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Une Tunisienne parmi les 11 membres du Conseil présidentiel pour l'Afrique créé par la France
29/08/2017 | 09:29
1 min
Une Tunisienne parmi les 11 membres du Conseil présidentiel pour l'Afrique créé par la France

Ce mardi 29 août 2017, le président français, Emmanuel Macron, annoncera la création d’un Conseil présidentiel pour l’Afrique qui sera composé de personnalités de la société civile de 11 pays africains. Avec cette annonce M. Macron tente de réaliser un objectif de campagne : renouveler le partenariat entre la France et l’Afrique.

 

Sarah Magida Toumi, sera la représentante de la Tunisie au sein de ce Conseil. Ce mardi 29 août, elle est brièvement intervenue dans la matinale d’Express FM présentée par Wassim Ben Larbi, où elle a expliqué que le rôle des 11 personnes désignées au sein du Conseil est de faire entendre un autre son de cloche que celui des conseillers Afrique du président français. Il s’agira pour eux de formuler des propositions pour des actions sur les secteurs d’avenir, mais aussi de développer un lien entre les différentes sociétés civiles africaines.

 

Le Conseil présidentiel pour l’Afrique se réunira pour la première fois en septembre et aura pour première mission de préparer le discours qu’Emmanuel Macron prononcera mi-novembre à Ouagadougou.

 

Titulaire d’un Master en littérature française, spécialité Femmes et Voyages à l’Université Paris Sorbonne, et diplômée de HEC Paris, Sarah Magida Toumi est aujourd’hui présidente de plusieurs entreprises actives dans l’entreprenariat social et qui travaillent à transformer les défis des zones rurales en opportunités durables. Elle est aussi consultante auprès de l’Organisations de l'Economie Sociale et Solidaire et lauréate de plusieurs prix prestigieux tel que le prix « Rolex » pour l’esprit d’entreprise. Elle est également fondatrice de « Acacias for All ».

S.A

29/08/2017 | 09:29
1 min
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Commentaires (12)

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Fennec
| 30-08-2017 19:58
bientôt vous le verrez présider le conseil des ministres tunisien.
Vive Ben Ali...

veritas
| 30-08-2017 01:03
il n'y a que la vérité qui blesse .???
Je persiste et je signe Ben ali a bien détruit l'enseignement en tunisie ,le bac tunisien n'est plus reconnu sur à l'échelle Mondiale car les examens du bac ont fuités 2 fois au temps de Ben Ali le corps enseignant diplômé au temps de Ben Ali n'en parlons pas !!
Votre Mentor on lui reconnaît la sécurité et rien d'autre sur le plan sécuritaire il a fait un travail qui n'a pas d'égale sur le reste c'est bien dramatiques mais le pire c'est Avec les khwanjias

Léon
| 29-08-2017 22:14
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.

Puis-je savoir sous le mandat de quel président et de quel premier ministre, votre seigneurie a-t-elle étudié.
La plupart des immigrés par les études (comme mon cas) l'ont fait sous Bourguiba ou sous Ben Ali. Et votre seigneurie? Sous quelle haute obédience pédagogique a-t-elle été instruite? Ou plutôt dressée.
Arrêtez svp de répéter comme des perroquets que l'enseignement (l'un des rares points fort du pays) sous untel ou tel autre était catastrophique. Les lycées pilotes ne font pas légion dans d'autres pays. Et des facs et écoles comme les différentes fac des sciences, les ENI-X...sont des perles d'enseignement et leurs perroquets sont recrutés partout dans le monde à l'issu de leur PFE et de leurs troisième cycle.
Perroquets vous êtes, écervelés vous êtes et cette condition est la seule chose à blâmer en Tunisie.
Bordel! Quel peuple! J'en ai vraiment marre! Et ils disent tous que la faute incombe aux autres alors qu'ils feraient mieux de balayer devant leurs portes.

Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya,
Résistant.

VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.

lambda
| 29-08-2017 19:43
Cette demoiselle tente ou risque de vouloir mettre la vieille dans la sauce d'une bonne macronade à avaler par Macron...et puis elle surgira d'un autre angle ouvrant sur l'espace magistral....
Wait and see....la photo me dit qq chose dans les yeux

veritas
| 29-08-2017 19:25
Elle est issu de l'école laïque de la république française et elle a adopté la culture française ,tant mieux pour elle ,elle n'a pas vécu en tunisie autrement elle aurait été une daechienne .
L'école tunienne a été détruite par Mohamed Mzali Avec sa sale politique d'arabisation ,puis Ben ali et maintenant la phase finale pour bien achever l'école c'est avec les valeureux khwanjias.

el manchou
| 29-08-2017 17:42
Mais où est donc l'ex présidente d'el Basla, l'ONG boudourou financée par Soros ? Elle aurait fait une bonne candidate, elle coched toutes les cases : femme, arabe, cyber-collabo, pro-Qatar, ne critique jamais Ennahdha, fille d'un "opposant" à Benali, cousine d'un cyber-dissident, compagne d'un françaoui de souche ... bref, une vraie chakchouka pur fruit de la merdolution Brouétienne.

Letranger
| 29-08-2017 17:14
"...Une Tunisienne parmi les 11 membres du Conseil présidentiel pour l'Afrique créé par la France..."
Il me parait logique que la représentante de la Tunisie soit Tunisienne, même pas Francotunisienne, mais Tunisienne.

M'est avis que ce "Conseil Présidentiel pour l'Afrique" va plus ressembler au bureau des pleurs qu'à autre chose.
J'espère aussi que ses membres sont payés par le pays qu'ils représentent.

Léon
| 29-08-2017 17:01
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.

Je ne sais pas qui est cette demoiselle. Je ne sais pas non plus comment elle est arrivé si près des cercles du pouvoir. La seule chose que je sais et que m'a appris la merdolution c'est que JAMAIS une personne n'est à un endroit donné par un pur hasard.
Les purs nazards n'existent que dans les romans.
Et c'est pour cela que je condamne le rôle de la France dans l'exportation des responsables irresponsables, dont certaines femmes de sa deuxième génération.
Les fameuses Mehrzia, la Popom, et autres femmes qui ont mis la main dans la main avec les atlantistes pour se venger d'une Tunisie qu'ils jalousaient tous les étés. En effet, ils n'en revenaient pas de voir une Tunisie de plus en plus épanouie, quasiment hors de leur portée.
Alors, bien qu'accueillis en princes et en princesses avec des colliers de jasmin à leurs arrivées, nos traitres et traitresses expatriées se vengeaient d'une Tunisie qui les dépassait sur tous les plans.
Même leur réussite à l'étranger n'est rien d'autre que la réussite de la politique tunisienne d'enseignement. L'ascenseur Social Tunisien n'a rien à voir avec son homologue français. Si les fils de paysans en Tunisie qui ont trahi leur pays sont devenus des médecins, ingénieurs avocats, notables (même à l'étranger), les enfants des tunisiens expatriés n'ont pas eu la même chance. Beaucoup d'entre-eux découvrent la réussite de leurs cousins restés au Bled, que le jour où ils les voient débarquer pour faire une thèse ou un PFE et vivent un meilleur sort qu'eux, même dans les pays d'accueil.
Ceci crée une jalousie incommensurable et, en bons naïfs, nos tunisiens résidents en Tunisie les écoutent leur parler de démocratie. Démocratie importées du pays où ils ont fini chômeurs ou vendeurs de drogue ou en général avec un CAP, BEP ou autres bac pro pour en faire des agents de maintenance.
La Tunisie reprendra le dessus, n'en déplaise aux traitres. Si ce démarrage n'a fait que perdurer, c'est tout simplement qu'il soufflait un air démocratique paralysant, et ce, depuis Bourguiba et Ben Ali. Malheureusement cette éducation orientée vers les libertés qu'ont voulue les prétendus dictateurs, s'est un peu retournée contre le pays manipulé par les lobbies étrangers.
On arrive. On dictera nos règles aux merdolutionnaires et on dirigera le pays.
VIVE LA TUNISIE, VIVE LES PATRIOTES, À BAS LES TRAITRES.

Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya,
Résistant.

VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.

el manchou
| 29-08-2017 15:05
J'avais un blog et était actif sur twitter et JAMAIS je n'ai cautionné cette merdolution, j'ai toujours dénoncé les cyber-collabos qui y ont participé.

Maintenant que Zaba est parti, toutes les ONG et tous les machins inféodés à Soros, Qatar, Saouds ... débarquent en terrain conquis.

Léon
| 29-08-2017 14:21
VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.
Je salue tes propos. Tu as peut-être mis le temps qu'il fallait pour condamner fermement les "libérateurs" (sic!) de la Tunisie (sic!), mais mieux vaut tard que jamais.
Ton serviteur avait, dès le départ, condamné, combattu et montré du doigt tous ceux qui savouraient le moment merdolutionnaire, juste par "Chméta" à Ben Ali, et ce, à cause des pulsions diverses (souvent d'ordre tribal et inavoué).
Ils en étaient même jusqu'à "ignorer" (et même parfois applaudir) les traitres évidents que tu cites aujourd'hui après 7 années (mais je répète, mieux vaut tard que jamais).
Il est vrai que dans le temps il ne faisait pas bon les citer. Je récoltais insultes sur insultes. J'aurais aimé avoir tort, mais.....
J'avais prévenu les tunisiens, jadis à 99,999999% euphoriques, qu'il s'agissait d'une "exaltation éphémère qui sera certainement suivie d'un désastre durable" (je cite mes propos antérieurs: merde! suis-je en plein dans le culte de la personnalité???).
Quelle trouble-fête fus-je? Prévenir les tunisiens des réalités lorsque tout le monde applaudissait leur trahison collective? Mais quel être abject étais-je?
Alors j'attends impatiemment le jour où tous le tunisiens se rendent compte, et disent tous, que la période Ben Ali, malgré les erreurs, fut la plus belle période de l'histoire de notre pays. Le jour où ils reconnaitront cette évidence, peut-être que le pays redémarrera.
Le tunisien aura appris quelque chose à ses dépends: Jamais Dieu ne bénit les mensonges. Même si ces derniers sont cachés sous de nobles bannières (libertés, dignité, justice). Lui il lit dans vos coeurs, même si vous vous mentiez à vous-mêmes.
"haines, régionalisme, jalousie" aurait été un slogan plus juste pour votre merdolution. D'ailleurs le résultat en est la meilleure preuve.

Léon, Min Joundi Tounis Al Awfiya,
Soldat et Résistant de la Tunisie Libre.

VERSET 112 de la SOURATE des ABEILLES.