuellement dans certaines administrations est inacceptable, et il est impératif de prendre des mesures légales contre toute infraction ou négligence au sein des institutions de l'État », toujours d'après le même communiqué.
S.H
Non plus.
=> Lorsqu'une association reçoit des dons, elle se doit de les déclarer.
Dans le cas contraire, cela peut être confondu comme :
Blanchiement d'argent et / ou financements étrangers.
Extrapolant sur les financements étrangers, on peut soupconner une menace contre l'Etat, ce qui est sévèrement réprimandable.
...
Ce n'est pas parce que l'on a une organisation ou association étrangère, que les financements non-déclarés sont autorisés.
...
On enfreint la Loi, on est puni.
Objections @ pseudo Mamadou ?
...
Lorsque l'on ignore la Loi, on s'instruit avant de brailler.