
Le gouverneur de la Banque Centrale de Tunisie, Fethi Zouhair Nouri, s'est exprimé lors de la réunion présidée par Kristalina Georgieva, directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), et ayant rassemblé les gouverneurs des banques centrales, les ministres des finances et les chefs des institutions financières régionales de la région Moyen-Orient, Afrique du nord, Afghanistan et Pakistan (Menap) et ce, dans le cadre des réunions annuelles du FMI et du groupe de la Banque mondiale (BM) qui se tiennent à Washington D.C du 21 au 26 octobre 2024.
Dans son allocution, le gouverneur de la BCT a appelé à une révision des méthodes adoptées actuellement par le FMI afin de mieux tenir compte de la diversité et de la complexité des défis économiques et sociaux des pays membres et d'adapter les mécanismes d'intervention du Fonds au contexte propre à chacun de ces pays.
Il a souligné, selon un communiqué de l’institution, l’importance d’une auto-évaluation continue du FMI pour regagner la confiance de ses États membres et de tirer les leçons des expériences passées tout en rappelant les impacts négatifs de certaines mesures d’austérité imposées qui ont, dans nombre de cas, aggravé la récession dans certains pays et déclenché des tensions sociales.
Fethi Zouhair Nouri a évoqué les défis et les nouvelles dynamiques auxquels fait face le monde d'aujourd'hui, à l'instar du changement climatique, des mutations technologiques, des tensions géopolitiques et de l'exacerbation des inégalités et a plaidé pour une approche plus flexible et différenciée de la part du FMI. Il a, à cet effet, insisté sur l’importance d’intégrer les dimensions sociale, économique et environnementale dans les programmes du Fonds pour assurer des réformes à même de promouvoir une croissance résiliente, inclusive, équitable, et durable.
Le gouverneur de la BCT a tenu, les 23 et 24 octobre 2024, une série de réunions avec des investisseurs sur les marchés financiers internationaux au cours desquelles il a passé en revue les évolutions récentes de la conjoncture économique et financière en Tunisie, tout en rappelant les avantages comparatifs de la Tunisie et en les invitant à croire en l’avenir du pays.
Il a, dans ce cadre, souligné qu'en dépit des défis auxquels elle fait face, l'économie tunisienne a fait preuve de résilience comme en témoignent la maîtrise des équilibres extérieurs, la stabilité du taux de change du dinar tunisien, le recul de l'inflation ainsi que sa capacité renouvelée à honorer ses engagements intérieurs et extérieurs, et ce grâce aux mesures prises par le gouvernement et à la politique rigoureuse de la BCT en matière de conduite de la politique monétaire.
M.B.Z (d’après communiqué)
Que la BCT va d'abord balayer devant sa porte !
Le FMI n'a pas besoin de la Tunisie !...
(c'est la meilleure du jour)
Mais la Tunisie aurait bien besoin du FMI qui ouvrirait ensuite d'autres portes de financement...
'? nous de nous plier aux revendications, sinon on se la ferme si l'on n'est pas content des conditions d'emprunt !....
Prenez acte !....
La confiance des états membres est donc acquise si le FMI gère bien les fonds dont il dispose.
On n'est pas du tout dans l'affect ou l'émotion...
Sur la forme, on ecrit "Etats" et non pas "états"...Apprenez, enfin ! C'est, pourtant, élémentaire !!! Il y a un seul qui est bon en francais parmi les Gg, le reste du reseau est composé de blaireaux.
Hhhhh...9allou " je suis Francais et ma femme Tunisienne" ..la belle blague... hhhhh
L'ordonnance entre les le patient et maître de soi-même suit les conseils du doc ou jel'ordonnance.
Ce doc est le fmi.
D'autres par notre état soufre d'un déficit :
Dépenses > recettes
Conseil fmi est basique :
- Diminuer les dépenses [le choix revient L'Etat]
- augmenter son revenu/recettes
2 options sans troisième
Le FMI n'en a rien a faire du blabla de la Tunisie; personne n'est forcée d'avoir recourt au FMI. Une économie saine va sur les marchés, pas au FMI. Il n'y aura pas de crédit FMI et puis voila, c'est simple.
Ce discours est probablement destiné à notre consommation intérieure. une sorte de message de la BCT à l'opinion, aux députés et au président on dirais ("si si je fait comme vous me dites c'est pas ma faute je jure!!)
C'est pas moi qui le dit, mais justement ce même FMI qui commence à se faire de sérieux soucis au sujet de son pognon qu'il a de plus en p'us de difficultés à récupérer.
Ainsi, il est difficile de concevoir que ce même FMI puisse prêter oreille aux demandes de reconsidération formulées par Mr. Fethi Zouhair Nouri, en fait, il s'en fout complètement et s'en tape comme de sa première paire de chaussettes.
Alors, à mon humble avis, je ne crois pas que s'obstiner de frapper à sa porte puisse donner des résultats.
En un mot: donne le fric et ferme la.
Il peut aller se brosser, heureusement !
C'est Gg qui peut aller se brosser et pas le président Saied !
Le fmi n est pas une association mais une banque qui doit un retour sur investissement des pays qui sont actionnaires .
D ailleurs la tunisie a prett2 au FMI et avait touch2 des dividendes du FMI .
Le FMI donne ses conditions de pret et de reforme , a chaque pays d accepter ou pas , d ailleurs la Chine fait pareil mais les conditions chinoises sont bien pire puisque elle ne vous oblige pas a reformer mais si vous echouez elle prend un port ou une parti du pays
On vient pas taper à votre porte pour vous prêter de l'argent mais on vous pousse et on crée les conditions de votre venu pour demander de l'argent pour s'endetter chez eux .
Le fmi a fait des erreurs dans le pass2 , cependant du point de vue maccro globallement ils ont juste dans leur systeme d evaluation de la croissance et des pb structurelle du pays .
Avec 750 000 fonctionnaire , un budget de l etat deficitaire structurellement une balance commercial negative ( et des payments aussi ) , un endettement a pres de 100 5% , une instabilit2 politique et fiscale
il faut pas s attendre a faire de la croissance .
La BCT a bien joue son role de maintenir le tx de change mais avec la futur reforme du president la bct ca sera fini de cette stabilit2 aussi
Et non! La Tunisie n'est pas devenue le Liban. Son économie va mieux et ses finances s'améliorent. Les salaires sont toujours payés...et la BCT réussira sa réforme haut la main comme tout le reste.
Les marchands de pronostics foireux n'engagent qu'eux.
- la dette continue de monter
- la croissance est quasi nul voir negatif si on tient compte de l inflation
- l inflation est tjours forte elle continue a faire monter les prix tous les an mais au lieu de monter de 10% par elle monte de 6% et cela n est due que parceque le petrole gaz blé ont chuté
- le chomage empire
-le dinar a encore baissé depuis l annee derniere
-le budget 2024 n est pas équilibré
-le budget 2025 fera exploser encore plus la dette
Je ne comprends pas pourquoi vous réjouissez , a part être une pompom girl sans cerveau de kalsoune je vois rien de positif .
Comme un homme un pays met du tps avant de mourir
A bannir définitivement