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Mesures visant les chauffeurs de taxi : Plusieurs dépassements enregistrés
30/12/2015 | 10:37
1 min
Mesures visant les chauffeurs de taxi : Plusieurs dépassements enregistrés

Suite à l’enregistrement de plaintes de la part des usagers des taxis dans les zones des aéroports, accusant les chauffeurs de taxi de ne pas respecter les tarifs en vigueur, le ministère du Transport annonce avoir renforcé les équipes de contrôle relevant de la direction du transport terrestre. L’objectif est de faire face, en collaboration avec les services du ministère de l’Intérieur, à ces abus.

 

Le ministère du Transport a en effet mis à la disposition des usagers un numéro vert, en l’occurrence le 1876, afin de dénoncer les dépassements des chauffeurs de taxi. Cette mesure a été positivement reçue par les usagers.

 

Ainsi, les services du département ont recensé 35 infractions commises par les chauffeurs de taxi individuel, non seulement au niveau de l’aéroport, mais également sur le Grand Tunis. Ces dépassements consistent, principalement, en le refus d’accepter des clients à bord ou d’utiliser le compteur. Par ailleurs, les équipes d’inspection relevant du ministère se sont déployées à l’aéroport Tunis-Carthage, en vue de relever tout dépassement sur place.

 

On apprend également que des usagers se sont plaints de la hausse des tarifs des taxis collectifs. Le ministère affirme qu’il n’a y eu aucune augmentation des tarifs et que celle-ci ne peut être effective que via un décret ministériel.

 

I.L.

 

 

30/12/2015 | 10:37
1 min
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Commentaires (24)

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Famour Corona
| 02-01-2016 23:35
Nul ne contredira le fait que les taxis chez nous sous toutes les formes sont sources d'abus, d'anarchie et de désordre. Ils contribuent à l'image de déclin qu'offre notre pays aux étrangers à commencer par la station de l'aéroport jusqu'aux hôtels et autres zones touristiques où ils sévissent tous azimuts et dans l'impunité la plus totale! Il est plus que temps de les rappeler à l'ordre et les remettre sur les rails et nous pourrons que nous en réjouir.

CHDOULA
| 31-12-2015 11:36
les gens exagèrent , les taxistes ne sont pas tous malhonnêtes , hier j'ai pris un taxi et de l'aéroport à Tunis centre ,ça m'a couté 62 dinars , je lui ai donné 70 dinars en lui disant de garder la monnaie , il méritait vraiment son pourboire !!!!!!

TDK123
| 31-12-2015 10:54
Et qui contrôlera les policiers corrompus joueurs clés dans ce manéger de voleurs bandits des grands et petits chemins.

Argana
| 31-12-2015 09:01
LA PUB /BIAT DEVIENT GENANT




B.N : Il existe un bouton de fermeture dans le coin droit en haut.

argana
| 31-12-2015 08:59
Nos Amis Marocains ont un train rapide qui fait la navette aéroport/ casa , chaque 30 mn

* à Tunis il y avait il un bus 35 qui fesait la na navette entre aeroport et la TGM OU EST IL Passé

amarfati
| 31-12-2015 02:43
personellement j'ai arrêté de prendre les vols Nouvel Air Paris Tunis départ de ROISSY 0 22H ARRIV2E tUNIS 0 24H 0 CAUSE DU RAQUET DES CHAUHFFEURS DE TAXIS
50dinars la course de l'aéroport à la gare du train place de Barcelone Tunis(prix du billet Paris tunis)

panzerfaust
| 30-12-2015 22:47
Les magouilles perpétrées par un trop grand nombre de taxis de l'aéroport durent depuis longtemps et les mesures prises par les autorités ne changeront pas grand chose.
Il faut taper fort et vite. Arrêter ce cancer qu'est le vol de certains taxis en détruisant les véhicules des taxis, prison ferme, amendes lourdes.

kr
| 30-12-2015 22:41
il faut s'attaquer et mettre en place au plus vite un plan de redressement des infractions commises par les professionnels et mettre fin à toute dérive financière et fiscale. Ne pas oublier surtout les barons dont la poursuite non seulement servira de leçons aux petits mais rapportera gros aux caisses de l'Etat . On tendra ainsi à un peu plus de justice....

takilas
| 30-12-2015 21:02
D'accord, c'est une initiative intéressante, quoique indispensable, et qui existe depuis longtemps, presque dans tous les pays développés ou émergeants, de plus, et dans le cadre de la transparence, il y a lieu de l'utilisation du GPS (satellite), afin d'enregistrer, auprès des services informatisés de contrôle, l'itinéraire proposé par le client, avant de démarrer, et ce pour obligatoirement suivre (faute contraventionnelle) les voies les plus propices, sans détour supplémentaires ; toutefois c'est une initiative manquante encore dans quelques pays évolués comme les Emirats A.U. dont les asiatiques qui assurent ce secteur, n'est pas encore validée pour empêcher les arnaques aux touristes, quoique les réclamations au téléphone vert engendre des contraventions draconiennes , dont celles pécuniaires, et allant jusqu'au retrait définitif du permis. Le client est vraiment couvert à cent pour cent avec ce numéro vert, et aucune excuse n'est acceptée par le chauffeur.
Il faut dire, que c'est généralement une activité complémentaire au transport en commun, dont essentiellement le bus qui est dans tous les pays du monde la base du transport des citoyens, d'autant plus qu'il est plus commode car il comprend des arrêts dans presque toutes les rues et les avenues, et le plus intéressant et avantageux c'est le respect de la ponctualité des arrivées devant l'arrêt du us, et tous les horaires sont affichés avec des montres numériques synchronisés et contrôlés à distant, sans oublier que tout figure avec précision sur internet ; en Tunisie on s'accroche sue la porte ou le pare choc du bus, ou bien d'attendre une éternité pour qu'il arrive, et généralement il n'arrivera jamais, désolante les scènes de personnes âgées qui s'asseyent sur des pierres posées au niveau de la supposée arrêt pendant des heures avec une patience d' « Ayoub » ; d'ailleurs il y a une maxime Tunisie de quelqu'un qui attend indéfiniment qui dit :
« j'attends on dirait que j'attends le bus ; hani nestanna tkolch aalia nestanna fil car ».
En Tunisie, ce secteur ne s'est pas constitué pour comprendre un parc-autos de 50 000 véhicules de taxis, voire plus, rien que dans la capitale Tunis. Au début lors des années soixante, il n'avait grosso modo qu'une centaine d'anciennes Renault récupéré par de quelques retraités bien portant de la part de particuliers ou de partants pour l'Europe, même si la population était beaucoup plus réduite et ne dépassait nullement les cinq cents milles habitants, et qui s'est multipliée maintenant au moins par dix pour ne pas dire beaucoup plus, dons qui ne nécessitait pas autant de taxis, surtout qu'il y avait les bus et les tramways (depuis 1903). Puis les taxis-« bibi »(rouge et blanc) devenues vieillottes, que les automobiles (de tourisme) furent autorisés à installer un compteur mais en contrepartie de se conformer à des exigences strictes ; sauf que ils avaient quelques contraintes nécessaires à leurs véhicule, c'est alors que le gouvernement pris une des initiatives historiques relatives soit à l'économie nationales, l'agriculture, l'industrie, l'enseignement, la santé etc. ; soit l'époque des années 70 qui a vu La Tunisie à un développement qui allait atteindre celui des meilleurs pays européens (ceci pour contredire certaines mauvaises langues qui ne savent rien de La Tunisie et renie l'histoire surtout quelques alléchés de politique, qui déforment l'histoire pour se mettre en valeur, ou par populisme devenu coutumier depuis 1987 avec R.C.D. et par la suite Troïka qui ont depuis lors tout dégradé et que les chantiers à la disposition de l'actuel gouvernement (2015) des séquelles causé , sont vraiment embrassant et tout le peuple s'en rend compte, pourtant rien qu'en dix mois que de corrections furent apportées !

takilas
| 30-12-2015 21:00
Cependant, vers 1978, et n tenant compte des normes internationales relatives à la couleur jaune du taxi, le gouvernement a pris une initiative intéressante, celle d'accorder carrément des crédits pour l'achat d'un véhicule neufs tout en respectant des horaires de travail et des zones prédéfinies et règlements internationaux. Jusque là le chauffeur de taxi pouvait honorablement faisant partie, certainement, de la classe moyenne ; par ailleurs le quote-part des autorisations et des permis de conduire était respecté. Cependant le parc des bus était bien garni, et toutes cités étaient desservis (même les endroits éloignés) et les horaires respectés, les fréquences de passage variaient de dix à vingt minutes au plus tellement le parc contenait un nombre important de bus.
Et puis, vers 1990 vint le temps du populisme qui servait à camoufler les arnaques et les connivences, avec la corruption d'octroi des autorisations, et les règlements disparurent pour donner place à des achats immenses à partir de tous les concessionnaires européens, qui s'imposaient de leur part en raison de leurs crises financières.
C'est ainsi que qu'avec la suprématie des syndicats (de tous les domaines), que le syndicat des taxis devint imposant avec l'appui de centaines de ménages concernés (donc actuellement approchant les quatre cents milles habitants ; apprentis inclus) et logeant à Tunis, et surtout qu'aucune loi ne limitait le nombre d'achats de taxis pour une seule personne ; des parcs peuvent exister en la disposition d'un chauffeur roulant 24/24.
Il y en a qui ont délaissé leur métier ou leurs diplômes, pour se consacrer à ce job lucratif et fructueux, dont les bénéficiaires (avoué clairement) peuvent s'acheter deux ou trois appartements Tunis, pour les mettre en location ; enseignement dites-vous Alor que leurs progéniture prennent la relave dès l'âge de vingt ans. Respect des citoyens dites-vous ?
Par ailleurs, ce syndicat en question devint le plus rusé des syndicats sur terre, en alignant le prix public à sa guise, employant toutes les excuses et les astuces possibles et inimaginables, comme de s'empresser d'augmenter le tarif dès l'annonciation de l'augmentation du pris des carburants qui sont subventionnés de surcroit par l'Etat donc par peuple que le taxi humilie et déconsidère celui qu'il a dévalisé pour s'enrichir et dépasser de (2)loin la classe moyenne. Aucun ne peut résoudre cette énigme catastrophique et origine de la plupart des maux socioéconomiques de La Tunisie.