L'association tunisienne Aswat Nissa, a déploré le climat populiste-conservateur et autoritaire qui règne en Tunisie et qui engendre un niveau de violence inouï contre les femmes, soulignant que treize féminicides ont été commis depuis le début de l’année.
L’association a dénoncé une politique laxiste et inefficace qui, non seulement peine à lutter contre le phénomène, mais consacre l’impunité et prive les femmes victimes de violences de la protection qu’elles réclament.
Aswat Nissa a souligné que la société civile n’a de cesse d’alerter sur le phénomène et de demander aux autorités d’engager une politique sérieuse et efficace contre la violence faite aux femmes mais que l’État, le ministère de la Femme en l’occurrence, fait la sourde oreille et se contente d’inaugurations « folkloriques, de centres d’accueil dont le rendement est loin d’être suffisant ».
Revenant sur le double féminicide commis à Ezzahrouni et l’augmentation alarmante du nombre de victimes, l’association a estimé qu’il ne s’agit guère d’incidents isolés mais du résultat d’un discours de haine banalisé et que le phénomène est un indicateur de la dégradation des droits des femmes en Tunisie.
Elle a enfin exhorté les autorités à agir très vite en généralisant les centres d'hébergement et en fournissant des services de soins et de protection aux femmes victimes ou menacées de violences. Aswat Nissa a aussi appelé les autorités à prendre des mesures immédiates pour lutter contre ce phénomène croissant, lutter contre les discours de haine et l'incitation à l'égard des femmes et renforcer les lois dissuasives. Elle a aussi souligné la nécessité d’entreprendre un travail de sensibilisation au respect des droits des femmes et de diffuser une culture d'égalité et de non-violence, d'encourager le respect du caractère sacré physique et moral des femmes et de préserver leur dignité.
M.B.Z
Le féminisme a ravagé la famille et la societe a l occident sans donner aucun droit ni aux enfants,ni aux femmes ,sans parler des hommes.
Faites travailler vos cerveaux ,prenez ce qui marche chez eux ,rectifier et ameliorer ce qui ne marche pas ,chose difficile a voir chez les zarabes.
Donnee plus de droits aux femmes et privée l homme de ses droits ne resoudra jamais le problème.
Qu'est il de particulier lorsque la victime est une femme ?
Une victime est toujours une victime qu'elle soit homme femme chat souris c'est toujours une victime
Faire une lois sur mesure c'est discriminatoire
Travailler pour supprimer une lois qui avantage les hommes en tanque coupable est désavantage les femmes entanque victime ça oui
Mais j'en vois aucune en Tunisie...
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Si - en plus - vous voyez un homme frapper une femme, c'est non seulement un lâche, mais aussi une personne dépourvue du sens de l'honneur et faisant preuve d'un manque de respect total.
Un go3õr.
Une personne honorable, se respecte et surtout, respecte autrui.
Frapper une femme, n'est pas du tout honorable , en plus d'être lâche.
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Ce qui est honorable - ya si karim - ce n'est pas d'utiliser la force physique - la force primaire des hommes de la préhistoire, des cavernes - pour frapper.
Ce qui est honorable, c'est d'utiliser la force morale pour faire preuve de retenue, de sagesse, de rationalité et d'objectivité.
'?a, c'est "bien agir".
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Faire du mal, est très facile.
Se retenir et agir calmement, beaucoup plus difficile.
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* Un gars prend un vase, le lâche exprès et ce dernier se casse.
Cela aura pris trois secondes ...
* Le même gars va - par la suite - regretter son geste - ramasser les morceux du vase cassé et essayer de tous les recoller ...
Cela lui prendra des jours et le résultat final ne sera plus jamais le même.
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Frapper une personne, est aussi très facile et rapide ...
Mais .... vous perdriez à jamais, toute estime et tout respect de sa part et ce, en dehors d'agir hors du cadre légal et d'être ensuite poursuivi..
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Agir bien - la sagesse - c'est de savoir agir respectueusement, avec retdnue et honorablement. C'est cela, la vraie bonne force ; la force morale.
La police n'est pas tenue de juger une victime c'est le juge qui doit le faire non sur la base de ce qu'elle ou qu'il raconte mais sur des fait avérés
Pouvoir s'enfuir la lois exigé que la femme reste au domicile et le mari quitte après avoir demander le divorce...
'?ducation des prochaines générations complètement d'accord
Informé la Jeunesse ( filles et garçons) de leurs droits et devoirs envers l'autre ( garçons et filles)
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Ce sont des cas médicaux psychologiques à traiter.