La compagnie des transports par pipe-lines au Sahara (TRAPSA) a décidé, aujourd’hui, lundi 22 mai 2017, la fermeture de la vanne principale du pipe-line reliant le champ d'El Borma à la station de pompage d’El Kamour arrêtant, ainsi, l’activité de cette station.
Cette décision a été prise à la suite du sabotage de ce pipe-line qui relève de la Société Italo-Tunisienne d'Exploitation Pétrolière (SITEP) et de l’infiltration de produits pétroliers à proximité de la station de pompage. La TRAPSA a indiqué dans un communiqué, qu’elle a notifié toutes les sociétés de production pétrolière de la région saharienne, de l’arrêt de toute opération d’acheminement des produits pétroliers. Elle, a également, averti que cette mesure aura des impacts directs sur l’économie nationale, invitant les habitants de Tataouine à faire preuve de compréhension et à faire prévaloir la voix de la raison et la sagesse, pour préserver la compagnie.
Image d'illustration
La TRAPSA ferme la vanne principale du pipe-line reliant le champ d'El Borma à la station d'El Kamour
La compagnie des transports par pipe-lines au Sahara (TRAPSA) a décidé, aujourd’hui, lundi 22 mai 2017, la fermeture de la vanne principale du pipe-line reliant le champ d'El Borma à la station de pompage d’El Kamour arrêtant, ainsi, l’activité de cette station.
Cette décision a été prise à la suite du sabotage de ce pipe-line qui relève de la Société Italo-Tunisienne d'Exploitation Pétrolière (SITEP) et de l’infiltration de produits pétroliers à proximité de la station de pompage. La TRAPSA a indiqué dans un communiqué, qu’elle a notifié toutes les sociétés de production pétrolière de la région saharienne, de l’arrêt de toute opération d’acheminement des produits pétroliers. Elle, a également, averti que cette mesure aura des impacts directs sur l’économie nationale, invitant les habitants de Tataouine à faire preuve de compréhension et à faire prévaloir la voix de la raison et la sagesse, pour préserver la compagnie.
Tu es une pourriture et tu n'as rien de Tunisien ... la nation n'est pas toi ni tes semblables le descendant zarabe ... le basané ... la Tunisie survivra à tes semblables et on vous canalisera comme d'habitude ... vous raserez les murs ... ce n'est qu'une question de temps le basané ... Tes mais LpR et autre du cpR et islamiste ... vous ne ferez pas les cacou longtemps .... Promis juré ... vous allez sentir la quenelle made in Tunisie passer et elle fera mal à vos derch d'arabe ... Hatem Chaieb
@Simon
"Tout part à l'étranger et les infimes miettes qui restent...dans la poche des corrompus" : voici le genre de phrases irresponsable qui nous amène à cette situation. La théorie du complot, l'argent qui part à l'étranger, le reste dans la poche de favorisés... qu'est ce que vous en savez ? l'extraction et la distribution du pétrole sont règlementés partout dans le monde, une part va à l'état et l'autre à la société privée qui l'exploite. Sachez aussi que c'est cette exportation de pétrole qui remplie notre réserve en devises...
Vous dites "l'impact est minime et rien n'est perdu..." mais bien sur ! comme ce fut le cas pour les grèves à Kerkennah, les grèves à Gafsa, etc... et c'est ce qui nous amenés à cet état économique fragile, et la perte d'une grande partie de nos réserves en devise...
vous dites "Mourrons, mourrons et vive la nation!", alors que vous aurez du dire "vivons vivons et mort à la nation" car c'est ce qui est entrain de se passer....Le drôle de grève est un droit inaliénable, à condition d'être pratiqué dans le respect des règles de la république, et non par des attitudes irresponsables qui mèneront le pays à sa perte.
A bon entendeur.
Tout part à l'étranger et les infimes miettes qui restent...dans la poche des corrompus.
Les employés tunisiens viennent pour la plupart des régions "favorisées" donc au final, l'impact est infime et rien n'est perdu pour les habitants de la région de Tataouine.
Ils n'y gagnaient quasiment rien de toute manière.
"Mourrons, mourrons et vive la nation!"
On sait tous où est la "nation", géographiquement parlant, dans cet apartheid économique de facto...