| 18-05-2017 02:39
Lisez son commentaire, c'est juste du bon sens !
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Tunisie - Aggravation du déficit de la balance commerciale alimentaire
La balance commerciale alimentaire enregistre un déficit de 490,9 millions de dinars (MD) au mois d’avril 2017 contre 310,6 MD un an auparavant, avec un taux de couverture en baisse passant de 74,9% à 67,4%.
C’est ce que relève un communiqué publié par le ministère de l’Agriculture, des Ressources hydrauliques et de la pêche, ce mardi 16 mai 2017.
Les exportations ont augmenté de 9,8% alors que les importations se sont accrues de 21,9%, notamment avec la hausse du rythme d’importation du blé, des viandes et du sucre.
Les exportations en huile d’olive, depuis le démarrage de la saison et jusqu’au 30 avril 2017, ont atteint 53.700 tonnes pour une valeur de 483,6 MD. Sa part dans les explorations alimentaires a baissé de 34,1 à 28% pour la période allant du 1er janvier jusqu’au 30 avril 2017, en comparaison avec un an auparavant.
La veille le ministre du Commerce et de l'Industrie, Zied Laâdhari, s’est félicité de la baisse du déficit commercial de 19% entre avril 2016 et avril 2017, qui est passé de 1.578 MD à 1.272 MD, pour cette période.
Il a estimé qu’il s’agit d’un signe positif et prometteur sur les prémices d’une reprise d’activité de l'économie tunisienne, en rappelant que le déficit commercial avait augmenté de 40% au cours des deux années 2015 et 2016.
I.N
Commentaires (11)
Commenterarrtez de vous battre c'est l'eau
| 17-05-2017 14:50
Agronome au ministère de l'agriculture je vous dit que le facteur principal est la pluviométrie très basse d'où disponibilité de l'eau, qualité de l'eau.
Puis l'olivier est un arbre iirgué ou non a une physiologie propre à lui dite "l'alternace" il produit très bien une année sur trois moyennement une année et faiblement une année.
Ce sont les importations de céréales et les exportations de l'huile d'olive puis bien loin après celles des dattes et des agrumes qui inflencent la balance agro alimentaire ce n'est ni ZABA ni nidaa ni ennadha qui font la loi MAIS DIEU et la pluviométrie.
POINT FINAL
Puis l'olivier est un arbre iirgué ou non a une physiologie propre à lui dite "l'alternace" il produit très bien une année sur trois moyennement une année et faiblement une année.
Ce sont les importations de céréales et les exportations de l'huile d'olive puis bien loin après celles des dattes et des agrumes qui inflencent la balance agro alimentaire ce n'est ni ZABA ni nidaa ni ennadha qui font la loi MAIS DIEU et la pluviométrie.
POINT FINAL
résultat des plus évident
| 17-05-2017 12:03
Il faut pas oublier que l'année 2016 a été très marquée par le déficit pluviométrique et les grandes cultures ont en subit les conséquences.
Pour rappel,le Maroc a perdu 3 points de croissance pib suite au mêmes causes.
Pour rappel,le Maroc a perdu 3 points de croissance pib suite au mêmes causes.
Finalement
| 17-05-2017 04:57
les chiens "ZABOIENT" et la caravane"ZARABE"passe.
"Moutou bi ghaydhikom"
"Moutou bi ghaydhikom"
CELA N'A ABSOLUMENT RIEN D'ÉTONNANT. LE PROBLEME - CAR IL Y EN A UN GROS - LE VOICI :
| 17-05-2017 00:22
...
Depuis les années 1970, les terres arables (cultivables, en termes agronomiques), n'ont cessées d'être loties ; construites ; betonnees.
...
Or, une terre arable, c'est la richesse d'une nation ; surtout si elle est de bonne qualité.
...
C'est la source primordiale de toute autonomie alimentaire d'une nation ; celle qui permet à son peuple de subsister.
...
Nous, intelligents et responsables comme nous le sommes, nous bétonnons tout.
...
Ajoutez à cela, le fait que nous gaspillons énormément (tenez ! : regardez les poubelles dehors, pendant le ramadan : des tonnes de " na3ama" dehors. Jetées).
...
La plaine de la soukra et l'Ariana (chotrana ; sidi-thabet, ...) ; tout les fruits, légumes du grand Tunis y étaient produits.
...
Aujourd'hui, 40 ans après, tout est construit. Idem à Bizerte, Sousse, Monastir, Sfax : Nous construisons sur nos terres agricoles.
...
Et comme la démographie de notre nation est, entre-temps, passée de 5 a 11 millions d'habitants, hé bien, ... je ne sais pas si vous êtes conscients du "bemol" mais nous allons clairement à l'encontre de grosses difficultes, si nous ne changeons pas, tout de suite, certains "agissements".
...
URMAX
Depuis les années 1970, les terres arables (cultivables, en termes agronomiques), n'ont cessées d'être loties ; construites ; betonnees.
...
Or, une terre arable, c'est la richesse d'une nation ; surtout si elle est de bonne qualité.
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C'est la source primordiale de toute autonomie alimentaire d'une nation ; celle qui permet à son peuple de subsister.
...
Nous, intelligents et responsables comme nous le sommes, nous bétonnons tout.
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Ajoutez à cela, le fait que nous gaspillons énormément (tenez ! : regardez les poubelles dehors, pendant le ramadan : des tonnes de " na3ama" dehors. Jetées).
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La plaine de la soukra et l'Ariana (chotrana ; sidi-thabet, ...) ; tout les fruits, légumes du grand Tunis y étaient produits.
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Aujourd'hui, 40 ans après, tout est construit. Idem à Bizerte, Sousse, Monastir, Sfax : Nous construisons sur nos terres agricoles.
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Et comme la démographie de notre nation est, entre-temps, passée de 5 a 11 millions d'habitants, hé bien, ... je ne sais pas si vous êtes conscients du "bemol" mais nous allons clairement à l'encontre de grosses difficultes, si nous ne changeons pas, tout de suite, certains "agissements".
...
URMAX
Les terres domaniales servaient de barbecues
| 16-05-2017 20:36
À l'époque de benali, sa famille prenaient les terres domaniales pour organiser des fêtes de barbecue mais depuis aucune décision courageuse n'a ete prise pour louer ces terres à des jeunes et les aider à monter leurs projets et à cultiver la terre, proposition faite par le FP mais non suivi par ce gvt de bourgeois et d'aristocrates. Et pourtant à l'époque de Hedi Bouira l'AFT à donne des terrains à des prix dérisoires à des Tunisiens devenus et bien sur les amis servis en premier.
@kameleon78
| 16-05-2017 20:10
Et dire que les "glibettes" Turques font partie de la nourriture de base des équidés vivant en Turquie.
Chez nous, elles ont beaucoup de succès auprès des consommateurs "Equus asinus" bipèdes, et génèrent des sommes colossales dans les poches des importateurs exclusifs de cette graine, à savoir, les chameliers, les nouveaux Trabelssi en beaucoup plus bêtes.
Il nous est impossible d'en stopper l'importation, au risque de déclencher une guerre frontale avec les représentants des "daeshiens".
Salutations.
Les Beni Hilel ont détruit la Tunisie
| 16-05-2017 18:22
Les islamistes en Tunisie ont détruit des vignobles pour détruire la production de vin ...
La Tunisie comme la France et l'Italie était un grand producteur de grands crus ... aujourd'hui il n'en reste presque plus rien ...
La viticulture en Tunisie datait de l'antiquité ..
Les islamistes sont un cancer ... L'exportation de vin Français rapporte des milliards à l'état Français .. pour la Tunisie des dizaines de milliers ...
Les Zarabes sont passés par là et la Tunisie à sombrer dans l'obscurantisme ... HC
La Tunisie comme la France et l'Italie était un grand producteur de grands crus ... aujourd'hui il n'en reste presque plus rien ...
La viticulture en Tunisie datait de l'antiquité ..
Les islamistes sont un cancer ... L'exportation de vin Français rapporte des milliards à l'état Français .. pour la Tunisie des dizaines de milliers ...
Les Zarabes sont passés par là et la Tunisie à sombrer dans l'obscurantisme ... HC
@HatemC
| 16-05-2017 18:13
La Tunisie nourrissait sa population à l'époque coloniale,sans remonter à l'antiquité.
Grenier de l'Afrique
| 16-05-2017 17:57
Et dire que la Tunisie était le grenier de l'Afrique ... voyez où se trouve la Tunisie .. elle n'arrive pas à nourrir sa population .. depuis que ces satanés zarabes ont envahi la Tunisie .. tout le savoir faire à foutu le camp ... HC
