En marge de sa participation à la première réunion du Conseil supérieur des exportations, ce jeudi 4 janvier 2018, le chef du gouvernement est revenu sur la récente polémique engendrée par la hausse des prix des produits de consommation. « Les prix réels sont affichés dans les grandes surfaces et les épiceries, pas sur Facebook ! » s’est exclamé Youssef Chahed sur les ondes de Jawhara Fm en réaction à de nombreuses publications sur les réseaux sociaux annonçant de nouveaux prix depuis quelques jours.
Le chef du gouvernement reconnait une hausse des prix des produits importés « non essentiels », due notamment à l’augmentation de la TVA de 1% et des droits de douane appliqués sur les produits importés « chose que nous avons annoncée par le passé et qui a pour but de réduire et de maîtriser le déficit de la balance commerciale ainsi que de protéger la production nationale ». Cependant, il a nié toute modification dans les prix des produits subventionnés. « L’équipe gouvernementale actuelle œuvre pour la stabilisation des prix » ajoute-t-il.
Par ailleurs, Youssef Chahed a insisté sur les difficultés économiques par lesquelles passe l’économie tunisienne, « difficultés qui nécessitent des sacrifices à tous les niveaux ». Pour autant, le chef du gouvernement se veut optimiste quant à une reprise économique en Tunisie et cite, à titre d’exemples, l’amélioration des exportations et du taux de croissance annuel.
N.B.G
Youssef Chahed : Les prix réels ne sont pas sur Facebook !
En marge de sa participation à la première réunion du Conseil supérieur des exportations, ce jeudi 4 janvier 2018, le chef du gouvernement est revenu sur la récente polémique engendrée par la hausse des prix des produits de consommation. « Les prix réels sont affichés dans les grandes surfaces et les épiceries, pas sur Facebook ! » s’est exclamé Youssef Chahed sur les ondes de Jawhara Fm en réaction à de nombreuses publications sur les réseaux sociaux annonçant de nouveaux prix depuis quelques jours.
Le chef du gouvernement reconnait une hausse des prix des produits importés « non essentiels », due notamment à l’augmentation de la TVA de 1% et des droits de douane appliqués sur les produits importés « chose que nous avons annoncée par le passé et qui a pour but de réduire et de maîtriser le déficit de la balance commerciale ainsi que de protéger la production nationale ». Cependant, il a nié toute modification dans les prix des produits subventionnés. « L’équipe gouvernementale actuelle œuvre pour la stabilisation des prix » ajoute-t-il.
Par ailleurs, Youssef Chahed a insisté sur les difficultés économiques par lesquelles passe l’économie tunisienne, « difficultés qui nécessitent des sacrifices à tous les niveaux ». Pour autant, le chef du gouvernement se veut optimiste quant à une reprise économique en Tunisie et cite, à titre d’exemples, l’amélioration des exportations et du taux de croissance annuel.
Ou vous vous croyez plus intelligent que le citoyen, ou vous avez choisi le mur !!! Dans les deux cas, vous vous faites beaucoup de tort, en aggravant l'allergie qu'a le citoyen des politiques en enfonçant le clou plus profond!!
C est dommage M. Le 1er ministre mais vous etes super super mal conseillé. Taxer des millers de prix a l import equivaut a des centaines de milliers de chomeurs , un pouvoir d achat qui fond et une economie qui se brise . Des taxes de 25% a 50 % d un coup ! C est open bar pour le trafic parallele . C est par là qu il fallait commencer ! Coté strategie c est trop faible car coté mesures impopulaires qui coincident avec enfin des dates pour les elections municipales c est le suicide de nidaa et d un contre pouvoir sur l obscurantisme! Meskina tounes .
Dans tous les pays du monde et à chaque
nouvelle année les prix augmentent en France par exemple le gaz + de 6 pour
cent le carburant entre 4 et 6 cts
d'euro le transport etc etc
Notre pays n"échappe pas à cela
Nous nous sommes dans une situation
économique complexe nous devrions
gérer nos dépenses en fonctions de nos revenus .Il n'est pas normal de gaspiller les produits de base pain huile sucre pates couscous tous les jours des tonnes de ces produits sont
jetés aux poubelles .consommons intelligemment les grandes surfaces
profitent du manque du raisonnement
citoyen pour inciter à une consommation
basée uniquement attrape nigaud
réduction de prix imaginaire carte
de fidélité bidon pub mensongère
étiquetage à coté de bon produit etc
C"est aux consommateurs de réguler
le marché et surtout se méfier du phénomène de foule
...
Pour ce qui est de l'état de l'Economie Nationale, je trouve que l'état devrait progressivement cesser toute subvention.
...
De toute façon nous autres, Tunisiens, gaspillons énormément.
...
Regardez les poubelles - surtout pendant le mois de ramadan :
- Des pains entiers jetés (y taychou fel na3ma !)
- Des restes jetés - sous prétexte que "mi eklouch el beyt" !
- Des industriels et artisans qui profitent de la subvention (carburant, sucre, etc ...)
...
Et vous trouvez cela normal vous ?
...
Hé bien : NON !
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Du moment que le citoyen se permet de gaspiller - et n'est, par conséquent, pas Responsable - je trouve que l'Etat n'a aucune raison de subventionner quoi que se soit !
...
"Me nefhemouch bel siyessa ; me nefhemou ken bel triha ou bel a3ssa" !
...
Hé bien qu'il en soit ainsi.
...
URMAX
Qu a t il reussit ..?? Rien. Que du bla bla bla.Aucun caractere de dirigent,trop soumis aux 2 vieux lascars a qui il doit sa nomination.. vivement 2019 et il ne seront plus la.Echkara wel bhar. Rih essed yhiz ma yroud...tellement ils nous ont fait et nous font encore souffrir avec tant d humiliations.....
je n'ai pas l'ombre d'un doute que notre PM et sa bande se démènent comme des diables pour rendre la vie des Tunisiens supportable et moins difficile. "Le soleil à lui seul ne peut pas nous rendre la misère moins pénible" comme le dit si bien Aznavour.
Une mesure, une seule mesure peut rendre le sourire aux tunisiens. S'attaquer à la vermine des contrebandiers.Pourquoi on n'en finit pas avec le marché parallèle? nous savons tous que le plus gros des marchandises qui sont distribuées dans le circuit parallèle transitent par les ports. La complicité de certains douaniers est on ne peut plus certaine. Le ministère des finances peut et doit éradiquer ce fléau. L'idée simple est de former une unité spéciale de douaniers, une espèce ''de douane des douanes'' pour traquer les douaniers corrompus. Suivez l'exemple de l'Algérie dans ce domaine.