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Habib Essid officiellement nommé à Carthage
06/08/2018 | 12:23
1 min
Habib Essid officiellement nommé à Carthage
 
L’ancien chef du gouvernement, Habib Essid, a été officiellement nommé conseiller à la présidence de la République.
 
Habib Essid sera chargé des affaires politiques au sein de la présidence. Il a été reçu par le président de la République, Béji Caïd Essebsi, le 6 août 2018, pour officialiser cette nomination. On ignore pour l'instant si Habib Essid remplace Noureddine Ben Ticha à ce poste.
 
M.A

06/08/2018 | 12:23
1 min
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Commentaires (18)

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Moustache
| 06-08-2018 23:57
Le titre de conseiller à la présidence de la république équivaut à celui de ministre, il y a des avantages qui dépendent d'une institution à une autre et je pense que financièrement parlant, il est gagnant.

Le poste de chef du gouvernement est trop compliqué, il use la santé et demande a sacrifier les moment en famille. Comprend qu'en tant que chef du gouvernement, il doit présider tous les conseils de ministre (CIM, CMR, CAREP, etc..) ainsi que les commissions qu'il préside. Il doit également avoir un oeil sur tous les ministères et être sur le terrain pour donner l'exemple.

Aujourd'hui à salaire équivalent, il est conseiller, on lui apporte des dossiers qu'il étudie et auquel il répond (et conseille le président de la république) tout ceci en y apposant son expérience incommensurable.

La question qui se pose, c'est que son retour montre que le président de la république reconnait la compétence de habib essid, et pourtant tous les politiciens ont fait comme si essid était la source de tout nos problème, or l'histoire l'a montré, c'est tous les politiciens la source de tous nos maux. De plus la tache qui lui a été confié, montre que bce a pris conscience qu'il y a des problèmes dans la pays et il semblerait qu'il va agir, mais pourquoi maintenant? pourquoi attendre si longtemps?

Akoubi Ammar
| 06-08-2018 23:52
Voici des nominations vraiment inutiles et très coûteuses pour les contribuables tunisiens. Les deux têtes de l exécutif se permettent de recourir à des cadres à la retraite pour des missions et des tâches entrant dans le cadre de l étendue de leurs sphères d influence surtout à la veille des échéances électorales de 2019. Habib Essid a été congédié par son recruteur d une façon humiliante mais le voilà revenir pour une mission bien déterminée à l instar de sieur Kamel Hadj Sassi engagé pour soit disant conseiller le chef de gouvernement. Nous bons citoyens tunisiens payeurs d impôts à la source avons le droit de connaître le coût salarial de l armée de conseillers et des divers avantages qui leur sont consentis. Aussi peut on savoir leur nombre exact dans tous les ministères et les structures publiques et leurs fiches de fonctions ou de postes ainsi que leur placement dans les organigrammes. Sachant qu une bonne partie de ces conseillers ont dépassé de loin l âge de la retraite et que leur présence entrave le travail et l activité de hauts cadres et parfois la bonne marche des services des départements. Cessons de se moquer de l intelligence des tunisiens. Vraiment bravo aux personnalités comme si Mohamed Ghannouchi. Son comportement est digne en laissant la place selon les choix qui ont été imposés par le peuple en janvier 2011.

takilas
| 06-08-2018 20:52
Nahdha a tout massacré pendant huit ans.
Est-ce qu'ils peuvent retourner les centaines de milliers de sudistes parvenus , par la connivence de nahdha, à Tunis ? Et ce pour leur servir pour les élections (quelles qu'elles soient) déjà corrompues par d'autres plusieurs manigances. ?
La Tunisie a été massacrée par nahdha, et personne ne veut le reconnaître publiquement, et personne ne peut pallier à ce massacre, ni y remédier aux catastrophes causées à la Tunisie.
Réfléchissez bien ! Il n'y a aucune solution, le 23/10/2011 a été fatal pour la Tunisie déjà au fond du puits.

OPS- Contrôle
| 06-08-2018 19:46
Malgré la TMARMIDA ? En attendant la fatwa de Sido R-Ghannouchi

EL OUAFFY avec Y à la fin
| 06-08-2018 18:12
@ lario | 06-08-2018 14:44 :
Faut réconcilier avec Ben Ali et le groupe des Déstourien ceux qui ont l'audace de réparer ce qui a été ruiné saccager depuis les troubles de 2011 et ce n'est pas facile de mettre la situation à jour dans un entourage plein de désobéissance ou l'Etat a perdu sa crédibilité tout le monde devenu président ou la présidence n'a plus de rôle à jouer .

Zohra
| 06-08-2018 15:08
Bizarre, pourquoi Monsieur Essid qui avait accepte-t-il ce poste or qu'il avait tenu un poste beaucoup plus important. ? Quelles les raisons ?
Est-ce le prochain candidat à la présidentielle ?
Allah waalam

lario
| 06-08-2018 14:44
Voilà c'est simple , c'est clair et net, l'armada des conseillers , des experts à la présidence ou au gouvernement n'ont pu trouver les ficelles pour faire sortir notre chére TUNISIE des échecs qui se suivent dans tous les secteurs et dans tous les domaines, ni ESSID, ni MERKEL, ni" MYGEIVER" ne peuvent rien faire. C'est une question psychologique, la majorité du peuple TUNISIEN vit dans la méfiance, dans l'inertie, dans le" m'en foutisme", la corruption gagne du terrain,le banditisme impose ses lois, les investisseurs nationaux et étrangers se désistent, notre jeunesse est frappée par l'oisiveté,le chomage gagne du terrain de plus en plus, que constatons encore? je crois et c'est un point de vue personnel, l'espoir, le soulagement, la consolation ne peuvent voir le jour qu'aprés que les candidats des partis et les indépendants de l'opposition, auront des qualités cautionnées et convenues par la grande majorité des électeurs et des électricesqui qui sont à savoir :- l'intégrité - la transparence - et la compétence; Cette EXIGENCE en était la preuve lors des élections municipales où Mr fadhel moussa a été élu par le meilleur score de la TUNISIE, espérons qu'il aura une réussite bien méritée dans sa mission et qu'on lui évite de mettre les batons dans les roues et lui poser des embuches à son chemin

Abir
| 06-08-2018 14:33
C'est une belle leçon à celui qui lui a dit:si vous ne partez pas on dégoûte votre vie,il se reconnait et aussi à Ennahda qui a tout fait pour le mettre dehors,pour quelle sache que rien ne garanti en politique,vive 2019!

Jalloul
| 06-08-2018 14:02
Comment peut-il accepter d'être un simple conseiller après avoir été Président du gouvernement? Et où le bât blesse, Caïd Essebsi avait tout fait pour le virer. Il faut parfois avoir un peu d'amour propre.

Ali Baba au Rhum
| 06-08-2018 13:53
Voilà un type qu'on décidé de virer de la manière la plus injuste et la plus humiliante qui soit; et maintenant on le rappelle pour lui confier un poste de conseiller à la présidence;