
Alors qu’il effectuait, samedi 10 juin 2023, une visite inopinée à la ville de Sfax, le président de la République, Kaïs Saïed, est allé à la rencontre d’immigrés subsahariens, aux abords de Beb Jebli.
Prenant la pose, bébés dans les bras, le chef de l’État a failli faire oublier son discours polémique de février dernier. Il avait alors affirmé que « l’afflux d’un grand nombre de migrants irréguliers subsahariens en Tunisie est un plan criminel préparé depuis le début de ce siècle pour métamorphoser la composition démographique de la Tunisie ».
Kaïs Saïed s’est entretenu avec plusieurs migrants qui l’acclamaient et lui demandaient de l’aide. Il s’est aussi rendu à un campement de fortune où vivent des dizaines de subsahariens.
La visite du chef de l’État à Sfax, principale ville de partance pour les migrants irréguliers, n’est clairement pas fortuite. Demain, il recevra la présidente de la commission européenne, Ursula von der Leyen qui viendra en compagnie de Giorgia Meloni, présidente du conseil italien et Mark Rutte, Premier ministre néerlandais. Le sujet de la migration sera au cœur de cet entretien.
M.B.Z

Quel pays occidentale peut-il accepter ce type de situation sur son sol.
La Tunisie ne peut pas être le barrage filtrant de toute l'Europe , elle n'a pas les moyens ni matériels ni économiques pour ce type de situation.
La visite des hauts dirigeants de l'Europe c'est l'arbre qui cache la forêt.
Il ne faudrait pas oublier toutes les critiques que la Tunisie a subit de l'ensemble des médias de droites comme de gauches lors des événements en début d'année avec les subsaheriens et comment nous avons été taxés de tous les noms.
Aujourd'hui ces mêmes personnes nous roule le tapis rouge pour leurs servirent de boucliers, moyennant une poignée de dollars ou d'euros afin que ces gens là puissent être tranquille.
Les temps aujourd'hui sont durs pour tout le monde, il faudrait revoir les racines du mal d'où ils émergent, afin d'éradiquer ou freiner ce flux sans fin.
L'Afrique comme d'autres pays sud Américain ou la pauvreté entraîne ces populations à un mouvement d'immigration sauvage vers d'autres cieux aux périls de la mort.
Que faire alors.....
1. Il visite un gouvernaurat sans nommer un gouverneur.
2. Elle communique avec des immigrés clandestins alors qu'ils sont à expulser.
Que toute troisième république se venge pleinement de ce type, même s'il s'avère irresponsable pour ses actes.
Les européens ont raison car ces migrants quittent le territoire tunisien vers l'Europe ,la Tunisie est responsable
cette vdo en allemand. les images parlent d'elles mème.
elle commence par: "les asylansts TN en suisse, volent, agressent, cassent les voitures, boievent dans rue ( interdit et la suisse n'est pas islamiste ...)
Youtube Tunesische Asylanten in der Schweiz
Le Président KS ne peut pas agir tout seul, il faut que le gouvernement fasse des efforts dans le contrôle et le suivi des dossiers, la justice doit être réactive pour activer ses recherches et liquider leurs dossiers en instance, les autres département ministériels doivent évaluer leur travaux de suivi de leurs projets et surtout résoudre le problème de la corruption, du vol, de l'emploi, de l'investissement et tout autre anomalie, l'application de la loi est un impératif pour bien nettoyer l'environnement des affaires.
Mais Dieu sait si je pense pour l avoir rencontre que cet homme a du coeur et de la compassion envers les malmenes de l existence
Si Mr Saed savait ecouter et etait mieux entoure peut etre ferait il un excellent president
Il ne faut pas se laisser emporter par l'image que les politiques veulent véhiculer. Il faut garder la distance et l'esprit critique pour ne pas se faire avoir. Avant lui, certains, avec un chapelet, un voile, quelques génuflexions et un discours ils sont passés pour des Hommes pieux aux yeux des tunisiens.
Avoir du c'?ur c'est de mettre en place des actions concrètes.

