
Dans une déclaration accordée, ce matin du dimanche 5 février 2017 à Mosaïque FM, Noureddine Taboubi, secrétaire général de l’UGTT, a indiqué sur un ton ferme que « la centrale syndicale admet qu’il y ait des divergences avec certains responsables gouvernementaux, mais n’accepte pas que les travailleurs, plus précisément les éducateurs, soient humiliés. Il s’agit là d’une ligne rouge à ne pas franchir sous quelque forme que ce soit. Il est n’est nullement admis que les éducateurs soient comparés à des terroristes armés. Il faut, donc, trouver, des solutions à ce problème et c’est au chef du gouvernement se trouver les alternatives, car on ne peut traiter les grands dossiers à travers les plateaux des médias avec un discours populiste », a-t-il affirmé en substance.
Et d’enchaîner, en pointant du doigt le ministre de l’Education sans le nommer, que cette approche populiste est devenue trop flagrante au point qu’elle ne peut plus tromper le peuple tunisien et l’opinion publique.
Noureddine Taboubi conclut sa déclaration en affirmant que l’UGTT ne peut plus communiquer avec tous ceux qui se trouvent à l’origine de ces tensions.
S.H
Commentaires (22)
CommenterMinistreAu Temps de la Médiocrité
Et ça recommence ! Avec cette fois-ci un mauvais point pour le nouveau S.G. de l'UGTT.
Les Tunisiens veulent un parti fort et solidaire. D'ailleurs, où est la solidarité gouvernementale?
Sous l'ère de Toubboubi, le déclin de l'ugtt a commencé de bon pas. Au lieu de trouver un terrain d'entente et réconcilier ses troupes avec le ministre, il a préféré être le porte drapeau ridicule de son adjoint, pour affirmer sa nouvelle autorité.
Tout ce combat, grèves, manifestations, mise en danger de l'année scolaire des élèves avec des multiples conséquences sur les parents, pour une phrase, qui peut être retirée de sans problème avec même des excuses ! Yétlakchou! Haw éssh_hih !
REBELOTE l ugtt a reussi a degager said el aydi
degradant pour le nouvau bureau
autorité de l'état
ras le bol
Le suicide de l'UGTT
ras le bol
La médiocrité et les médiocres ont pris les devants dans cette Tunisie post révolution
Prends exemple à ton prédécesseur

