Le système des échelons gagnés aux frais de la souffrance des autres, est de retour en Tunisie. Celui qui insulte l'Islam, les Musulmans, toutes les pratiques de la religion musulmane incluses, ne s'appelle pas «Takfiriste», ni qu'il soit appelé à rendre compte de ses crimes devant la loi tunisienne, dont l'article premier de sa Constitution confirme à cent pour cent, la religion musulmane comme étant la religion de l'état tunisien. Mais néanmoins, les autres qui répondent aux « islamophobes » par un langage adéquat à leur haine, à leur rancune et à leurs insultes d'islamophobes, sont reconnus « Takfiristes » par des policiers assoiffés et affamés d'échelons et de grades supérieurs à coller sur les épaules de leurs uniformes, même aux frais de la liberté d'innocents qui pensent jouir d'une liberté d'expression tant rêvée dans le monde arabe et tant acquise dans cette deuxième République tunisienne.
La dictature nous rampe de retour comme un serpent à sonnette. Bonjour l'ARP de la RCD.