| 31-01-2017 14:07
Un chiffre dans l'air n'a aucun sens !
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Contrebande : La valeur des saisies a atteint près de 190 millions de dinars en 2016
Le commandant chef de la Garde nationale, Lotfi Brahem, a indiqué, en marge de son audition, ce lundi 30 janvier 2017, à l’ARP, que le nombre d’opérations de contrebande mises en échec a augmenté en 2016.
Lotfi Brahem a précisé que la valeur des saisies a atteint 72,782 millions de dinars en 2014, 178 millions de dinars en 2015 et près de 190 millions de dinars en 2016.
M.B.Z
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Commentaires (5)
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| 31-01-2017 09:18
« En étant optimiste, on peut estimer que les saisies représentent 10% du trafic? » Gg
l'estimation optimiste pourrait vous dire qu'il faudrait diviser ces 10 % par mille et vous aurez alors une idée de la dispersion dans le sable des saisis dites de 190 millions en valeur, quand on sait la vantardise légendaire des hauts-responsables et quand on n'ignore pas la dilution des saisis en cours de temps, on peut s'estimer heureux qu'en réalité les 190 millions maigrissent au régime weight watcher pour ne donner en définitive qu'une centaine de malheureux millions de dinars, sur une manne qui peut raisonnablement se chiffrer à quelques milliards de dinars.
l'estimation optimiste pourrait vous dire qu'il faudrait diviser ces 10 % par mille et vous aurez alors une idée de la dispersion dans le sable des saisis dites de 190 millions en valeur, quand on sait la vantardise légendaire des hauts-responsables et quand on n'ignore pas la dilution des saisis en cours de temps, on peut s'estimer heureux qu'en réalité les 190 millions maigrissent au régime weight watcher pour ne donner en définitive qu'une centaine de malheureux millions de dinars, sur une manne qui peut raisonnablement se chiffrer à quelques milliards de dinars.
10% ?
| 31-01-2017 08:15
En étant optimiste, on peut estimer que les saisies représentent 10% du trafic?
La force la contrebande et la faiblesse de l' Etat.
| 30-01-2017 22:49
Lancer des chiffres à la volée sans références et sans contextualisation c'est chercher à vendre une marchandise à l'aveugle sans l'examiner.
La Banque Mondiale a réalisé des études sur l'impact de la contrebande, nommée aussi marché parallèle, sur l'économie du pays et l'estimation des experts de la Banque Mondiale qui ont travaillé le sujet sur le terrain en Tunisie avec l'appui des autorités tunisiennes, est que la Tunisie accuse une perte d'un milliard deux cents millions de dinars par an dont cinq cents millions de dinars au titre de la TVA. Ces pertes sont annuelles, chaque année, le pays est saigné comme un veau à raison de un milliard deux cents millions de dinars, pour les beaux yeux des maffieux du marché parallèle.
Si donc l'on rapproche les 190 millions de dinars qu'avancent les services fiscaux par rapport à la perte sèche de 1.2 milliards de dinars, les résultats sont très modestes, même si on les rapprochait de la perte sèche de TVA estimée à 500 millions de dinars.
Il faut savoir que 25 % de la vente des carburants est détenue par le marché parallèle, la contrebande, le trafic.
Si l'on considère qu'un automobiliste sur quatre fait son plein d'essence auprès du marché noir, alors on admet que le marché noir contrôle déjà 25 % de la distribution de l'essence. C'est si important que des sociétés étrangères ont décidé de quitter le pays face à cette concurrence déloyale.
Pour ma part, je ne fais aucune distinction entre criminalité et marché parallèle, de même que je ne fais aucune distinction entre blanchiment de l'argent, criminalité financière et financement partiel de parti politique religieux qui contrôle le pays.
Par conséquent, les 190 millions de saisis diverses ne sont qu'une goutte d'eau dans l'océan politico-maffieux du pays.
La Banque Mondiale a réalisé des études sur l'impact de la contrebande, nommée aussi marché parallèle, sur l'économie du pays et l'estimation des experts de la Banque Mondiale qui ont travaillé le sujet sur le terrain en Tunisie avec l'appui des autorités tunisiennes, est que la Tunisie accuse une perte d'un milliard deux cents millions de dinars par an dont cinq cents millions de dinars au titre de la TVA. Ces pertes sont annuelles, chaque année, le pays est saigné comme un veau à raison de un milliard deux cents millions de dinars, pour les beaux yeux des maffieux du marché parallèle.
Si donc l'on rapproche les 190 millions de dinars qu'avancent les services fiscaux par rapport à la perte sèche de 1.2 milliards de dinars, les résultats sont très modestes, même si on les rapprochait de la perte sèche de TVA estimée à 500 millions de dinars.
Il faut savoir que 25 % de la vente des carburants est détenue par le marché parallèle, la contrebande, le trafic.
Si l'on considère qu'un automobiliste sur quatre fait son plein d'essence auprès du marché noir, alors on admet que le marché noir contrôle déjà 25 % de la distribution de l'essence. C'est si important que des sociétés étrangères ont décidé de quitter le pays face à cette concurrence déloyale.
Pour ma part, je ne fais aucune distinction entre criminalité et marché parallèle, de même que je ne fais aucune distinction entre blanchiment de l'argent, criminalité financière et financement partiel de parti politique religieux qui contrôle le pays.
Par conséquent, les 190 millions de saisis diverses ne sont qu'une goutte d'eau dans l'océan politico-maffieux du pays.
CONTRE BANDE ou PRO BANDE
| 30-01-2017 21:43
CONTREBANDE MAFIA organise' par des nahdaouis 55% sont des partisants d'ennahda au sud BENGERDENE
ENNAHDA COMME LE VAUTOUR
en attendant la chutte TOTAL de l'ETAT et apres la TRANSITION TOTAL ET PR LES PROCHAINES 35 ANS voir les MSG communications entre Margert Allbright et JOHN MC CAIN
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