Plusieurs boulangeries sont encore en grève à Ain Zaghouan, Sidi Daoud et probablement ailleurs.
Mohammed Bouanene est ravi et il faut applaudir ce sbire des deux mains. Pfuu!
Le président de la chambre syndicale nationale des boulangers, relevant de l'Union tunisienne de l'industrie, du commerce et de l'artisanat (UTICA), Mohamed Bouanen, est intervenu ce mercredi 29 novembre 2017 sur Mosaïque FM, où il a déclaré : « Nous avons annoncé le début de la grève hier à minuit ».
« Il s’agit d’une grève sur tout le territoire national qui est d’ores et déjà une réussite. Il n’y a aucune boulangerie ouverte sur les 3200 sauf celles du gouvernorat de Bizerte » a-t-il ajouté.
M. Bouanen a en outre, souligné que les grévistes demandent aujourd’hui, « une carte professionnelle pour ceux qui sont en activité et l’arrêt des boulangeries illégales ».
Vérification faite, les propos de M. Bouanen sont contraires à ce que l'on a vu sur le terrain puisque plusieurs boulangeries de l'Ariana et de Tunis sont ouvertes. Une source officielle au ministère du Commerce a indiqué par ailleurs que la grève est moyennement suivie et qu'il y aurait plus de boulangeries ouvertes que fermées.
D’autre part, le Vice-président du groupement des boulangeries (relevant de la CONECT), Abdelkrim Ben Mehrez, a révélé dans une déclaration donnée a Business News, que cette grève annoncée par le syndicat est « une tentative de mettre la main sur ce secteur encore peu structuré ».
« Il faut y mettre de l’ordre surtout que ces gens font aujourd’hui du business avec de la farine subventionnée par l’Etat. Nous sommes pour responsabiliser les subventions ! Qu'elles atteignent d’abord les plus démunis » a-t-il martelé.
S.A
Le président de la chambre syndicale nationale des boulangers, relevant de l'Union tunisienne de l'industrie, du commerce et de l'artisanat (UTICA), Mohamed Bouanen, est intervenu ce mercredi 29 novembre 2017 sur Mosaïque FM, où il a déclaré : « Nous avons annoncé le début de la grève hier à minuit ».
« Il s’agit d’une grève sur tout le territoire national qui est d’ores et déjà une réussite. Il n’y a aucune boulangerie ouverte sur les 3200 sauf celles du gouvernorat de Bizerte » a-t-il ajouté.
M. Bouanen a en outre, souligné que les grévistes demandent aujourd’hui, « une carte professionnelle pour ceux qui sont en activité et l’arrêt des boulangeries illégales ».
Vérification faite, les propos de M. Bouanen sont contraires à ce que l'on a vu sur le terrain puisque plusieurs boulangeries de l'Ariana et de Tunis sont ouvertes. Une source officielle au ministère du Commerce a indiqué par ailleurs que la grève est moyennement suivie et qu'il y aurait plus de boulangeries ouvertes que fermées.
D’autre part, le Vice-président du groupement des boulangeries (relevant de la CONECT), Abdelkrim Ben Mehrez, a révélé dans une déclaration donnée a Business News, que cette grève annoncée par le syndicat est « une tentative de mettre la main sur ce secteur encore peu structuré ».
« Il faut y mettre de l’ordre surtout que ces gens font aujourd’hui du business avec de la farine subventionnée par l’Etat. Nous sommes pour responsabiliser les subventions ! Qu'elles atteignent d’abord les plus démunis » a-t-il martelé.
S.A