Selon l’Agence arabe syrienne d’information, SANA, le président syrien, Bachar Al Assad, a reçu ce lundi 7 août 2017 une délégation parlementaire de députés tunisiens présidée par la députée du Front populaire, Mbarka Brahmi.
Au cours de cette rencontre, le président syrien a fait état de « la vivacité de la société tunisienne » s’illustrant à travers « les visites effectuées par les délégations tunisiennes en Syrie dans le but de s’informer sur la vraie situation qui prévaut en Syrie ». Bachar Al Assad a également évoqué « les points faibles similaires des pays arabes et le ciblage identique de ces pays par l’extérieur ».
Bachar Al Assad a également mis en avant le rôle essentiel des parlements arabes « pour l’échange des expériences et la création d’un dialogue à propos de la situation actuelle de son pays et son avenir ». A ce sujet, il a mentionné les tentatives « de modification de l’identité arabe et de division des communautés provenant de l’étranger». Les membres de la délégation tunisienne ont souligné que leur rencontre avec le chef d’Etat syrien est motivée par la volonté d’exprimer « la position du peuple tunisien qui soutient le peuple syrien ». Les députés tunisiens ont également salué « le processus de réconciliation en Syrie et la détermination syrienne de reconstruction du pays ».
K.H
Bachar Al Assad reçoit une délégation de députés tunisiens
Selon l’Agence arabe syrienne d’information, SANA, le président syrien, Bachar Al Assad, a reçu ce lundi 7 août 2017 une délégation parlementaire de députés tunisiens présidée par la députée du Front populaire, Mbarka Brahmi.
Au cours de cette rencontre, le président syrien a fait état de « la vivacité de la société tunisienne » s’illustrant à travers « les visites effectuées par les délégations tunisiennes en Syrie dans le but de s’informer sur la vraie situation qui prévaut en Syrie ». Bachar Al Assad a également évoqué « les points faibles similaires des pays arabes et le ciblage identique de ces pays par l’extérieur ».
Bachar Al Assad a également mis en avant le rôle essentiel des parlements arabes « pour l’échange des expériences et la création d’un dialogue à propos de la situation actuelle de son pays et son avenir ». A ce sujet, il a mentionné les tentatives « de modification de l’identité arabe et de division des communautés provenant de l’étranger». Les membres de la délégation tunisienne ont souligné que leur rencontre avec le chef d’Etat syrien est motivée par la volonté d’exprimer « la position du peuple tunisien qui soutient le peuple syrien ». Les députés tunisiens ont également salué « le processus de réconciliation en Syrie et la détermination syrienne de reconstruction du pays ».
<< Cette commission ne fait absolument rien >>
<< L'opposition n'est désormais composée que des extrémistes et de terroristes >>
http://www.tunisiefocus.com/politique/175365-175365/
Ceux qui vont en Syrie soutenir le criminel génocidaire de son propre peuple et destructeur de son propre pays, le Saffah Bachar Assad, qui appelle les Russes et les Iraniens à occuper la Syrie, sont considérés par la loi tunisienne comme complices à ses crimes.
La loi est claire : «celui qui commet l'infraction n'est pas le seul à risquer la condamnation. Ceux qui l'ont aidé, ou provoqué son comportement sont en effet sanctionnés par le droit pénal à travers la notion de complicité».
Il est temps que le Procureur de l'Etat tunisien accuse ces traîtres contre la Révolution tunisienne, contre les Révolutions arabes, contre la liberté des peuples arabes et contre l'avance des pays arabes vers les pays les plus avancés de ce monde, de complicité avec les génocidaire Bachar Assad de Syrie, qui finira tôt ou tard devant un Tribunal international, pour répondre à ses crimes contre l'humanité entière.
Il me semble que cette Mbarka n'appartienne pas à cette humanité. Elle n'appartient qu'à ceux qui montent sur les cadavres de cette humanité. En Tunisie comme en Syrie et peut-être en Egypte et ailleurs.
La honte est déjà tatouée sur son front depuis belle lurette.
C'est un massacre en tous point de vue de la part de nahdha, et avec toutes les formes de délits et d'arnaques.
D'ailleurs ils sont incultes et incompétents donc c'est un massacre prévisible dès le départ.
Ils nous ont trahi, et vous ont trahi.
Ces vagabonds, impolis et sans scrupules de nahdha ne nous représentent, tout le monde sait que ce sont des intrus qui ne peuvent justifier qu'ils sont tunisiens.
Rendez vous compte que la tunisie a détruit la Libye la Syrie et à faillit brûler l'Égypte sans l'intervention du formidable et du patriote A Sissi qui a pu sauvé les meubles ,la tunisie a signé son acte de décès et a fait tout pour bruler les autres pays heureusement que l'Algérie l'a échappé belle ,certains pays doivent saisir la cours pénale internationale pour condamner Avec de lourdes peines les responsables tunisiens et leur sponsors de la destabilisation des pays qui ont été détruits avec des mains tunisiennes et des cerveaux anglo-saxons.
Être tunisien n'a jamais été une fierté mais plutôt une honte ,aujourd'hui n'en parlons pas ??les khwanjias transformeront en cendre ce qui reste du pays déjà les incendies enregistrés dernièrement en disent long mais personne n'ose dire la vérité de ce qui se trame dans le pays sur le long terme.
car la grande majorité des tunisiens à l'instar de ceux qui ont voté pour BCE sont pour le rétablissement des relations en n'imaginant pas une seconde que ce dernier pouvait se rétracter une fois installé à Carthage !!
Sans être sexiste,la femme tunisienne a toujours été au devant de prises de position citoyennes et courageuses. Après l'excellente initiative de l'UGTT, la visite d'une délégation de parlementaire ne peut être que réjouissante car elle met l'accent sur la tendance de la majorité du peuple qui soutient sans condition la Syrie peuple et état souverains qui luttent pour débarrasser leur terre d'un virus qui s'appelle "Complot viral et véreux" conduit par l'occident (guerre du gaz) en complicité avec certaines monarchies chiite du golfe (guerre ethnique de la religion) qui ne leur pardonnent pas leur liens étroits avec l'Iran au nom de l'instauration de la "démocratie" qui est devenu l'épée de Damoclès qu'ils n'hésitent plus à brandir à chaque fois qu'ils veulent soumettre un état à leur volonté!
Les délégations n'arrêtent de défiler chez el A sad; il ne manque que la normalisation officielle qui traîne les pieds!apparemment cela dérange encore!
