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BCE appelle la Suède à inciter aux investissements étrangers en Tunisie
04/11/2015 | 19:00
1 min
BCE appelle la Suède à inciter aux investissements étrangers en Tunisie

Le président de la République, Béji Caïd Essebsi, a prononcé un discours, cet après-midi du mercredi 4 novembre 2015, devant le parlement suédois, et ce en marge de sa visite d’Etat au Royaume de Suède du 4 au 6 novembre courant.

 

Dans son discours, le président de la République s’est penché sur le processus transitionnel ainsi que les étapes importantes franchies par la Tunisie afin qu’elle réalise sa stabilité politique et les défis qu’il faudra relever pour achever la stabilité économique et sociale. Il a, également, mis l’accent sur la voie consensuelle adoptée par la Tunisie et qui lui a valu le prix Nobel pour la paix, faisant d’elle un exemple à suivre.

 

 

Par ailleurs, M. Caïd Essebsi a affirmé que la lutte contre le terrorisme fait partie des priorités de la Tunisie, appelant la Suède à inciter l’investissement étranger en Tunisie et à l’accompagner dans ses efforts en la réintégrant d’une manière exceptionnelle avec les pays profitant de l’aide pour le développement et en lui attribuant, de nouveau, des financements à des conditions préférentielles.

04/11/2015 | 19:00
1 min
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Commentaires (13)

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aly
| 06-11-2015 11:25
ce qui se passe a nida tounes montre que c est la pagaille qui regne en tunisie .ceci n incite pas les suedois a investir en tunisie ,commencez monsieur le president par ecarter ton fils...qu il adhere directement a ennahdha et nous laisse tranquille,vous avez une grande responsabilite monsieur le president dans le pourrissement de la situation

mjr
| 05-11-2015 23:03
Avant d'aller quémander de l'argent la Tunisie doit se remettre au travail et entamer les grandes reformes.Sinon une grande partie de l'aide au développement partira en fumée.
Pays très développé et très équilibré,la Suède ne pourra rien faire pour un pays encore miné par la corruption,les passe droit et le manque de transparence.

mizaanoun
| 05-11-2015 16:55
« C'est quand on n'a plus d'espoir qu'il ne faut désespérer de rien. » Sénèque.

Qui aurait dit que le dénommé BCE (pour les amis) allait un jour, presque nonagénaire être reçu comme un roi au pays des rois, en l'occurrence la Suède ?

En même temps l'autre jeune homme, celui qui chapeaute le gouvernement lui est allé en Allemagne pour rencontrer un des grands rois de l'industrie allemande. Ni plus ni moins que le patron de Siemens!

Les deux personnages tunisiens seraient, sans aucun doute en train de cuisiner des magouilles qui vont coûter trop cher aux pauvres tunisiens ou, mieux dit, appauvris par la force. Il n'y a rien à apprendre ni des suédois ni des allemands ni d'aucun d'autre, et, encore moins à prendre.

Seules pourra changer la situation et la vie en Tunisie l'intelligence, la volonté politique et la loyauté des dirigeants envers ceux qui ceux qui les ont porté au pouvoir. Et ni ces deux piètres personnages ni tous les autres qui se sont fait connaître ces quatre ou cinq dernières années sur l'échiquier politique n'ont réellement l'envergure requise pour transformer le pays.

Ceux qui la détenaient ou ils ont été carrément écartés ou assassinés en plein jour ou bien ils se trouvent sous haute surveillance, y compris par les services secrets allemands mêmes, ou suédois, et, ce sans parler de tous les autres comme les services secrets français, usaméricains, anglais et même les services secrets des félons arabes comme ceux de EAU, du Qatar ou des Saoudiens.

On n'a aucun besoin d'argent de personne pour construire, on a besoin d'idées, de ses propres idées et non celles des autres même qu'ils acceptent de les donner, ce dont on doute bien fort. Quant à l'argent il n'a jamais rien construit. Mais a tout détruit.

Le borgne
| 05-11-2015 14:47
Avec la grève générale qui s'annonce, les Suédois mais pas seulement vont se précipiter pour investir en Tunisie. Il ne faut pas plutôt croire au père Noël. Les dirigeants de la centrale syndicale doivent choisir entre la faillite du pays et sa relance.

CHDOULA
| 05-11-2015 06:04
Quand j'ai vu la photo du haut je croyais que Mustapha Ben Jaafar accompagnait BCE. fausse alerte !

TDK123
| 05-11-2015 05:07
La reponse à la demande de notre président a été donné par l'on homologue Allemand: tant que la corruption règne dans toutes les administrations, tant que cette mafia appelée douane continue à tenir les gens en otage avec des lois qui leur permettent tout ce qui leur plait, avec une police corrompue et des syndicats qui foutent la zizanie, avec un système éducatif et formation professionnelle tous deux merdiques les investisseurs ne seront jamais de retour chez nous.

Franoise Sagan
| 05-11-2015 02:11
Bonne chance Mister President

BRAVO
| 04-11-2015 23:11
MR le président je salut votre visite en suède mais le plus important de mètre de l'ordre dans notre pays pour qu'on puisse faire venir les investisseurs en tunisie et en plus arreter votre clans de NIDATUNIS que je regrette que j'ai voté pour votre partie et malgré tous ça je suis sure que vous pouvez faire beaucoup pour ce pays si!!!!!! ....Vous faite partie de l'école BOURGUIBIENNE donc à vous de voir !!!!!!......



veritas
| 04-11-2015 22:30
Les européens ne sont pas dupe ils n'investirons jamais dans un pays dominé par des islamistes comme c'est le cas de la tunisie,personnellement quand je suis a l'étranger je ne donne aucune envie a personne ça ne serait ce pour visiter le pays avec le risque de rentrer dans un cercueil les terroristes dans la majorité des cas sont libèrés et benni par leur gourou qui fait obstacle a tout un pays ,la facture va encore coûter plus cher pour l'année 2016 ,60% du budget est consacré au paiement des dettes et 40% pour faire vivre tout un pays c'est mission impossible .

Monia
| 04-11-2015 22:29
et pas seulement la Suède, toute l'UE n'est ni sourde ni aveugle. Aucune couverture "risque pays" possible.