A l’issue de la visite du président de la République, Béji Caïd Essebsi, au Koweït et au Bahreïn, le ministre des Affaires étrangères, Khemaïs Jhinaoui a fait une déclaration à l’agence TAP, aujourd’hui jeudi 28 janvier 2016, dans laquelle il affirmé que les deux visites ont permis à la Tunisie de retrouver des relations solides avec les pays arabes, en général, et plus particulièrement, avec ceux du Golfe, notamment suite à la visite au Royaume d’Arabie saoudite.
M. Jhinaoui ajoute que les deux visites ont abouti à des résultats hautement positifs, notamment au niveau de la coopération technique et des investissements en provenance du Golfe, avec, entre autres, d’importantes opportunités avec l’Etat du Koweït pour le recrutement de hauts cadres tunisiens dans les secteurs de l’enseignement primaire et secondaire et dans les domaines médical et paramédical.
Le ministre tunisien des Affaires étrangères a cité, comme exemple phare de ladite reprise, la réactivation du mégaprojet du port financier bahreïni à Tunis, dans le sens où il va permettre la création de milliers de postes d’emploi.
S.H
Commentaires (13)
CommenterL'argent du Golfe
@vt6
Nous n en voulons pas,
Sadates a favorise les freres musulmans pour contrer la gauche progressiste,il a ouvert aussi les prisons.....etc a voir absolument le reportage sur l Egypte de ARTE 7.dont la 4 eme partie passe cet apres midi a 16h20,pour mieux comprendre ce qui se passe chez en Tunisie avec ses accords et le Parti Ennahdha/Ghannouchi/essebsi.L histoire se repete.Excellent reportage.publiez SVP
Oublion ces "3Orbans"-2
1- Orientons-nous vers les pays nordiques pour plus de coopération scientifique, économique et sociale et vers les pays africains pour créer des débouchés à notre surplus de production ;
2- Obliger les investisseurs tunisiens à mettre plus de leurs argents dans des projets à grande valeur ajouté économique et humaine (EVA & HVA) grâce à des incitations économiques et non fiscales ;
3- Créer un holding national pour l'investissement dont les fonds seront puisés de la petite épargne éparpillée sur les banques de la place et dans le capital de plusieurs entreprises privées en périclite et des revenus du domaine (pétrole, gaz, phosphate, minéraux, sel, soleil') et destiné exclusivement au financement des projets de la grande infrastructure (autoroutes, TGV nord-sud, port en eau profonde, zones de libre-échange frontalières, centrales électriques éoliennes et solaires, développement et mise en valeur agricole'). Le bord de gestion et celui de direction devra permettre la participation des élus des syndicats des petits épargnants. Le holding sera organisé selon la nature de l'investissement et devait avoir des antennes régionales. De la sorte, tous les tunisiens seront des investisseurs, tous seront des hommes et femmes d'affaires qui s'intéressent à l'activité de ce holding et au retour sur investissement qu'il va générer, car chacun aura sa part honnêtement.
4- Regrouper les banques publiques au sein d'un Holding financier ce qui leur permettrait une plus grande assise financière capable de les booster sur la scène continentale africaine et tirer profit du potentiel dont regorge encore ce continent.
5- Ne plus emprunter pour couvrir les frais de gestion et ne plus faire de recrutements dans le secteur public.
6- Supprimer toutes les subventions et libéraliser les pris tout en mettant les mécanismes capables d'assurer le fonctionnement idéal des marchés et en veillant à accorder des aides sociales à ceux qui les mérites.
7- Les emprunts extérieurs, s'il y a nécessité, doivent être alloués aux dépenses d'investissement dans des secteurs autres que ceux pris en charge par le Holding National (infrastructure numérique, transport aérien, transport maritime, logistique technologique')
Il y a surement d'autres propositions, d'autres idées.
Canalisant les idées de tout un chacun, soyons généreux envers notre patrie et rigoureux avec ceux qui la pilote et avec nous-même et oubliant l'aide de ces « 3Orbans ».
Oublion ces "3Orbans"-1
1- L'Arabie des Saoud connait depuis trois ans des déficits budgétaires monstres, celui de cette année serait de l'ordre de 87 milliards de dollars, soit 19% du PIB (l'activité pétrolière représente 20% du PIB alors que les recettes de l'exportation des hydrocarbures accaparent 90% du total des exportations). Une baisse de 14% des recettes est prévue pour 2016 et les dépenses publiques connaitront à leur tour une baisse dans les mêmes proportions. Une économie qui dépend à plus de 90% de l'or noir et qui mène une politique commerciale de dumping des marché en cette matière dans le cadre d'un cartel n'est que suicidaire pour elle et destructeur pour les membres du cartel.
2- Le Bahreïn des Al Khalifa n'est pas mieux loti bien que sa dépendance par rapport au pétrole est moindre (l'activité pétrolière représente 30% du PIB, alors que les exportations en hydrocarbures représentent 60 % des exportations du pays). Ce pays connait depuis 2009 des déficits budgétaires croissants. La faiblesse du cours des hydrocarbures a entraîné le doublement du déficit public en 2015. En 2016, ce déficit devrait rester au-dessus de la barre des 10 % du PIB.
3- Les EAU des sept petits cheikhs, dirigés par Al Nahyane, en prévision à un déficit budgétaire, suppriment les subventions accordées à leurs ressortissants sur les carburants et l'électricité (montant annuel estimé à 29 milliard de $). Malgré une économie assez diversifiée, les EAU restent toujours tributaires des cours de l'or noir (l'industrie du pétrole et du gaz naturel représente 25% du PIB et 35% des exportations en 2013).
4- La dernière venue au club des « déficitaires budgétaires » est le Qatar des Al Thani. En effet, Jusqu'en 2014 le Qatar possédait la croissance économique la plus élevée de la région du Golfe grâce aux renchérissements des cours du pétrole et à la mise en place de son programme gazier. La dépendance du pays par rapport au pétrole est importante (plus de 66% de ses revenus en 2014). Seulement le krach des cours du baril qui passe de 127 $ fin 2014 à 30 $ en janvier 2016, a mis le budget 2015 en déficit, le budget 2016 étant prévu en déficit de 12,77 milliards $ (4,9% du PIB).
Le déficit budgétaire n'est pas un indicateur de mauvaise santé de l'économie en général, mais c'est la gestion du déficit et la gestion par le déficit qui en constitue un excellent indicateur.
Pour des économies de rente, ces pays, notamment l'AS vont connaître des jours sombres s'ils continuent sur la même ligne. Vous ne croyez tout-de-même pas qu'ils vont nous aider à sortir du marasme économique alors qu'ils viennent d'y mettre pied !
Bahreïne la chiite dominée par les sunnites
Un jou où l'autre ça va exploser.
des investissements de consommation qui accentue la dependance et la misere des miserables
ce sont les diplomes qui ont besoin de travailler chez eux en tunisie
les macons devrait etre reconvertis a l'agriculture nos terres les attends
les investissements du golfs devrait aussi etre orientes vers la recherche et le developpement de notre agriculture
on a l'impression que les investissement ne sont qu'en batiment et hotellerie
batiment de luxe qui ne va va pas avec le profil de la tunisie, pays en voix de sous developpement et degringolant vers l'appauvrissement
et tourisme de luxe tournes vers vers des touriste riches
Les investisement dvrait servir le developpement du pays devrait encourager la productivite
et non des investissement qui coule le pays encore plus par un luxe reserve a une elite et excluant encore plus le peuple dans sa misere
Seulement par "fraternité en croyance", non?
Ne prenez pas les TunisienNes pour de con/nes aucun état investie seulement par "fraternité en croyance".
C#est seulement naif et ridicule!
Recrutements de hauts cadres?
C'est le recrutement de diplômés demandeurs d'emplois qu'il faudrait. La Tunisie pourrait en placer plusieurs après un complément de formation et de préparation.