
Hizb Ettahrir a tenu, le 10 janvier 2017, une conférence de presse pour revenir sur l’actualité nationale et sur les « persécutions » dont seraient victimes ses membres et particulièrement ses jeunes.
Dans une déclaration à la presse, Imed Haddouk, leader du parti, a fait état d’arrestations abusives et d’affaires fabriquées de toutes piéces qui viseraient les jeunes du parti. Il s’est notamment indigné de l’application de l’acusation de « distribution d’écrits » aux membres de Hizb Ettahrir.
En réaction, M. Haddouk a déclaré que des consignes ont été données aux jeunes du parti de ne plus se conformer aux ordres de la police et de laisser la justice, en dernier ressort, trancher les différents concernant les activités du parti. M. Haddouk a également affirmé que le parti ne devrait être jugé que sur la base du décret 87 de l’année 2011 régulant le travail des partis.
M.A
Commentaires (40)
Commenter@URMAX | 10-01-2017 22:27
la trappe
l'obscurantisme au 3ème millénaire
ont-ils l'intention de penser au bien du peuple et du pays? non plus. pour eux la loi est simple: nous et nous seuls, les autres ne comptent pas.
commençons par des miettes ne pas respecter l'ordre des forces de l'ordre et finissons par: l'ordre c'est nous.
soyons tous conscient et défendons par tous les moyens dans le respect de tous, par la sensibilisation, les écriteaux, les marches pacifiques, les auto collants et les discussions.prenez en charge la défense de notre pays, la TUNISIE, et rejetons ces maudits.
@ HatemC : du devoir d'ingérence
Longtemps, durant des siècles en fait, les pays de par le monde pratiquaient ce que j'ai désigné dans mon message précédent par "chacun fait ce qu'il veut chez lui, et tout va bien tant qu'il laisse les autres tranquilles".
Puis on a vu, dans les années 70 et 80, des dictateurs massacrer leurs peuples (Chili, Argentine, nombre de pays africains...), dans l'indifférence générale.
Il s'est alors trouvé des hommes et des femmes politiques pour dire : on ne peut pas laisser faire ça, moralement c'est intenable.
Alors on a commencé à parler d'un devoir d'ingérence, qui a parfois porté ses fruits, parfois mené à des catastrophes.
S'agissant de la Syrie, je pense que tu ne nies pas qu'avant guerre, Assad père et fils ont bien massacré leur opposition, opposition simplement politique, pas islamiste.
C'est ainsi me semble t-il que la France (et d'autres pays) ont commencé à intervenir en Syrie, ouvrant la porte aux islamistes... on connaît la suite :-(.
Toujours est-il que la question se pose : devoir d'ingérence, ou pas?
Je pense bien sûr à la Tunisie. Si demain les islamistes mettent la charia en place en Tunisie, sachant que 70% de la population de veut pas de la dictature religieuse, devoir d'ingérence, ou pas? Pas de la part de la France, bien sûr...
Réfléchis avant de me clouer sur la croix, cela mérite réellement réflexion...
Des propos dignes d'un parti politique civil mais...
Hélas reconnaître le decret-loi n°2011-88 sur les partis est une cose importante, un decret-loi qui donne la possibilité à la populace dont je fais partie de faire de la politique à l'insu de l'establishment dont fait partie là racaille des gouvernants!
Une racaille à laquelle manque le féodalisme ignorant le fameux decret-loi alors incapable d'épingler le HIZB Attahrir. ...
Alors je me demande qui est lexport comptable de ce parti politique comme qui est l'expert comptable de NIDAA TOUNES ou encore du front populaire?
Vermine
HatemC dit...
Comme si je disais que la religion et la politique peuvent cohabiter ..."
Voilà qui appelle un commentaire!
Je me prends pour exemple (et non pour référence!), car la plupart des Français sont dans mon cas. Je m'explique...
J'ai connu la Tunisie en 2010, et avais été ébloui par la tolérance de ce pays et sa société cosmopolite... c'était il y a 6 ans.
Quelle était ma pensée à l'époque?
Je voyais que nous avions, en France, des fanatiques religieux. Des juifs fanatiques, des chrétiens fanatiques, des sectes fanatiques... tout ce monde vivaient son trip sans emmerder personne, juste quelques manifs bruyantes de temps en temps.
De toutes façons, ils se pliaient (et continuent de se plier) à la loi de la République laïque.
Alors, il y avait bien aussi des fanatiques musulmans. Où était le problème? Qu'ils soient heureux entre eux, et basta, tout va bien.
Puis est venu ce que nous avons appelé, en France, l'islamisme. C'est à dire une idéologie IMPORTEE qui s'est mise à vouloir imposer son modus vivendi et son idéologie contraire à toutes les valeurs de la France, à tout le pays, aux juifs, aux chrétiens, aux athées, aux agnostiques.
Pour parvenir à leurs fins, ils se sont mis à utiliser la pire violence.
Et là ça ne va plus.
Je ne crois pas m'avancer beaucoup si j'affirme que les acteurs politiques français ont été aussi surpris que moi!
En effet, ces 6 dernières années montrent que l'islamisme et la démocratie, surtout laïque, ne sont pas compatibles. C'est l'huile et l'eau!
D'autre part, parler des occidentaux en général a aussi peu de sens que parler des arabes en général.
Qu'y a t il de commun entre un chater et ma femme? Tous deux sont arabes, pourtant ils sont aux antipodes l'un de l'autre.
C'est exactement la même chose pour les occidentaux.
Sur l'enchaînement des évènements au proche orient, j'ai déjà dit maintes fois qu'en tant que citoyen français, je porte avec tristesse ma part de responsabilité collective dans ce qu'il se passe en Syrie et en Lybie.
Oui, les Français n'avaient pas à éliminer Kadhafi, ni Al Assad. Ces pays sont des pays souverains, nous Français n'avions rien à y faire, pour autant qu'ils ne nous envoient pas de terroristes.
Je note avec fierté que Chirac a refusé jusqu'au bout de participer à la destruction de l'Iraq, et que Hollande a répondu par l'affirmative à l'appel au secours du Mali qui allait tomber sous la dictature islamiste.
Et je note avec regret que la France a aidé les "rebelles" syriens, en réalité des islamistes purs et durs. C'est fini depuis au moins un an, mais ce fut une erreur historique.
Mais c'est ainsi, les hommes et femmes politiques sont humains, ils commettent des erreurs, parfois dramatiques, et sont aussi, parfois, animés d'intentions inavouables -mercantiles à court terme.
Mais ils décident pour leur pays, dans sa globalité. On peut le regretter, je le regrette souvent, mais comment faire autrement?
En Palestine, je crois bien représenter l'opinion française, lorsque je dis que l'extrême droite israélienne et la Hamas sont coresponsables de la chienlit qui règne dans ce coin du monde.
Au final, je dirai que je m'abstiens toujours de parler des arabes comme d'un corps homogène, je voudrais que l'on ne parle pas des occidentaux comme d'un corps homogène.
Ces vocables réducteurs et généralistes nourrissent la haine.
Longue vie à toi, où tu veux, ici ou là, et longue vie à ma femme, ici ou là!
je rejoins l'analyse de @Bab ezzira. Ils ont reçu les "renforts" de Syrie et veulent passer à "l'action", aux crimes islamisants, comme en Algérie avec le FIS(Ennahdha locale)/GIA/GSPC
Préparons nous au pire. Les criminels islamisants sont PRETS à passer à l'action, à l'horreur. C'est un avertissement. ne le prenons pas à la légère. peuple Tunisien, ne comptez pas sur vos "dirigeants", soumis aux Diktats d'Ennahdha. Soyez patriotes. Préparez vous à défendre notre Nation contre cette horde de Banou Hilal. On ne peut compter que sur nous même.
?? ... NE PLUS SE CONFORMER AUX ORDRES DE LA POLICE = HORS LA LOI !!!
...
Alors, au pigeonnier, en tôle, au mitard, en prison !
...
:-) URMAX
Appel pressant à nos gouvernants
Son but unique est d'arriver au pouvoir pour transformer notre pays en Afghanistan ou en Raqqa. Les libertés seront alors confisquées et l'islamo-fascisme sera le seul maître à bord !
Ces rétrogrades demandent à la démocratie des droits qu'ils seront amenés à bannir fortement et sans ménagement si par malheur ils arrivent au pouvoir !
A nos gouvernants, je leur demande de prendre leurs responsabilités.