Mohamed Fadhel Abdelkefi, ministre du Développement, de l’Investissement et de la Coopération internationale, a présenté ce soir du mercredi 30 novembre 2016, lors d'une conférence de presse, les principaux résultats de la Conférence internationale sur l’Investissement "Tunisia 2020" en chiffres. Il en ressort ce qui suit :
La manifestation a compté la participation de 4500 personnes, 1500 partenaires économiques, 70 pays participants, 40 délégations officielles et a engrangé un montant total de financements de 34 milliards de dinars.
Les conventions signées lors de la conférence :
France :
- Prêts de 3 milliards de dinars sur 4 ans
- 420 millions dinars supplémentaires sous forme de financement à des conditions préférentielles
- Un don de 25 millions dinars
- Un engagement d’intensifier la conversion de la dette en projets de développement (hôpitaux régionaux)
Arabie Saoudite :
1,8 milliard de dinars à travers le Fonds saoudien / financement à des conditions préférentielles sur 25/30 ans à un taux d’intérêt qui ne dépasse pas les 2% avec un délai de grâce de 5 à 7 ans
Allemagne :
260 millions de dinars
Union européenne
- Don : 500 millions de dinars
- BEI : 6, 8 milliards de dinars sur quatre ans et 600 millions de dinars de financement à des conditions préférentielles sur 6 ans
FADES (Fonds arabe pour le développement économique et social) :
3,3 milliards de dinars de financement à des conditions préférentielles sur 30 ans et 7 ans de grâce
BAD (Banque africaine de développement) :
- Réinstallation du bureau régional de la Banque. La Tunisie sera désormais la capitale de la BAD pour l'Afrique du Nord.
- 309 millions de dinars de financement à des conditions préférentielles
- 1,5 milliard de dinars pour les quatre prochaines années
Qatar:
- Ouverture de la première filiale du Fonds qatari de développement en dehors de Qatar
Les promesses, s'élèvant à 19 milliards de dinars :
Qatar : 2,8 milliards de dinars
Koweit : 1,1 milliard de dinars
Turquie : 250 millions de dinars
La Suisse : 560 millions de dinars
Le Canada : 50 millions de dinars
BAD : 5 milliards de dinars pour les prochaines années
Banque islamique de développement : 4,4 milliards de dinars sur 5 ans
Banque mondiale : 2,2 milliards de dinars
Les promesses restent, toutefois, tributaires des négociations en cours avec le FMI a souligné Abdelkefi.
Les partenariats signés :
- Microsoft/ Ministère des Technologies de la communication et de l'Economie numérique : mise en place d’une plateforme électronique pour la future instance nationale d’investissement
- STAFIM/ Groupe PSA : pour le montage et la commercialisation d’un véhicule pick-up de la marque PEUGEOT.
- Telnet/ Airbus
- Ministère du Tourisme / Groupe qatari " Al Majida " (enseigne La Cigale) : lancement d’un mégaprojet touristique à Gammarth pour un investissement global de 450 millions de dollars.
- Ministère de la Santé/un groupe britannique pour le financement d'hôpitaux.
S. H
Copyright vidéo : Mosaïque Fm
Fadhel Abdelkefi présente les détails chiffrés de la conférence Tunisia 2020
Mohamed Fadhel Abdelkefi, ministre du Développement, de l’Investissement et de la Coopération internationale, a présenté ce soir du mercredi 30 novembre 2016, lors d'une conférence de presse, les principaux résultats de la Conférence internationale sur l’Investissement "Tunisia 2020" en chiffres. Il en ressort ce qui suit :
La manifestation a compté la participation de 4500 personnes, 1500 partenaires économiques, 70 pays participants, 40 délégations officielles et a engrangé un montant total de financements de 34 milliards de dinars.
Les conventions signées lors de la conférence :
France :
- Prêts de 3 milliards de dinars sur 4 ans
- 420 millions dinars supplémentaires sous forme de financement à des conditions préférentielles
- Un don de 25 millions dinars
- Un engagement d’intensifier la conversion de la dette en projets de développement (hôpitaux régionaux)
Arabie Saoudite :
1,8 milliard de dinars à travers le Fonds saoudien / financement à des conditions préférentielles sur 25/30 ans à un taux d’intérêt qui ne dépasse pas les 2% avec un délai de grâce de 5 à 7 ans
Allemagne :
260 millions de dinars
Union européenne
- Don : 500 millions de dinars
- BEI : 6, 8 milliards de dinars sur quatre ans et 600 millions de dinars de financement à des conditions préférentielles sur 6 ans
FADES (Fonds arabe pour le développement économique et social) :
3,3 milliards de dinars de financement à des conditions préférentielles sur 30 ans et 7 ans de grâce
BAD (Banque africaine de développement) :
- Réinstallation du bureau régional de la Banque. La Tunisie sera désormais la capitale de la BAD pour l'Afrique du Nord.
- 309 millions de dinars de financement à des conditions préférentielles
- 1,5 milliard de dinars pour les quatre prochaines années
Qatar:
- Ouverture de la première filiale du Fonds qatari de développement en dehors de Qatar
Les promesses, s'élèvant à 19 milliards de dinars :
Qatar : 2,8 milliards de dinars
Koweit : 1,1 milliard de dinars
Turquie : 250 millions de dinars
La Suisse : 560 millions de dinars
Le Canada : 50 millions de dinars
BAD : 5 milliards de dinars pour les prochaines années
Banque islamique de développement : 4,4 milliards de dinars sur 5 ans
Banque mondiale : 2,2 milliards de dinars
Les promesses restent, toutefois, tributaires des négociations en cours avec le FMI a souligné Abdelkefi.
Les partenariats signés :
- Microsoft/ Ministère des Technologies de la communication et de l'Economie numérique : mise en place d’une plateforme électronique pour la future instance nationale d’investissement
- STAFIM/ Groupe PSA : pour le montage et la commercialisation d’un véhicule pick-up de la marque PEUGEOT.
- Telnet/ Airbus
- Ministère du Tourisme / Groupe qatari " Al Majida " (enseigne La Cigale) : lancement d’un mégaprojet touristique à Gammarth pour un investissement global de 450 millions de dollars.
- Ministère de la Santé/un groupe britannique pour le financement d'hôpitaux.
Bravo pour cette bonne nouvelle...
Restons pragmatique et réaliste : on parle que coopération, d'investissements, de fonds, de partenariat...certes...mais quelles sont les inconvénients les contraintes, les conditions ? quelles sont les contreparties politiques, économiques, stratégiques ... ? ces points de vue ou aspects sont-ils délibérément occultés ?
Le peuple tunisien en cueillera réellement...les fruits ou est-ce réservé aux politiques et hommes d'affaires ?
Si c'est pour le peuple tunisien...à quelle échéance ???
D'abord Bravo et félicitations à toutes celles et à tous ceux qui ont contribué à la réussite de cet évènement majeur.
juste une question : Qu'est ce qui explique l'absence de l'aide algérienne et marocaine ?
1/-D'abord à quand bien montent les investissement directs ?
C'est à dire les projets qui seront financés directement par des partenaires étrangers et qui ne constituent pas de dettes pour l'Etat ?
Concernant ces projets quels sont ceux qui ont une haute valeur ajoutée et technologique qui donnerait un plus qualitatif à notre économie ?
1/Sur l'endettement du pays ;
A priori beaucoup de promesses de prêts .
Cela veut dire que le moment venu il faudra que les Tunisiens les remboursent.
D'où la question suivante ;
Ces emprunts que vont ils financer comme projets ?. Qu'elle est leur rentabilité escomptée.?
.Quand on sait que le système corrompu dirige le pays on a peur que dans quelques années les générations futures se trouveront avec un fardeau à rembourser plus important.
Donc le peuple tunisien doit exiger un suivi draconien de l'utilisation de ces emprunts si ils se réalisent a fin qu'ils servent les intérêts de l'ensemble du peuple tunisien et non en priorité le système corrompu.
Je n'ai aucune confiance dans ce gouvernement qui protège les corrompus.
C'est notre survie et ce sont nos intérêts vitaux qui sont en jeu.
Le peuple tunisien doit s'assurer que tous ces emprunts contractés en son nom doivent servir le développement Economique de de toutes les régions et au bénéfice de tous les tunisiens.
Si nous laissons ceux qui sont aujourd'hui à la tète de l'Etat il y a lieu de déchanter encore plus dans quelques années quand nous aurons à rembourser nos créanciers et que les caisses seront vides.
Donc il faut mettre en place des mécanismes de contrôles de ces flux d'argent dés leur encaissement jusqu'à leur utilisation finale. Un suivi rigoureux par des bénévoles compétents.
En tant que tunisien, c'est avec amertume et contrainte, que j'accepte ces emprunts ( appelés aides le comble) car je sais que je vais encore cravacher plus durement pour les rembourser.
..n' empeche un grand merci a Si Abdelkefi et a Si Chahed et a tous leurs collaborateurs et collaboratrices qui ont fourni tant d' efforts pour que cette mission aboutisse.
Le chemin est encore long, l' effort doit etre soutenu,..mais le demarrage est deja beau et prometteur.
Une bonne COMMUNICATION (SOUTENUE ET MISE A JOUR ) retablira ou rehaussera la confiance du citoyen , elle le motive et peut changer son attitude en postif vis a vis du pays et de son futur.
Pareil pour le pays preteur. Il va penser qu' il traite avec des gens serieux et que son argent n' est pas dilapidé en vain. Il peut meme etre encouragé a investir davantage.
Meme d' autres investisseurs peuvent en etre motivés.
MON AVIS:et au niveau de la COMMUNICATION, je vous serait gré de prendre compte ce qui suit:
Il serait a mon avis judicieux, didactique, persuassif et encourageant de dedier un site gouvernemental specifique et en 3 langues pour expliquer:
Qui a promis quoi ?
Qui a donné quoi ?
Quel secteur en a profité ? Agriculture, hydraulique, infrastrcture , etc..
Quelle region en a profitée ? les regions de l' interieur sont elles bien nanties ou pas ??
Etat d' achevement du projet financé ?
Detailler les embuches, problemes, tracas administratifs rencontrés pour freiner ou pour ralentir un projet?
Mettre en valeur les personnes travailleuses, motivez les en consequence.
Punissez ou eloigner les mauvaises graines et autres karkaras dont notre pays regorge helas. Ces canailles peuvent contaminer les elements sains. Donc une fois depisté, les mauvais elements sont à mettre en quarantaine.
Bannissez la langue de bois et appellez un chat un chat.Utiler les graphique, photos, films.
Constituer en consequence un cahier/registre de "Learned Lessons" pour spoter/ mettre en valeurs les projets qui aboutissent ou pas , les problemes, les facons pour contourner les obstacles.
Adapter l' administration et les loi aux projets et etre interactif.
Ceci constituer des "Cases"pour nos Ecoles de commerces, nos managers et cela va eclairer les generations futures et formera nos futurs managers, planners, banquiers, comptables, gestionnaires, etc.
Ceci peut aussi aider des pays amis qui ont des conditions un peu pareilles aux notres.
Le chemin est encore long , des embuches seront rencontrées, mais retroussons nos manches et back to work ..en fin de compte seul le travail et la perseverance menent au but.
Il viendra le temps ou c' est la Tunisie qui va aider les autres.
Ri ri ri khamsa si khmis . Ais chkoun sas .enrajhouhoulom fil farh.
Une communication faible et débile qui a accompagnée le congrès tunisia 2020. Les ministres ainsi que leur chef ont présenté les résultats du congrès par ce que les pays et institutions ont donné de charité. Le mieux serait de présenter les projets qui serait financés par les donateurs et les institutions financiers et bancaires. De cette maniere on donne de la valeur à ce congrès. Une communication déplorable.
Voilà. Maintenant on est rassuré. Les salaires 2016/2017 seront payés. 34 milliards de dinars, dont près du tiers servis de suite. On peut parler de répit. Mais où sont donc passés les investisseurs privés? Le soutien c'est bien, mais nos enfants traivailleront dur pour payer cette dette les 25 ou 30 prochaines années. Combien de milliards seront alloués au développement? Très peu , car Si l'on considère les dépenses énormes et les déficits abyssaux, il restera peu pour l'investissement.
Tout ça est beau sur le papier, mais la Tunîsie n'en avait pas besoin
Il aurait suffi d'avoir des gouvernants lucides qui auraient imposé des lois pour protéger et maintenir une croissance honorable, on serait dans ke vert. A trop gaspiller on finit par quémander une aide désolante et honteuse.
cette somme n'est jamais suffisant pour compenser les années de prison sous les régimes de ZABA et BOURGUIBA ,il faut plus d'argent pour la distribuer aux prisonniers islamistes nakbaouis. il faut bien voire qu'ils ont vidé les banques de la Tunisie et ils demandent encore .