Tous les préparatifs de cette affaire, ont débuté avec la détection d'un agent qui soit en mesure de baliser la route. Et comme les idées pour comploter ne manquent pas, d'autant plus que l'Irak a été acquis, la meilleure facon (pensaient-ils) de conquérir la Libye, c'est de transiter par la Tunisie, et il fallait bien trouver une complicité dans ce pays "pauvre" et potentiellement vulnérable.
Par ailleurs s'il s'agit (pour eux) donc de la seule et unique solution pour concrétiser cette idée. C'est alors que l'on assista à une action à double tranchants, provoquer une guérilla au sein du parti des vrais musulmans, et les faire remplacer (toujours au nom de l'islam) par des exécuteurs (formés par soi-disant un asile politique), et qui doivent se rebeller par des actes de terrorisme tel que celui de Bab Souika en 1986, donc en parallèle avec ce qui se préparait en Irak, ceci d'une part et d'autre part de designer un Président, à aider (au début) pour gagner un certain populisme, et par la suite d'instaurer la ségrégation, le régionalisme et l'injustice à l'aide son parti, et lequel parti doit comprendre des affamés arnaqueurs et puis des cultivés aisés socialement pour diriger les rouages du pays, mais que par la suite tout ce beau monde puisse graduellement semer la débandade et la gabegie. L'attente dura tout de même assez longtemps (presque deux décennies de plus d'après leur planning) et surtout que la vingtaine d'individus chargés cette mission avancaient dans l'âge mais prévoyaient des suppléants ou d'autres recrutés de la bande.
De rappeler que le remplacement de Bourguiba les inquiétaient, et ont saboté ce remplacement, cela veut dire que la question libyenne importait énormément, d'autant plus que l'union tuniso-libyenne à failli réussir avant qu'elle ne soit avortée in extremis.
Cette duperie est complètement tombée à l'eau maintenant, puisque la Libye est devenue indépendante, et que les désignés pour cette mission ne sont plus concernée par cette foi, mais bénéficient, pour le moment, d'une certaine clémence aucunement méritée, que le Président de la République continue de sa part à philosopher pour leur trouver des circonstances atténuantes (avérées déjà risquées) pour leur réintégration dans la société, et ce paradoxalement, malgré leurs délits et leurs arnaques révélés néfastes sûr le plan social vu les injustices subies entre par le peuple entre temps.