Ils ont annoncé, également, leur intention d’engager des pourparlers avec le Quartet du dialogue national de 2013 et les grandes organisations nationales.
Les signataires ont noté la nécessité de tenir le dialogue national à l’écart des tiraillements politiques et de fédérer les forces politiques et sociales autour d’un projet de sauvetage que les autorités mettraient en œuvre avec l’appui de l’opinion publique.
Ils ont ajouté que toutes les institutions de l’État devraient être concernées par ce dialogue national, de ses tenants et aboutissements.
Les signataires ont appelé, par ailleurs, les forces démocratiques et les organisations de la société civile à intensifier les pourparlers afin d’aboutir à une proposition de programme, d’outils et de délais pour le dialogue national.
L’Union générale tunisienne du travail a rendu publique, mardi 1er décembre 2020, son initiative pour sortir le pays de la crise. La Centrale syndicale serait en attente d’une réponse favorable de Carthage pour donner le coup d’envoi au dialogue politico-socioéconomique tant attendu.
N.J.
Je pense qu'on ne devrait pas se laisser intimider quitte à passer à la confrontation pour sauver le pays. En effet, les propos, ce n'est pas la première fois, de Bhiri et d'autres énergumènes sont inacceptables.
Ce qui me révolte, c'est le silence de la société civile et des partis se disant contre l'islam politique et la violence.
Essayons d'être réalistes et objectifs.
Sans se soucier des personnes, ça importe peu, une idée fédératrice qui pourrait nous donner de l'espoir, est toujours la bienvenue.
Loin des préjugés, nous devrions attendre et voir, la tournure de ce dialogue, si un comité de sages est instauré pour le mener, sans entourloupe ni mauvaise foie, nous devrions y croire quelquesoit le degré des chances à l'aboutissement fructueux.
Rejetter tout en bloc, je ne pense pas que c'est la bonne attitude.
Les différentes expériences vécues nous ont laissé ce goût amer des échecs successifs, pour ça nous sommes méfiants, mais ce n'est pas un empêchement pour garder espoir . Nous voulons tous le bien pour Notre Pays, sans ambitions politiques ni idéologiques, alors une bonne réflexion s'impose pour chercher des solutions raisonnables.
Ces gens ne représentent que leur propre personne et non aucune valeur en terme de poids populaire.
Comme l'est également l'UGTT.
Ce syndicat est tellement honni par l'écrasante majorité des tunisiens.
Les vrais représentants des tunisiens sont ceux qui les ont élus selon les pouvoirs définis constitutionnellent.
Donc si dialogue doit avoir lieu doit etre sous la tutelle des élus de la nation : parlement, président de la république et gouvernement.
Il doit tourner autour de deux axes majeurs :
-lutte implacable contre les clans mafieux y compris les syndicalistes ( affairistes...syndicalistes....politiques)
- de vraies réformes structurelles economiques et sociales douloureuses mais vitales pour résoudre nos problèmes de fonds et projeter notre pays dans une vraie modernité.
L'ugtt accepte ce plan et que tous ses membres impliqués dans la corruption soient jugés et sanctionnés selon la loi .
En outre ce syndicat doit s'engager à ne plus interférer dans la gestion du pays et de ne jouer qu'un rôle syndical pure et donc de ne plus mettre des bâtons dans les roues contre ceux qui sont mandates par le peuple pour gérer ce pays.
Tout autre dialogue qui ne va pas dans ce sens sera une perte de temps et sera mené sur le dos des tunisiens.
Ce sont les demandes des tunisiens.
https://www.tunisienumerique.com/tunisie-noureddine-bhiri-predit-un-lac-de-sang-en-cas-de-dissolution-du-parlement/
Touchez à tout sauf l'ARP, sinon ça va saigner !
J'aimerai poser une question : Est-ce que c'est en relation avec les 4 + 2 terroristes arrêtés avant-hier à Bni khdech à Mednine, avec cette bonne quantité d'armes et d'explosifs (le comble) du "TNT traité" qui fait beaucoup plus mal que le "TNT compact", ! en provenance de Tripoli. C'est une simple question, d'après les "Oiseaux", les sujets ont crachés le morceau, devine ya Noura.