
Le porte-parole des tribunaux de Monastir de Mahdia, Farid Ben Jha, est intervenu ce vendredi 11 octobre sur les ondes d’IFM au sujet d’une grave affaire de tentative d'assassinat impliquant des élèves.
Dans cette affaire, des élèves âgés de quatorze à seize ans qui ont été arrêtés et un autre hospitalisé et placé en réanimation, présentant des fractures au niveau de la poitrine et une perte de dents à la suite d'une agression très violente devant un lycée secondaire à Mahdia…
Cette escalade de violence survient après qu’une jeune élève a sollicité le soutien de cinq autres élèves suite à un différend sur les réseaux sociaux. Ce différend virtuel s’est transformé en une violente agression physique devant l'établissement en question. Cinq des six élèves impliqués font partie de cet établissement.
M. Ben Jha a déclaré que l'élève agressé a subi une intervention chirurgicale et que le ministère public ainsi que le juge d’instruction décideront de la complicité de la jeune fille ainsi que de la qualification de l’agression en tentative d'assassinat.
Farid Ben Jha a rappelé que selon l’article 43 du Code pénal, les accusés peuvent bénéficier d’une réduction de moitié de la peine si le crime en question est passible d'une peine inférieure à cinq ans, tandis que si la peine est supérieure, les jeunes concernés pourront encourir d’une peine supérieure à dix ans ce qui est un désastre selon lui.
Le porte-parole des tribunaux de Monastir de Mahdia, a tiré la sonnette d’alarme en appelant à l’intensification du controle aux alentours des établissements éducatifs ainsi qu’une révision totale de la situation allant jusqu’à bannir certains sites et réseaux sociaux. Il a aussi mis en garde contre la présence des drogues dans les lycées.
H.K
La drogue provient de certains pays Africains se situant géographiquement sur l'océan atlantique ou de hauts cadres sont devenus richissimes car ils écoulent la marchandise venue de pays comme le Mexique, le Pérou, ou le Brésil.
Celle-ci est acheminée en Lybie, au Maroc, ou en Algérie ou elle est consommée localement pour ensuite entrer le territoire Européen.
A cet effet, les frontières Tunisiennes sont devenues une véritable passoire et de véritables réseaux ont été créés en Tunisie, certains gérés par des hommes d'affaires Tunisiens respectables en apparence.
La drogue en Tunisie a pour clientèle les médecins, avocats, hommes d'affaires, et même hommes politiques dont les budgets sont gonflés par les ONG de George Soros.
Elle a aussi comme triste clientèle les Lycéens qui ne cachent pas leur affinité pour la Chnouf du cher et regretté Pablo Escobar, l'homme qui ne consommait jamais de cocaïne, mais qui avait juré de détruire le pays des Gringo c'est-à-dire l'Amérique, son ennemi légendaire en en faisant un pays décadent de pitoyables toxicomanes.
Les Tunisiens qui militent contre la peine de mort sont dépourvus d'intelligence, de bon sens, et de patriotisme.
Depuis mes années au ministère de l'Intérieur, la consigne de Ben Ali était d'être sans pitié pour les trafiquants car comme le disait si bien Habib Bourguiba, « la Tunisie n'a pas les moyens de combattre une épidémie de drogue. »
La peine de mort doit être appliquée pour les trafiquants de drogue car leurs activités sont un véritable complot contre la sécurité de l'état Tunisien.
Ils détruisent un pays déjà détruit par des militants traitres et stupides comme Siheme BS et les autres militants des droits de l'homme comme Abou et Cie qui ont fait de cette ancienne et glorieuse Nation une république de bananes de toxicomanes et d'islamistes a l'haleine fétide.
JOHN WAYNE
Certains sont devenus comme les tortues , qui lâchent leurs progénitures dans la nature et s'en vont tranquillement , sans soucis .
Le milieu familial étant le premier noyau de l'éducation .
J'ose aussi réclamer le rôle des médias , disons plutôt les journalistes impliqués dans les problèmes sociaux ( qui sont rares malheureusement ) , qui ne consacrent aucune intention à ce sujet brûlant : délinquance et violence juvéniles .
Ni dossier présenté , ni enquête et investigation , ni débat ni recherche de solutions .
Les autorités aussi se contentent d'admirer le spectacle et compter les victimes .
Pourtant ce fléau ne cesse de se développer, pourquoi pas une cellule de réflexion et des mesures pour bannir la violence ou au moins l'atténuer ?
Chacun se croit épargné de ce poison , alors que ça touche toute la société , mais la mentalité de Jha est plus dominante : Akhta Rassi Wadhreb .
( '?pargner moi la tête
et frappez ) .