
Le porte-parole officiel de la Direction générale des prisons et de la rééducation, Sofien Mezghiche, est revenu, ce vendredi 27 octobre 2017, sur l’expérience des sanctions alternatives.
Dans une déclaration accordée à Jawhara Fm, M. Mezghiche a affirmé que des mécanismes seront mis en place pour l’encadrement des personnes concernées par ce type de sanctions, précisant que dans la mesure où il n’existe encore aucun cadre légal pour régir ce type de peines, la Direction générale des prisons a initié, en coordination avec le ministère de la Justice, la création d'un bureau d'accompagnement à la Cour d'appel de Sousse.
Il a ajouté que 6 bureaux ont été mis en place à Bizerte, Kairouan, Monastir, La Manouba, Tunis et Gabès et que vingt contrôleurs judiciaires ont été mobilisés pour le suivi, le contrôle et l’orientation des personnes jugées, qui feront l’objet d’un encadrement spécifique sans avoir à purger des peines d’enfermement.
Sofien Mezghiche a affirmé, que ces bureaux entreront en action d’ici la fin de l’année, avant que l’expérience ne soit généralisée sur tout le territoire. Il a précisé que cette expérience concerne uniquement les personnes jugées pour des délits mineurs et qu’elle a été mise en place pour limiter la surpopulation des prisons, faciliter la réinsertion des personnes concernées par ce type de sanctions, mais aussi pour que certaines dépenses allouées aux prisons servent à financer des programmes de réhabilitation.
M.B.Z
Commentaires (7)
CommenterA François
Vous dites n'importe quoi DHEJ !
Si à l'indépendance, les tunisiens n'ont pas jugés bon de basculer dans la Charia, c'est que le droit international dans lequel s'inscrivait la France était jugé le plus universel possible. Notamment par un procès ou sont analysés les faits, ou le justiciable bénéfice d'une défense et surtout d'un code très clair sur les peines consécutifs aux délits ou crimes lui étant reprochés. La prison étant une résultante d'un verdict reposant sur la preuve, et la possibilité pour le détenu de se réhabiliter. Bien sur ce système à ses failles et des abus, comme fut le protectorat, mais il permettait si un innocent était injustement condamné, de le libérer, car sa peine n'était que l'écartement de la société pour laquelle il consistait un danger...Dans ta fameuse Charia, ces précautions sont absentes ; va recoudre un bras pourri à un voleur injustement dénoncé...D'ailleurs, je devrais dire dans 'tes fameuses Charias', car dans chaque pays/tribus/clans, elles évoluent au gré des interprétations et des intérêts particuliers...
CETTE MISE EN PLACE A DÉJÀ ÉTÉ FAITE DEPUIS BELLE LURETTE.
Les terroristes sont ceux qui ont le plus bénéficié de ces sanctions alternatives.
Il faut tout de même admettre que le ministre de la justice de l'époque des charognards, leur avait déjà très bien préparé le terrain.
Curieusement, même après son départ, ce sont toujours les mêmes qui bénéficient le plus, de ces privilèges.
Depuis 2011, nous n'avons jamais eu écho d'une condamnation de terroriste, malgré les milliers d'arrestations effectués depuis 2011.
Ceux d'avant, sont libres comme l'air.
La majorité d'entre eux occupent actuellement des postes de notables.
D'autres, écologistes amoureux fous de la nature et grands amateurs d'hémoglobines, ont préféré vivre au grand air, en migrant en Syrie, en Irak et en Libye.
Elle est belle la vie.
Mais c'est tour le code pénal de la FRANCE COLONISATRICE qui doit etre revu...
Il faut copier sur le BON DIEU et sa CHARIAA!
Mais comme la FRANCE aimait envoyer le tunisien en prison meme pour le port de SEL...
ce n'est qu'une question d'application des lois
peut etre
Bonne initiative !
Pour les autres, ils n'auront que ce qu'ils méritent !

