
La secrétaire générale adjointe de la Fédération générale de l'enseignement secondaire relevant de l'Union générale tunisienne du travail (UGTT), Jouda Dahmen, est revenue, mardi 19 novembre 2024, sur les rumeurs qui ont circulé la veille concernant des descentes effectuées chez des enseignants à cause de cours particuliers, ainsi que sur le boycott des cours par certains élèves en protestation contre ces actions et l’interdiction des cours particuliers.
La syndicaliste a affirmé au micro de Hatem Ben Amara, dans l'émission Sbeh El Ward sur Jawhara FM : « Je traite avec beaucoup de prudence ce qui est relayé sur les réseaux sociaux, car l’affaire est délicate. Pour que nous réagissions en tant que fédération et que nous puissions prendre une position ferme, il faut que l’affaire soit avérée. Je tiens à mettre en garde contre ce qui semble être une campagne orchestrée, sur de soi-disant descentes... Des rumeurs qui ne sont pas innocentes. D’où la nécessité de demeurer rationnels, car l’éducation est un sujet sérieux, et ces rumeurs sont graves, voire très graves. Il n’y a aucune preuve concernant ce qui circule sur les réseaux sociaux ».
Elle a également soulevé la question de l’intérêt derrière la diffusion de telles rumeurs, insistant sur le fait que chaque personne devra assumer les conséquences des rumeurs qu’elle propage.
Interrogée sur les rumeurs concernant un mouvement de protestation mené par les élèves de baccalauréat à Sfax pour protester contre l’interdiction des cours de soutien, Jouda Dahmen a indiqué que la fédération ne disposait pas de données officielles à ce sujet. Toutefois, elle a appelé les élèves à la retenue et à ne pas boycotter leurs cours, soulignant que toute problématique a une solution.
La syndicaliste a précisé que cette circulaire est publiée chaque année par le ministère de l’Éducation, et a exprimé son incompréhension face à l’ampleur que cette affaire a prise cette année. Elle a également confirmé que les parents et les élèves sont inquiets à cause de cette circulaire contraignante.
« Toute problématique a une solution. On ne peut pas diaboliser l’enseignant, mais on ne peut pas non plus fermer les yeux sur les dérives liées aux cours particuliers. Ce que nous demandons, c’est d’appeler à la raison et à la loi. Le ministère peut s’asseoir avec le syndicat pour trouver des solutions, afin d’organiser les cours particuliers de manière à préserver la dignité de l’enseignant, de l’élève, des parents et de leur argent », a-t-elle souligné.
I.N.
Des étudiants, pour avoir un peu d'argent, des associations, ou des entreprises privées, à l'instar de "acadomia" en France, devraient assurer des cours particuliers pour les élèves en difficulté, ceci est, bien sûr, à la demande des parents,
Toujours dans leurs rôles de lobby ascendant ***
Un etat fort met toutes ses personne à travailler pour l interet general et non pour sa corporation , si cette femme était patriote , elle dirait que les professeurs font et feront tout pour que tous les enfants réussissent sans avoir recours au cours privé. En creant des methodes d apprentissage adapté a tous les eleves en faisant des groupes de niveau ...
Mais non !!!
Il faut que tout aille mal dans l ecole publique pour que les parents se saignent à payer des professeurs corrompus ou des ecoles privées
Il faut arreter ce scandale des cours prives. L enseignant n a pas le temps de faire son programme en cours mais trouve le temps contre rémunération.
Cette syndicaliste defends l indéfendable
Honteux
Après la descente faite à son garage où il donnait des cours particuliers ,l'enseignant fut révoqué du publique et fit sa reconversion dans le secteur privé.....
Quant aux jeunes encore adolescents,ils eurent le choc de leur vie,les deux forts en maths en oublièrent jusqu'à leur table de multiplication,quant aux forts en thème,ils se mirent soudain à bégayer en lisant un texte,des tares nouvelles et irrémédiables furent décelées et leur avenir est fortement compromis.