Sans parler des visites, de ces gâtés, aux cafés royaux et à ingurgiter des narguilés de nababs, et que d'autres frais superflus (de caddys débordantes d'achats variés de l'électroménagers sophistiqués au High tec dernier cri), alors que d'autres n'ont même pas le souper.
Et ce hormis les catégories des magouilleurs et des combinards réparties sur tout le territoire ; c'est d'ailleurs à cause de ceux-là que les grévistes, sont entre autre vexés, et se permettent à des comparaisons ridicules ; puisqu'ils voient leurs voisins ainsi, qu'ils doivent, pour les ressembler, avoir recours aux caisses de l'Etat, ou plus précisément l'argent du peuple.
Bien sûr que les millions de personnes résidents à Tunis (ainsi que les quelques autres grandes villes) sont la cause de ce fléau, et de cette exigence à l'Etat, comme s'il s'agit d'un droit acquis, ou d'un héritage.
Mais qui se croient-ils ? Des fils à papa, (tiens ! c'est ceux-là qui sont les vrais fils à papas dont quelques uns ouvrent leurs gueules pour y parler), ou des gâtés, ou des supérieurs aux autres.
Et le plus étrange, c'est qu'Ils veulent tout cela sans travailler, sans être aucunement productif, ou bien de se promener et d'aller aux cafés au moment du travail, puisqu'ils sont confirmés dans leurs postes, car quoiqu'il en soit, les interventions garantis par le parti politique (ayant démontré des capacités en magouille ***) est celui qui peut répondre à leurs prétentions, comme des autorisations prohibées des consonances de privilèges, ou à la rigueur des possibilités de mutations arrangées vers la capitale. Ce parti sera le plus possiblement choisi.
Donc, des grèves préméditées pour le sabotage.
Par ailleurs Nahdha doit pavoiser pour un nouvel espoir concluant, et non comme lors de ses précédents faux espoir. Un parti qui n'a aucun esprit de renaissance ; et on l'a vécu pendant quatre ans, mais n'a pour seul objectif que de d'inciter les gens à ce genre de comportement indécent et incivique.
Tout parce que ce parti fantoche a perdu les élections. Or, et le plus mystérieux, c'est que tout le monde c'est rendu compte de leur incompétence et ses cibles malicieux et malhonnêtes. Il s'en balance éperdument des développements nécessaires au pays ; puisqu'ils ont leurs biens et leurs entreprises entre Qatar, Paris et Londres ; louken takhla andhom zaied nakess.L'objectif est de s'enrichir de mener la belle vie dans les villas de luxe achetés avec l'argent du peuple à Carthage, à Sidi Bou Saïd, à Ennasr et à El Manar ; la majorité n'ont connu les grandes villes que dans la photo ; et qui n'ont aucune référence culturelle, à part les magouilles et les octrois de terres dmaniales (comme offertes par R.C.D.) et par Troïka usant de compassion, or s'agissant de terres appartenant à l'Etat.
Les taxis quant à eux (les richards de deux dernières décennies), et électeurs potentiels ayant de leur part des expropriations de l'Etat, dont l'essence et les véhicules, renouvelables aisément, se permettent de s'acheter deux ou trois véhicules (sans compter les appartements qu'ils louent dans la capitale bien sûr), et après avoir mis fin à la scolarité de leurs enfants ;et comment comment donc puisqu'il s'agit d'un créneau lucratif et fructueux.
Les jeunes ayant migrés surtout vers la capitale, ô combien nombreux, ne plus en conséquence travailler, que lorsqu'il s'agit d'un job qui comprend une caisse, à savoir des commerces (incontrôlés) et surtout juteux, qui soutirent et arnaquent le plus de citoyens et citoyennes possibles ; et ils prétendent à ce moment qu'ils travaillent. Ont-ils raison car ils se fatiguent trop par entrer et sortir les liasses d'argent de leurs poches ? Comment voulez-vous qu'un autre jour, ces jeunes puissent travailler dans des métiers intéressants qui demandent des compétences et devenir productifs pour leur pays.
Celui de l'UGTT paru sur Nessma T.V. (le 19/11/2015) qui ne pense qu'à sa popularité, a fallu de peu qu'il se prétend être feu Farhat Hached, alors que le sujet n'a rien à voir avec l'intérêt des travailleurs, censés être travailleurs pour sortir le pays des misères, s'agissant d'un pays plein de maniaques et de m'as-tu-vu à la télé, et il vaut mieux ne pas regarder (lors de cette émission) ses grimaces vulgaires ***.