Un individu, accompagné de sa femme et de sa fille, a tenté mardi 10 octobre 2017, de forcer l’entrée du collège Tahar Haddad de Hammam Zriba (gouvernorat de Zaghouan), armé d’un couperet, suite à une dispute entre sa fille et une de ses camarades de classe.
L’individu a été arrêté par les agents du poste de police de Zriba et placé en garde à vue après consultation du ministère public.
I.N
Armé d'un couperet, un individu tente de forcer l'entrée d'un collège à Hammam Zriba
Un individu, accompagné de sa femme et de sa fille, a tenté mardi 10 octobre 2017, de forcer l’entrée du collège Tahar Haddad de Hammam Zriba (gouvernorat de Zaghouan), armé d’un couperet, suite à une dispute entre sa fille et une de ses camarades de classe.
L’individu a été arrêté par les agents du poste de police de Zriba et placé en garde à vue après consultation du ministère public.
J'en conclue qu'il va falloir un Poutine Tunisien. Je vous dirai même plus et encore .... J'inviterais tous les despotes (ensemble) en Tunisie et je confirais à chacun une mission :
L'un l'ARP, l'autre La Finance ; un autre UGTT , un quatrième l'UTICA, .... et Inchallah ....
Tout à fait d'accord avec vous, bien que je n'aie pas mis les pieds depuis de nombreuses années, je me rends compte par la lecture des commentaires sur les réseaux sociaux ou les différents articles comme ceux de @BN que les tunisiens pour la plupart sont atteints de névroses (plus de 50% de la population) , c'est comme les russes quand le mur de Berlin s'est effondré, la société avait perdu ses repères, il s'en est suivi une période très dure où la criminalité s'est multipliée jusqu'à l'arrivée d'un chef autoritaire Poutine, non seulement il a stabilisé le pays au niveau économique mais aussi au niveau social (je ne parle pas de politique). Je vous laisse faire vos conclusions.
Depuis plus de deux années on assiste à une explosion des actes de violence.
Il y a une dégradation inquiétante de la santé mentale des citoyens , principalement au sein des classes populaires;
C'est une dérive nihiliste, marquée par la perte de repères : il y a perte du sens de l'intérêt général et du savoir-vivre en société; la vie en Tunisie est ressentie comme une contrainte, un obstacle, plutôt qu'un facteur d'épanouissement.
Ce ne sera pas par la peur du gendarme que cette dérive, autant psychologique que sociétale, sera endiguée.
La contrat social consistant à la préservation de l'équilibre sociétal et de l'intérêt collectif est en voie d'être rompu.