Quelle bande à jojo: HCE, Karoui, ...
n'importe quoi!!
Dans une interview publiée hier, 4 mars 2016, par le journal français Le Monde, le directeur exécutif de Nidaa Tounes, Hafedh Caïd Essebsi, est revenu sur la crise de Nidaa et l’alliance « contestée » avec le parti islamiste Ennahdha dont il est l’un des défenseurs.
Interrogé sur les raisons de la crise, Hafedh Caïd Essebsi a estimé que cela est dû au départ, à des postes au gouvernement, de plusieurs leaders du parti ainsi qu’à l’alliance inattendue avec Ennahdha qui en a déçu plus d’un au sein de la base et de l’opinion publique. « Un homme politique est obligé de composer avec l’existant. Aujourd’hui, cette alliance est dans notre intérêt commun, c’est l’intérêt du pays. Il y va de sa stabilité et sa sécurité » a-t-il souligné.
Quant à sa nomination à la tête de Nidaa Tounes, fortement contestée et qualifiée de « succession dynastique », il a précisé que la démocratie ne laisse aucune place à ce type de successions et que « priver un citoyen de ses droits civiques au nom de la critique de la « succession dynastique » est inadmissible.
Hafedh Caïd Essebsi a, par ailleurs, nié toute influence de la part de son entourage sur sa politique. « Aucun homme d’affaires n’exerce une quelconque emprise sur ma personne ou sur mes convictions. La Tunisie a été privée de démocratie pendant cinquante-cinq ans, il est normal que la liberté d’expression gagnée aujourd’hui connaît quelques abus. Ces histoires d’hommes d’affaires sont exagérées et amplifiées par cette liberté d’expression et par « Radio trottoir » » a-t-il ajouté.
M.B.Z
Dans une interview publiée hier, 4 mars 2016, par le journal français Le Monde, le directeur exécutif de Nidaa Tounes, Hafedh Caïd Essebsi, est revenu sur la crise de Nidaa et l’alliance « contestée » avec le parti islamiste Ennahdha dont il est l’un des défenseurs.
Interrogé sur les raisons de la crise, Hafedh Caïd Essebsi a estimé que cela est dû au départ, à des postes au gouvernement, de plusieurs leaders du parti ainsi qu’à l’alliance inattendue avec Ennahdha qui en a déçu plus d’un au sein de la base et de l’opinion publique. « Un homme politique est obligé de composer avec l’existant. Aujourd’hui, cette alliance est dans notre intérêt commun, c’est l’intérêt du pays. Il y va de sa stabilité et sa sécurité » a-t-il souligné.
Quant à sa nomination à la tête de Nidaa Tounes, fortement contestée et qualifiée de « succession dynastique », il a précisé que la démocratie ne laisse aucune place à ce type de successions et que « priver un citoyen de ses droits civiques au nom de la critique de la « succession dynastique » est inadmissible.
Hafedh Caïd Essebsi a, par ailleurs, nié toute influence de la part de son entourage sur sa politique. « Aucun homme d’affaires n’exerce une quelconque emprise sur ma personne ou sur mes convictions. La Tunisie a été privée de démocratie pendant cinquante-cinq ans, il est normal que la liberté d’expression gagnée aujourd’hui connaît quelques abus. Ces histoires d’hommes d’affaires sont exagérées et amplifiées par cette liberté d’expression et par « Radio trottoir » » a-t-il ajouté.
M.B.Z